Sous-prolétariat

ouvrières et la relative « pacification » des relations professionnelles. R. Aron, insiste quant à lui sur l’impossible passage à la conscience révolutionnaire d’un prolétariat de plus en plus « englué dans la culture de masse, diffusée par la radio et la télévision ». Derrière, cette affirmation, R. Aron laisse entendre que le prolétariat aujourd’hui ne saisit pas sa spécificité par rapport aux autres classes et par là même n’a pas conscience d’avoir des intérêts particuliers à défendre dans la mesure

BROUT DAVID Fiche de lecture sous la forme de la dissertation à partir de la phrase du livre du Manifeste du parti communiste : « les idées dominantes d’une époque n’ont toujours été que les idées de la classe dominante » L’agriculture, l’élevage et le développement de l’artisanat ont profondément modifié l’organisation sociale des sociétés dites primitives. La surproduction conséquente à l’accroissement des forces productives est apparue en même temps qu’une division du travail conduisant à

plus riches et les plus défavorisées, les classes moyennes, aux identités plurielles d’un pays à l’autre, se constituent autour de ce que le sociologue Louis Chauvel appelle le « citoyen ‘’moyen’’ » , dont sont exclus la haute bourgeoisie et le prolétariat, tout comme les indigents et les pauvres. » Elles représentent partout une part importante de la population notamment en France, 2/3 des français. La moyennisation s’est d’abord traduite par une réduction des inégalités. En effet si l’on regarde

travail, de la période de formation. C’est une marchandise qui reste la propriété des individus non propriétaire de capitaux. C’est donc ici la base de la division sociale. En 2 catégories: -la bourgeoisie: propriétaire des moyens de prod - le prolétariat : propriétaire de la force de travail CSQ: pour mesurer la valeur d’une catégorie de force de travail, il faut tenir compte de plusieurs éléments: - l’entretien courant -l’entretien des structure familiale -une fraction de la valeur doit tenir

et de placer le prolétariat au pouvoir. Ces idéaux ne sont toute fois pas sans conséquence, l’abolition de la propriété privée va entraîner de nombreuses morts, provoquées par le fait que les bourgeois ne veulent pas se séparer de leur propriété, cela crée des révoltes et les bourgeois sont tués ou enfermés dans des camps de travail. L’idée de placer le prolétariat au pouvoir n’est pas moins mauvaise, Lénine veut, autrement dit, installer une dictature qu’il appelle le prolétariat, mais ce sera lui

prolongement des villes marchandes en se fondant sur la bourgeoisie. La production et la richesse deviennent une manière d’exercer le pouvoir. Cette forme de société, qui se base sur le développement du commerce et de l’industrie, va engendrer le prolétariat urbain. Dans la société industrielle, les pauvres, contraints au vagabondage, au vol ou à la mendicité furent vivement condamnés. Les paysans se retrouvant sans emploi sont forcés de venir dans les grandes villes afin de trouver du travail. Cet

coexistence de deux classes sociales antagonistes, la bourgeoisie et prolétariat, la réalisation effective de telles conditions de travail des ouvriers : « Notre époque, l'époque de la bourgeoisie, se distingue par la simplification des antagonismes de classe. La société tout entière se divise de plus en plus en deux vastes camps ennemis, en deux grandes classes diamétralement opposées : la bourgeoisie[9] et le prolétariat[10]. » Cette crise sociale, qui marque profondément la

value (en fait du bénéfice) qui devrait normalement leur revenir. De l’autre côté, il y a ceux (le patronat) qui possèdent les moyens de production et qui confisquent aux premiers les plus values. A l’intérieur même du prolétariat, Marx distingue le « Lumpen prolétariat » (prolétaires en haillons) composé de travailleurs, de soldats démobilisés, de prostituées. Pour Marx, les classes ne sont pas seulement des agrégats d’individus (c'est-à-dire une simple addition d’individus), mais elles

l’antiquité (maîtres contre esclaves) en passant par le M.A. (seigneur contre serfs) jusqu’à la prise du pouvoir par la Bourgeoisie qui exploite le Prolétariat. L’enchaînement des exploitations se fait selon une logique dialectique qui fait que chaque classe engendre une classe contraire qui est amenée à la renverser lui permet de montrer que le prolétariat est amené à renverser la bourgeoisie en fonction des logiques économiques que nous allons développer. Notez cependant une contradiction de taille ;

diversifié. A côté des ouvriers qualifiés se multiplient les ouvriers d'usine ou de mine, majoritairement peu qualifiés; on compte parmi eux des femmes et des enfants. Ces ouvriers forment le prolétariat, dont les rudes conditions de travail et de vie ne s'améliorent -lentement- qu'à partir des années 1880, sous l'effet des grèves et de l'action des syndicats et des partis politiques. Des idées nouvelles - Né en Grande-Bretagne au XVIIIè siècle, libéralisme repose sur certains principes: la liberté