Souffrance Et Création Poétique

Le pin de Gautier est humain et sa haute humanité s’éprouve par le scandale de sa souffrance et la générosité (à tous les sens du terme) de son attitude. Observons tout d’abord que la personnification du pin est de plus en plus affirmée jusqu’à la comparaison avec le poète au dernier quatrain. Dans un premier temps, le pin n’apparaît que comme un arbre, jusqu’à ce qu’au quatrième vers le poète utilise à son propos les mots « plaie » et « flanc » qui devraient caractériser un être animé (animal

poésie, à l’exception de la préface de Poésie involontaire et Poésie intentionnelle (1942) de Paul Eluard, l’un des piliers du mouvement surréaliste, dans laquelle il tente de définir le procédé de création poétique, qui est non sans rappeler la conception surréaliste de ce dernier. Une autre création d’Eluard, le poème en vers libre « Leurs yeux toujours purs » extrait de Capitale de la douleur (1926) est présente dans ce corpus, de même que l’on trouve le calligramme « La Colombe poignardées et

Dissertation de FRANÇAIS sur la poésie romantique Le mot poésie vient du grec poiein qui signifie « produire, créer ». En maîtrisant toutes les ressources de la langue, le poète se donne un pouvoir de création et d’invention. La poésie est un travail sur les mots, un art du langage qui en explore toutes les ressources et vise à exprimer ou suggérer quelque chose, en jouant sur la sonorité, la musicalité ou bien encore le rythme. La théorie de l’inspiration a été critiquée et débattue durant de

les milieux populaires. 3-1- Le Romantisme au théâtre Le romantisme a favorisé un renouveau du théâtre qui connaît des succès retentissants, Bourget dit aussi : « Il n’admettait pas qu’une création esthétique eut d’autre but qu’elle-même.» V. Hugo, porte-parole de sa génération prétend fixer la poétique du drame moderne, essentiellement caractérisé par le mélange du tragique et du comique. 2 Il a donné lui-même quelques brillantes illustrations de ses formules. « Le théâtre est un point d’optique

****** 1 ère S Vous ferez un commentaire comparé des textes : « Le pin des Landes » de Théophile Gauthier et « L’albatros » de Charles Baudelaire C’est au milieu du XIXème siècle que se développe en Europe, une nouvelle sensibilité poétique : le romantisme. Théophile Gautier et Charles Baudelaire font partie de ces poètes dits « maudits », mal compris des gens de l’époque. Ils sont à la fois victimes et bienfaiteurs de l’humanité. C’est dans ce contexte littéraire qu’on été rédigés

en exergue l’étroite relation qui existe entre la création littéraire, celle de Victor Hugo, et la théorie psychanalytique. Dans Les Contemplations, comme dans chaque œuvre lyrique, l'écriture est un lieu de mémoire, d’extériorisation et de projections. De ce fait, les différents graphismes de l’écriture de Hugo correspondent à des tendances naturelles, à des besoins, à des intérêts et à des aspirations spécifiques. Sous la plume poétique qui décrit l’amour et la mort se cachent des pulsions

Nature et métamorphose le réel. (ex : Correspondances - Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire) Le poète engagé lui est une sorte de mage ou de guide dans les temps difficiles, il conduit les Hommes vers la lumière, les aide à supporter leurs souffrances. Il y a aussi le poète interprète de la vie et des sentiments des hommes, il met son talent au service des hommes, il devient le langage de toutes émotions. Les fonctions véritables de la poésie n'ont jamais été clairement énoncées et n'ont

Littérature 19ème        Charles Baudelaire est l'un des poètes majeurs du 19e. Il est connu pour son œuvre poétique à travers Les Fleurs du mal ou Le Spleen de Paris mais il est à l’origine d’un travail autre que la poésie. On retrouve également ses journaux intimes et notamment Mon coeur mis à nu . Cette œuvre regroupe des fragments de notes et sera publiée à titre posthume. Le recueil s’ouvre sur la phrase “ De la vaporisation et de

domine ces trois poèmes puis quel est le procédé commun à ces trois textes. 1 : Dans « Le pin de Landes », le poète exprime son avis sur le rôle de la souffrance dans l'écriture « lorsqu'il est sans blessures, il garde son trésor. Il faut qu'il est au cœur une entaille profonde Pour épancher ses vers, divine larme d'or » (v.14 à 16). La souffrance est exprimée à travers la douleur, il y a d'ailleurs la présence du champs lexical de la douleur : « plaie » (v.4), « larmes » (v.5), « douloureux » (v

du grec «poiein» qui signifie «créer». Mais, selon les poètes de l'Antiquité comme Platon, cette création n'était que le résultat d'un don que les dieux réservaient qu’à quelques élus. Cette théorie fut maintenue pendant longtemps, mais à la fin du XIXème siècle, Rimbaud affirme que l'inspiration ne lui vient pas du « saint esprit », mais de l'inconscient de lui-même. Pour lui, la capacité de « création » relève d'un véritable «travail» de recherche, voir « d’expérimentation » sur lui-même. L'œuvre