Souveraineté alimentaire

mais aussi à l'extérieur vis-à-vis de l'empereur ou du Pape ( rapprochement avec l'Église). Jusqu'à la Révolution on considère que le roi dirige l'Église. Ce qui est nouveau à partir du XVI° c'est la mise en place théorique. La notion de souveraineté apparaît avec J. Bodin qui publie « Les 6 livres de la République ». Il dit que la puissance est perpétuelle, indivisible et unique. Pour lui c'est le souverain qui fait la loi, la guerre, émet la monnaie, lève les impôts, la justice → ce sont

texte de Guillaume de Nangis une reproduction à la lettre de la Chronique de Primat, un moine de l’abbaye de St Denis. Le but majeur de l’auteur en écrivant ce texte a été de chercher à amplifier la politique royale et notamment le principe de souveraineté né au milieu du XIIIème siècle. En effet, le roi tenant son office de Dieu. Aucun ne peut lui est supérieur, son pouvoir est suprême. Il a autorité en matière de politique, de justice, d’économie. En tant que souverain, le but principal du roi

liberté qu’il avait comme Homme à l’Etat de nature mais avec ce sacrifice il gagne la vie en société il se découvre comme Homme particulier et se met au service d’une instance supérieure. En théorie il ne peut y avoir d’injustice car l’Homme est la souveraineté, il vote et élit ses représentant dans cette société. Il est son propre souverain. Mais ces lois ont posées quelques problèmes ce qui peut se vérifier historiquement. En effet le lien entre la légalité de ces lois et leur légitimité est floue.

moyens logistiques. Ils sont marqués également par le rôle des médias et de l’opinion (qui doit être mobilisée. L'essor du libéralisme a reduit les interventions des Etats dans les domaines économiques et sociaux. De plus, les limitations de la souveraineté des Etats s'accentue avec des organisations comme l'OMC, le FMI, l'UE ou le droit d'ingérence des Etats de l'ONU. Cependant l'Etat garde son importance pour garantir le développement . Ainsi cette mondialisation a engendrée une sorte de démocratie

qualifieraient de morbide lorsque d’autre de fascinant, peut en faite constituer une prise de pouvoir ou un renforcement de celui, parfois même jusqu’à son plus haut point. Mais pour accéder à ce dernier, le pouvoir nécessite le principe de « souveraineté choisie » par le peuple, dont le plus propice serait un contexte d’Etat que l’on définira par la suite. Mais Est-ce vraiment raisonnable de penser un contexte de dominants / dominés, sachant que la majorité n’est en réalité personne (puisque

aspects: -Régit les rapports des Etats entre eux ou le rapport des Etats avec les Organisations internationales, droit des rapports inter-étatiques -C’est un droit qui repose sur l’essentiel sur le libre consentement des Etats, en toute souveraineté décident de se lier par des conventions, Traités internationaux auxquels il consent, il n’y a pas d’obligation pour les Etats. -Dire que le droit international public est le droit qui aménage le rapport des Etats entre eux ne signifie pas que

la démocratie représentative réside dans le fait que la plupart des gens le considèrent comme la plus fiable, parce que la plus directe de toutes les expressions de la volonté populaire. En conséquence, dans un système fondé sur les principes de souveraineté populaire, d’égalité politique, de consultation populaire et de gouvernement de la majorité, les décisions populaires directes prises par référendum ont une légitimité que les décisions indirectes prises par les représentants élus ne peuvent égaler

I.Les limites de la démocratie Athénienne 1 .Une démocratie pour tous ? A\ les exclus de la citoyenneté la démocratie régime politique dans lequel la souveraineté appartient au peuple et ou l exercice du pouvoir est accessible a tous les citoyens Or a l époque seul un dixième de la population fait parti des citoyens ,pour acquérir ce droit il faut être né de père citoyen et être un homme âgé de plus de 18 ans ayant fait son service militaire qui durera 2 ans .Les exclus de la vie

Droit Constitutionnel La place de la souveraineté du peuple dans l'élaboration et la révision des Constitutions. « Toute loi que le peuple en personne n'a pas ratifiée est nulle » Jean-Jacques Rousseau : Le contrat Social. Par cette expression J.J Rousseau nous fait partager son sentiment sur l'importance de l'avis positif du peuple lors de décisions importantes, en particulier les lois. On peut comprendre cette phrase ainsi : si le peuple considère une loi comme étant néfaste et qu'i la refuse

plusieurs siècles à la dynastie capétienne pour affirmer leur souveraineté sur l’ensemble du royaume, et peu à peu s’émanciper du système féodal. Il faut rappeler que le roi est censé être au sommet de la pyramide des fiefs ; il est en haut de la hiérarchie et par conséquent n’est subordonné à personne. Toutes les terres du royaume sont censées être soumises à son autorité. Toutefois, la féodalité est un barrage à cette souveraineté. En effet, la féodalité est l’ensemble des relations féodo-vassaliques