Souveraineté Populaire Et Ses Conséquences Politiques

Abraham Lincoln, elle est « le gouvernement du peuple par le peuple ». Cette définition, proche de celle d’origine, reste couramment reprise mais est malgré tout sujette à des interprétations, la notion de démocratie faisant intervenir celle de souveraineté populaire et son application pratique différant d’un régime à un autre. Ainsi, il n’existe pas aujourd’hui de définition arrêtée sur ce que doit être la démocratie. Elle se caractérise néanmoins par les droits que les citoyens possèdent à l’égard du

effectivité depuis 1940. En conséquence, on décide de recourir à un referendum (referendum du 21 octobre 1945) pour savoir si les français veulent revenir aux institutions de la IIIème République. Le retour à la IIIème République est rejeté et un nouveau gouvernement provisoire officiel est mis en place. Une assemblée constituante est élue. Le plus gros groupe est celui des communistes (il n’a pas la majorité absolue), ensuite le MRP (Mouvement des Républicains Populaires) et en troisième position

L’Europe de 1945 à nos jours Le temps des démocraties populaires : 1948-1989 SUJET 3 SÉRIES L, ES – France métropolitaine – Sujet non retenu – Juin 2005 COMPOSITION Les démocraties populaires de 1948 à 1989. CHRONOLOGIE INDICATIVE 1948 : rupture entre l’URSS et la Yougoslavie 1949 : naissance de la RDA et du CAEM (ou COMECON) 1953 : émeutes à Berlin-Est 1956 : insurrection à Budapest 1961 : édification du mur de Berlin 1968 : « printemps de Prague » 1975 : acte final de la conférence

Séance du 17/02/10 Introduction Le cours de droit constitutionnel revêt de plusieurs appellations, il peut s’agir du droit constitutionnel ou de l’institution politique et droit constitutionnel. Donc, la matière peut avoir un double titre. • Existe-t-il un intérêt dans le choix du titre ? Le choix d’un titre peut renvoyer à une démarche méthodologique qui utilise une approche différente. Le titre n’est pas arbitraire, si on opte un titre, le titre renvoie une partie prix méthodologique

- 1ère PARTIE : LE FONCTIONNEMENT DES RÉGIMES POLITIQUES CONTEMPORAINS - TITRE 1 – LES ÉLÉMENTS FONDAMENTAUX DES RÉGIMES CONTEMPORAINS Chapitre 1 : L’État L’État est la personnification juridique de la nation souveraine. Les conditions d’existence d’un état sont au nombre de 3 : - un territoire - une population - et la souveraineté. Section 1 : Le territoire Il est l’élément qui permet de distinguer l’État d’une organisation internationale (comme l’ONU). Il est le support physique

ou la Nation exerce la souveraineté. On va se poser la question de qui est souverain dans l’Etat, c’est-à-dire qui est à l’origine. La théorie de la souveraineté nationale s’oppose à celle de la souveraineté populaire. Toutes les deux furent établies à l’époque des Lumières, mais elles exigent d’être bien distinguer car elles sont très différentes quant au droit de suffrage, au lien de représentation et à la légitimité des gouvernements notamment. Chapitre 1 : Souveraineté et Droit De Suffrage

DROIT CONSTITUTIONNEL Titre 1 : le contrôle politique du pouvoir : la démocratie Chapitre 1 : les définitions de la démocratie Section 1 : le sens des mots et les usages du mot Le terme de démo désigne habituellement un système politique ou une forme de gouvernement. C'est-à-dire désignation de la manière dont s’exerce le pouvoir dans l’Etat. Le mot de démo est l’adj auquel il est associé, « démocratique », peut aussi viser d’autres situations, variables. On peut entendre une forme de société

Institution politique Souveraineté: la non soumission, la non domination par une autre entité La souveraineté ce divise en deux *externe : souveraineté international (armés, diplomatie...) *interne : disposition de tous les pvr interne (police, justice, loi..) Souveraineté nationale : (Siéyès) Souveraineté populaire : (Rousseau) Confier à la nation, collective, inaliénable, imprescriptible, indivisible, elle est distingue des individus qui la compose. Selon Siéyès, la souveraineté appartient

Sujet : la souveraineté nationale et la souveraineté populaire La théorie de la souveraineté a été marquée jusqu’au 18e siècle - avec l’avènement de la révolution française - par une conception théocratique et monarchique. Cette théorie accorde au pouvoir une origine divine. Toutes les grandes cosmogonies ainsi que les religions ont fondé le pouvoir sur une origine divine. Dans l’Egypte pharaonique le pharaon était considéré à l’image de Dieu. Dans la Chine traditionnelle l’empereur était appelé

théoriciens qui ont renforcés le concept d’Etat, en en faisant le berceau incontesté du pouvoir politique, d’autres auteurs comme Marx, se sont opposés au modèle étatique. En effet, contrairement à ce que l’on a vu précédemment, Marx ne voyait pas dans l’Etat l’instrument conceptuel permettant de forger durablement la société humaine. Pour lui, l’Etat était un instrument destiné à asservir les individus. En conséquence pour Marx, c’est de la disparition de l’Etat que dépend l’émancipation de l’Homme et de