Sous le soleil de Satan

dans les derniers jours, Il oindrait Son Église et se manifesterait à nouveau dans une chair humaine. «Ce qui arriva du temps de Sodome arrivera de même à l’avènement du Fils de l’homme.» EDEN DE SATAN, L’ - 29.08.1965 JEFFERSONVILLE, IN, USA bb106271 25 Les gens, sans le savoir, adorent Satan, en pensant adorer Dieu; nous avons été prévenus de ça par prophétie, dans II Thessaloniciens. Lisons-le donc, c’est II Thessaloniciens, chapitre 2. Prenons-le donc un instant, si je peux le trouver tout

pour faire obéir tous les esclaves des Illuminati aux moindres ordres de leurs maîtres, et pour annihiler toute tentative de désobéissance. De nouvelles bases militaires seront construites dans chaque grande localité. Certaines existent déjà, mais sous un déguisement. Au cours des prochaines années, on les verra apparaître au grand jour. Il y aura dans chaque localité une base d'action régionale, et des responsables auxquels tous devront rendre compte. La hiérarchie de ces responsables correspondra

attendent sous la pluie la venue de leur fils pour les accueillir. Père Ubu, Mère Ubu Père Ubu, s’impatiente. Que peut bien faire ce foutre de bon à rien de fils ! Merdre! Pour une fois, qu’il sert ! Mère Ubu  Rhaaa , si tu pouvais jacasser des choses plus utiles de temps en temps et ne pas répéter ce que nous savons déjà ! Je n’entend même plus le son de la pluie ! Plusieurs minutes passent, ils se mettent a l’abri sous la grange de la forteresse, père Ubu, sous l’emprise

cadavres étalés ! Le soleil donnait dessus : les mêmes mouches qui voltigeaient sur nous et sur les fleurs allaient s’abattre là, revenaient, bourdonnaient ! (...) Je vois encore mon père levant la tête de dessus sa dissection et nous disant de nous en aller. Autre cadavre aussi, lui. » 1825: Julie entre au service de la famille Flaubert, comme nourrice, puis comme domestique. Elle y restera jusqu'à la mort de Gustave, à qui elle survivra trois ans. Gustave Flaubert la dépeindra sous les traits de Félicité

d’expliquer. Quand il lui parlait, c’était les yeux détournés dont l'ancienne flamme d’amour semblait s’être éteinte. Il s’absentait de la maison; et quand il était là, il évitait sa présence et celle de son enfant, sans excuse. Et l’esprit véritable de Satan sembla soudainement l’avoir pris dans ses relations avec ses esclaves. Désirée était assez malheureuse pour mourir. Elle était assise dans sa chambre, un après-midi chaud, dans son peignoir, traversant sans emphase ses doigts avec les mèches

le regard, la beauté toute entière. Le couchant et l'aurore, qui s'opposent normalement, se retrouvent concentrés dans un oeil au singulier : ils se complètent alors pour former un univers entier. Dans cette image, l'oeil devient un astre : le soleil du matin et du soir, peut-être aussi la lune, les étoiles, ou encore l'horizon circulaire du monde, qui symbolise l'infini. Le jeu de lumières qui mêle le couchant et l'aurore forme en même temps un jeu avec les perceptions. Le « soir répand des

devenir l’astre porteur de la lumière. C’est Uitzilopochtli qui le remporte, devenant le soleil. Il tue sa sœur Coyolxauhqui, elle aussi candidate, qui devient la lune. Les dieux qui organisent la vie des Aztèques sont innombrables : * le protecteur des Aztèques est Uitzilopochtli, dieu du soleil du printemps, dieu de la guerre et dont la forme animale est l’aigle ; * Tezcatlipoca, dieu du soleil d’été, dieu de la musique et de la danse, est au sommet de la hiérarchie des dieux et représenté

j’eus des contacts avec ce devin, je m'engageai dans de profondes méditations. Puisque j'avais commencé par le niveau Page 6 élémentaire des conversations avec les esprits dans les WC., je m’engageai toujours plus loin dans les profondeurs de Satan. Poussé par un désir effréné, je contactai, non loin de chez nous, un jeune homme nommé NTUMBA DUCOUP, qui invoquait pour sa part la Sirène (Mami Wata). Il faisait de grands prodiges et des miracles, et fabriquait par ses techniques magiques des billets

maudit sur la terre et même par sa mère « Maudite soit la nuit aux plaisirs éphémères Où mon ventre a conçu mon expiation ! » v. 7-8, mais dans cette image de désastre on trouve une lueur d’espoir car le poète est béni dans les cieux « Pourtant, sous la tutelle invisible d’un Ange » v. 21. Dans « l’Albatros », le poète se compare à l’albatros : un oiseau majestueux dans les cieux, et maladroit sur la terre « Le Poète est semblable au prince des nuées » v. 13. Le poète est incompris par

avec tous tes appétits, et ton égoïsme et tous les péchés capitaux."      Ah ! j'en ai trop pris :  − Mais, cher Satan, je vous en conjure, une prunelle moins irritée ! et en attendant les quelques petites lâchetés en retard, vous qui aimez dans l'écrivain l'absence des facultés descriptives ou instructives, je vous détache ces quelques hideux feuillets de mon carnet de damné. Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu’il m’en souvienne La joie venait toujours après la peine