Sous-prolétariat

est promu sous-lieutenant. Il participe à de nombreuses opérations et le 12 octobre, il obtient la croix du mérite militaire, première classe. Dès le mois de mars 1915, il est promu capitaine. Peu à peu sa légende prend forme.Cette réputation prend fin en mars 1915 : il est très grièvement blessé au ventre, au cours d'une attaque contre le fort d'El-Biutz. Il est alors promu commandant, malgré l'avis défavorable du Haut Conseil militaire. Franco découvre pour la première fois le prolétariat, les ouvriers-mineurs

l’aristocratie, les bourgeois caractéristiques de l’époque, c’est-à-dire ayant une qualité de travail et de sérieux et un goût pour l’épargne, et le « prolétariat à col blanc », c’est-à-dire les fonctionnaires et artisans indépendants ; enfin la lower class est constituée des travailleurs manuels démunis, des villes et des campagnes. Ce sous-prolétariat est le plus nombreux, représentant 5/6èmes de la population totale. Les prolétaires vivent dans des conditions de vie déplorables comme en témoignent

condamné = doit s’éffondrer pour laisser place au communisme pour que le prolétariat prenne le pouvoir => le communisme ou le classe sociales et l’état disparaissent. L’apport de Lenine : Revoltion mondiale et parti de « révolutionnaire professionnels » : faut une révolution pour renverser l’état bourgeois (capitalisme) à partir d’un parti professionnel communiste qui fera tomber le pouvoir et assumer le pouvoir au nom du prolétariat. Staline : veut bâtir le socialisme dans un seul pays, faire de

classes dominantes contre les classes dominées, qui avait atteint une étape où le prolétariat ne pouvait plus se libérer de la bourgeoisie qui l’exploitait. Il ne s’agit plus de critiquer la situation des travailleurs ni d’élaborer des projets idéaux de société parfaites Car l’idée qui différencie radicalement cet ouvrage des autres systèmes socialistes utopiques est que « le développement de la grande industrie sape, sous les pieds de la bourgeoisie, le terrain même sur lequel elle a établi son système

: la création de l’homme nouveau La création d’un homme nouveau est le pilier central des systèmes totalitaires. En URSS, il est le prolétaire uniquement préoccupé par le devenir de la collectivité. En Italie, il est un soldat et un athlète qui, sous la tutelle étatique, doit redonner au pays sa grandeur perdue. En Allemagne, l’homme nouveau est un guerrier, dont l’objectif est d’assurer la domination «légitime» de la race aryenne. Cependant, les spécificités des totalitarismes réduisent la

société sud-africaine en 2003 Classe moyenne ( bourgeoise ) 88% du revenu | 15 millions ( 4 millions Blancs 11 millions Noirs ) | Classe ouvrière 8% du revenu | 15 millions ( 0,5 millions Blancs 14,5 millions noirs ) | Sous prolétariat < 4% du revenu | 15 millions( Noirs ) | Population Total : 45 millions • Une classe moyenne bourgeoise domine, où les Noirs restent très présent ( directeur d'hôtels, chefs d'entreprises... ). Cette classe est considéré comme

plus maître/esclave mais Père/enfant. Le principe de droit divin : « Dieu a institué les monarques pour suppléer, comme père des créatures, faisant du chef l’image du père est du peuple l’image des enfants » C’est un régime de tutelle, le peuple est sous tutelle de l’Etat. La tutelle=minorité (≠majorité). L’état de minorité est définitif dans l’Etat Paternaliste. Le bébé du roi est déjà majeur contrairement à un adulte du peuple. L’Etat paternaliste entretien une tutelle alors que par définition une

déduire qu’elle est très croyante. La haine du personnage pour le Prussien en dit long sur ses valeurs politiques, en effet on peut conclure qu’elle est patriotique. Mme. Rousset est aussi respectueuse et naïve. D’autre part, le démoc, aussi connu sous le nom de Cornudet. Cet homme fait parti de la bourgeoisie française, il est célibataire tout comme Élizabeth. Son emploi n’est pas mentionné clairement dans la narration mais l’on peut déduire qu’il est un fonctionnaire par son implication dans divers

ouvriers : échec ou succès ? A En France B En Allemagne Introduction La deuxième moitié du XIXème est marquée par l’expansion de la grande industrie qui accélère les transformations du monde ouvrier en accroissant l’importance du prolétariat d’usine, de sorte qu’en 1900, les salariés représentent les 2/3 des actifs en Allemagne et 58% en France où le travail indépendant résiste mieux. Le développement de la classe ouvrière s’est fait parallèlement aux progrès du machinisme et de la

-artisanat comme la conséquence de l'idéologie Bourgeoise. Un système fondé sur le profit ne peut ni reconnaître l'art comme activité gratuite, ni autoriser un travail véritablement libre. Dans L'Idéologie allemande, Marx explique comment le prolétariat pourtant prédominant d'un point de vue quantitatif se voit exploité par la bourgeoisie qui contrôle le pouvoir économique. La lutte des classes est le résultat d'un rapport de force économique. Marx considère cependant que dans le système