Soumission

« votre dernier mot ? ») qui sont moins des interrogations que l'attente d'une confirmation : les hommes ne consentiront pas à cette égalité souhaitée → l'homme lui rappelle son état : soumission (« obéir à vos maris »), aucun rôle politique (« rien »), place au foyer (« veiller sur votre maison ») Cette soumission est permanente, comme le rappelle le parallélisme « à… quand vous serez... »: la femme doit obéir à son père quand elle est « fille » (il la marie, c'est implicite dans la fonction « à

de la ville, ils rencontrèrent » se dessine une rencontre, celle entre Candide, accompagné de Cacambo avec un nègre. Peu après, une notion de soumission et d’humiliation se créé avec « étendu par terre », le nègre est, par sa posture, inférieure à C et C, qui sont, quant à eux, debout, et qui peuvent se déplacer, ce qui renforce cette notion de soumission. Cette humiliation ne cesse de croître à cause du dénuement dont il fait preuve, mais ce dénuement n’est pas seulement vestimentaire mais aussi

grâce a certains mots ou gestes bien choisis. En outre la répétition quotidienne de prières peut entrainer un état de conditionnement mental propice a la manipulation, Cependant la soumission a la secte peut aussi être volontaire. En effet le gourou peut très bien faire croire que le don d'argent ou la soumission sexuelle sont une condition nécessaire a l'obtention de ce que l'adepte est venu chercher dans la secte (connaissance de soi, «vérité» a propos d'une théorie farfelue, guérison etc...)

tourné sa figure contre le mur ; je ne le retournerai que s’il me demande pardon". » (p. 4) La phrase négative à caractère impératif vient mettre la lumière sur l’état de soumission par les punitions dans lequel «la petite femme» met les deux «sans-gueule». Deuxièmement, cet état d’asservissement transparait dans la soumission des deux «sans-gueule» à la bonne volonté de «la petite femme» : « elle les bichonnait à tour de rôle, faisait leur couverture, bordait leurs draps, mêlait leur vin, cassait

une expérience de psychologie réalisée entre 1960 et 1963 par le psychologue américain Stanley Milgram. Cette expérience cherchait à évaluer le degré d'obéissance d'un individu devant une autorité qu'il juge légitime et à analyser le processus de soumission à l'autorité, notamment quand elle induit des actions qui posent des problèmes de conscience au sujet. Les résultats ont suscité beaucoup de commentaires dans l’opinion publique, mais la méthode utilisée a fait naître critiques et controverses

suppose une libre acceptation de la part de l’obligé. Etre obligé par une loi morale, ce n’est pas simplement y être soumis, comme on peut dire que le corps humain est soumis à la contrainte de la pesanteur; mais si soumission il y a, alors il faut dire que c’est d’une soumission librement consentie dont il s’agit. Autrement dit, c’est bien parce que l’obligation suppose la liberté de l’agent qu’une dimension morale va pouvoir s’y trouver engager. Seulement en se soumettant de son plein gré

l’incohérence et la brusquerie d’Ubu (Mais votre Excellence… »), marques de politesse, soumission/flatterie (« loin de moi cette pensée ») -puis Stanislas tente d’argumenter : argument logique pr le convaincre. -puis argumentation collective des paysans : « de grâce, ayez pitié de nous, nous sommes de pauvres citoyens= stratégie de persuasion pr obtenir un changement (attitude respectueuse collective, soumission à l’ordre, mais registre pathétique pr susciter sa pitié). c) Un affrontement qui

par une force extérieure. 3° Liberté du sage. État de celui qui est délivré des passions et agit à la lumière de la raison. • Obéir consiste à faire ce que veut, ce que commande un autre. L'obéissance suppose un état de contrainte, parfois de soumission, et dans certains cas d'aliénation. • Renoncer, c'est abandonner quelque chose, ou la prétention à quelque chose. • Dans son acception courante, le mot liberté désigne le pouvoir de faire ce que l'on veut. Est libre la personne qui dispose

aristocrate endetté : dépendance de son tailleur, du bourgeois. Un renversement de situation ici. Confiance en soi de DJ éviter le thème de l’argent en 1 : réprimandant ses serviteurs, 2 : obligeant Mr Dimanche à s’asseoir, 3 : le flattant. B°) La soumission du bourgeois. Peur face au seigneur : infériorité sociale connue : son obligé Dimanche : nom cocasse, signifiant un bon tour. Excès d’affabilités : réponse sur un ton de gêne. « À votre service » Déférence craintive : occurrences de Monsieur

on s’incline ce qui est une marque de soumission. 2-A-t-on la même soumission, la même hiérarchie en France ? Stupeur et tremblements d’Amélie Nothomb Extrait : livre P 7-12  Incipit 1-Situez le passage dans le roman. Quelle est sa fonction ? 2-En quoi ce passage est-il annonciateur des thématiques et du développement du roman ? 3- Quelle vision de la société (japonaise) ce début de roman nous offre-t-il ?... A-t-on la même soumission, la même hiérarchie en France ? 4-Quel