Sous-prolétariat

d’exploitation de l’ouvrier par le patronat » ) Karl Marx : Marxisme/léniniste : Philosophe d’origine juive, gd économiste allemand, il affirme à travers sa doctrine que la révolution industrielle a aboutit à l’opposition de la bourgeoisie et du prolétariat (lutte des classes sociales) Que prône-t-il ? Il appelle les ouvriers à s’organiser pour lutter contre leur exploitation et il va créer à Londres la première internationale socialiste. Cette première internationale est celle des travailleurs, grand

bipolaire de la société entre classe dirigeante et classe dominée A) La réalité sociale ne peut plus depuis longtemps être réduite à l'opposition bourgeoisie/prolétariat 1. L'usage de l'expression "classe moyenne" découle du constat, déjà ancien, que la distinction marxiste entre une classe dominante, la bourgeoisie, et une classe dominée, le prolétariat ouvrier, ne rend pas compte de la diversité des situations sociales individuelles. La classe moyenne, dès lors, peut se définir comme la partie de la société

20, 30, voire 40 ans. De plus, les classes moyennes se caractérisent par un certain nombres de valeurs : travail, épargne, instruction. La définition marxiste Pour la conception marxiste, elle n'existe pas vraiment, et se situe entre le prolétariat, qui ne possède que la force de ses bras, et la classe bourgeoise, propriétaire des moyens de production. Elle ne peut être assimilée à une classe et elle est vouée à disparaître, car pas assez puissante pour résister au grand capital. Son destin

qu’il défini comme une composante de l’exclusion) et cela au regard des contextes économiques, politiques et sociaux qui les engendres. R Castel distingue ainsi trois épisodes majeurs de l’histoire aux cours desquels la question sociale à pris sens sous des formes différentes. Ier épisode.    L'émergence de la question sociale : de la décomposition du système féodal au pré-capitalisme de l’Ancien Régime A. XIVème siècle : un « code du travail avant la lettre » 1) Contexte : la décomposition

philosophie de l’histoire en fondant un socialisme se voulant scientifique : le matérialisme historique. Le marxisme considère le capitalisme comme une phase d’un processus historique, marquée par la lutte des classes entre la bourgeoisie et le prolétariat conduisant inéluctablement au socialisme, puis au communisme, c’est-à-dire à l’appropriation collective des moyens de production et au dépérissement puis à la disparition de l’État. Dès la fin du xixe siècle, le socialisme marxiste est devenu l’idéologie

Commentaire (composé) : Germinal de Zola Introduction: Zola avait amorcé dans son 7° roman, l’Assommoir, l’histoire de la classe ouvrière née sous la Révolution Industrielle. Il la poursuit dans Germinal, publié en 1885, treizième roman qui continue de mettre en scène l’hérédité de la famille Rougon-Macquart ou l’histoire naturelle et sociale d’une famille sous le Second Empire. On verra comment l’auteur, dans le passage situé dans le dernier tiers du roman, emploie le registre épique pour nous livrer

s’atténuer et les frontières entre ces groupes sociaux de grande dimension s’effacer. A l'opposé, Karl Marx, insistait sur l'opposition entre la classe dominante, la bourgeoisie, et celle exploitée, le prolétariat. La classe moyenne, coincée entre les possesseurs du capital et le prolétariat ne pouvait que se rallier à une des classes centrales du capitalisme. A partir des années 1950, le développement des couches moyennes salariées et la disparition progressive des petits indépendants, ont

esclavage. LE DROIT DE GRÈVE EN ALLEMAGNE : UN DROIT PARTICULIÈREMENT RESTREINT C’est à partir de 1947 que les grands principes de la cogestion (la « Mitbestimmung ») ont été mis en place afin de contenir la combativité du prolétariat allemand. Alors que l’Allemagne est sous occupation1, durant l’hiver 1946-1947 éclate une vague de grèves (les « grèves de la faim ») : dans de nombreuses villes sont avancés les mots d'ordre, de contrôle ouvrier, d'ouverture des comptes. Les impérialismes avec

Lisez les textes suivants et répondez aux questions posées. TEXTE 1 « La Belle Époque » L’expression "Belle Époque" est apparue en France, après la Première Guerre Mondiale, sous ce terme on désigne les ann ées de paix comprises entre l’Exposition universelle de Paris de 1878 et le début de la Premiè re Guerre Mondiale en 1914. La « Belle Époque » désigne des années de prospérité économique où le régime républicain se consolide. Les conditions de vie

communiste, d’une volonté de retourner à un certain réalisme artistique en réaction à une conception de l’art contemporain perçu comme trop formaliste. Après la guerre, le PCF renforce cette critique qui devient alors l’un des fondements du nouveau réalisme sous la forme d’une critique de classe. Celui-ci entend en effet faire contre poids à un art « bourgeois » incarné par les mouvements artistiques contemporains au premier rang desquels l’art abstrait. Art individualiste, incompréhensible, vendu à une bourgeoisie