Souvenir De La Nuit Du Quatre Registre Pathétique

leurs œuvres ? Objet d’étude : L’argumentation : convaincre, persuader, délibérer Perspective dominante : étude de l’argumentation et de ses effets sur le destinataire Perspectives complémentaires : histoire culturelle et littéraire ; genres et registres Axes d’étude et notions abordées : - Les Lumières : Contexte littéraire et culturel - La notion de « bonheur » : quels moyens pour y parvenir dans la société d’Ancien Régime ? - Convaincre, persuader : enjeux et stratégies

5 constituent une sorte de première journée. Elles se situent toutes à un moment différent de la journée (« un matin très tôt », scène 1 ; « un peu avant midi », scène 2 ; une « fin d’après-midi », scène 3 ; une « fin d’après-midi », scène 4 ; « La nuit », scène 5), comme si l’auteur avait voulu marquer la cohérence de cette première partie. Ce premier temps correspond à l’après-guerre : tour à tour, les personnages évoquent leurs expériences de la guerre. Il s’arrête au moment où Simone comprend

Misérables, ou encore Napoléon le Petit. Le texte A du corpus n'est autre que « Melancolia », un poème extrait du recueil nommé Les Contemplations, qu'il composa en partie en hommage à sa défunte fille Léopoldine, en abordant des thèmes comme le souvenir, l'amour, la joie et parallèlement la mort, la tristesse et le deuil. Ce poème fait intervenir l'auteur directement. Celui-ci réagit dans le poème au sujet des conditions de vie d'enfants travaillant dans des usines  ;suite à sa visite de l'industrie

(notamment les Landes de Gascogne que l’on retrouve dans Thérèse Desqueyroux). En 1907, à l’âge de 22 ans, il s’installa à Paris pour ses études qu’il abandonna afin de se vouer entièrement à l’écriture. En 1913, il épousa Jeanne Lafon avec qui il eut quatre enfants. Sa carrière littéraire fut interrompue par la première guerre mondiale : il travailla dans un hôpital avant de reprendre ses activités dès la Victoire de 1918. En 1922, il écrivit Le baiser au lépreux. Il reçut le Grand prix du roman de

livre V 9 Séance 6. Hugo ou la parole poétique 9 ■ Axe d’étude 3. Les Châtiments, une poésie de combat Séance 7. Les principaux procédés de la satire 10 Séance 8. L’opposition Napoléon III/Napoléon Ier 10 Séance 9. Les registres épique et pathétique 10 ■ Axe d’étude 4. Du républicain au visionnaire Séance 10. La figure du poète 11 Séance 11. Une conception providentielle de l’Histoire 11 ■ Axe 5. Bilan Séance 12. Mettre en œuvre les connaissances et savoir-faire acquis

et bien trop avares (« La corde »). Il narre ses aventures dans Paris sous forme d'anecdotes, toutes plus singulières les unes que les autres. Tantôt Baudelaire nous raconte l'appréhension des parisiens vis-à-vis de la nuit, tantôt la causerie à la fois banale et peu commune de quatre garçons au crépuscule, une autre fois il expliquera les élans de la vie qui nous poussent à faire certaines choses irrationnelles, voués par un désir inattendu. Ainsi, à travers un portrait peu avantageux de la capitale

« le Vallon », issu des Méditations poétiques que Lamartine fit publier en 1820 ; « El Desdichado » poème appartenant au recueil de Nerval Les Chimères paru en 1854 ; les trois poèmes de V. Hugo, intitulés « Parfois lorsque tout dort... », « Souvenir de la nuit du 4 » et « Réponse à un acte d’accusation » font respectivement partie des Feuilles d’automne (1830), des Contemplations, (1834) et des Châtiments (1852). Nous constatons que ces poèmes couvrent la première moitié du siècle, période d’instabilité

lorsqu'il revient au lac sur lequel il avait l'habitude de se balader avec sa bien aimée décédée un an auparavant . Cette situation est propice à l'expression de la nostalgie et de la douleur du poète. On retrouve d'ailleurs un champs lexical fournis du souvenir '' t'en souviens t'il ?'' ainsi que de l'amour '' Ils ont aimés'' et du temps qui passe ( propre au romantisme) '' Ô temps ! Suspends ton vol […] ''. Le lyrisme est ici présent pour exprimer la nostalgie et la douleur du poète dans son texte. La

utilisés : champs lexicaux de la mort, de la souffrance, des passions destructrices (la haine, l’amour, la jalousie…), des sentiments héroïques ; alexandrins. ➢ Le ton pathétique : Il déclenche un sentiment d’attendrissement et cherche parfois à émouvoir jusqu’aux larmes. Le ton pathétique inspire la pitié face à des souffrances ou des situations inhumaines. Procédés utilisés : champs lexicaux des larmes, de la douleur, nombreuses exclamations, lamentations

l’homme à la mort. Procédés utilisés : champs lexicaux de la mort, de la souffrance, des passions destructrices (la haine, l’amour, la jalousie…), des sentiments héroïques ; alexandrins. Le ton pathétique : Il déclenche un sentiment d’attendrissement et cherche parfois à émouvoir jusqu’aux larmes. Le ton pathétique inspire la pitié face à des souffrances ou des situations inhumaines. Procédés utilisés : champs lexicaux des larmes, de la douleur, nombreuses exclamations, lamentations, métaphores et comparaisons