Spasticité

situations cliniques, certains facteurs sont plus spécifiques : - en neurologie, orthopédie et traumatologie, on peut retenir trois facteurs de risque fondamentaux : la pression, la perte de mobilité et le déficit neurologique auxquels s’ajoutent la spasticité, l’incontinence, le risque peropératoire et le manque de coopération du patient. En cas de chirurgie reconstructrice, l’âge, le tabagisme, la corticothérapie, le diabète, les troubles de la microcirculation et de la coagulation sont péjoratifs pour

Les femmes présentent statistiquement plus de formes bulbaires que les hommes. Quels que soient les territoires concernés, la symptomatologie initiale se manifeste par la coexistence de troubles moteurs centraux (syndrome pyramidal : hyperréflexie, spasticité) et d'atteintes neurogènes périphériques - crampes, perte de force musculaire, fonte 1 2 3 toujours pas élucidées, pas plus que ne l'est le lien entre la SLA et les autres pathologies neurodégénératives. Le pic d'incidence se situe entre 55

de maladresse, il s’agit alors de « parésie ». b) Spasticité La spasticité est une raideur musculaire excessive. Suite à un traumatisme grave, certaines cellules nerveuses du cerveau peuvent être étirées. Les muscles restent donc contractés, les membres sont raides. On parle d’une paralysie « spastique ». c) Mouvements incontrôlés Réflexes trop vifs, secousses musculaires incontrôlables (même au repos) accompagnées d’une forte spasticité. Si le cervelet a été atteint lors de l’accident, on

inférieurs avec souvent une légère atteinte des membres supérieurs triplégie : atteinte de trois membres quadriplégie : atteinte des quatre membres. Chacune de ces atteintes peut présenter l’une ou l’autre des caractéristiques suivantes : La spasticité : se traduit par une raideur et une contraction exagérée du muscle. Ce qui peut amener à des déformations des membres et du tronc. Elle est due à une atteinte du système nerveux pyramidal ou du système de la motricité volontaire. L’athétose : est

monoplégie, paralysie des membres inferieurs ou supérieurs du même cotés : hémiplégie, paralysie des membres inferieurs et légère paralysie des membres supérieurs : diplégie, de 3 membres : triplégie, des 4 membres : quadriplégie. Il y a aussi la spasticité qui entraine une déformation des membres et du tronc, l’athétose est une atteinte du système nerveux, qui entraine des mouvements involontaires, incontrôlables et incoordonnées, qui provoque des troubles du langage ou dans d’autre cas ou elles peuvent

gestes de la vie quotidienne, néanmoins l’autonomie est le vecteur de sa socialisation et de son inclusion dans cette société. C. Hervé à la piscine : C’est un Hervé complètement détendu, souriant, libre, léger, soulagé de ce corps raidi par la spasticité et la quadriplégie. L’eau transforme son corps en mouvement. Je le sécurise par des boudins de flottaison. La relation éducative que nous avons construit lui permet d’avoir totalement confiance en moi, je suis à ses côtés mais c’est Hervé qui décide

tels que - les IMC. L’IMC correspond à l’infirmité moteur cérébrale définie par un trouble du mouvement et de la posture dûe à une lésion non évolutive du cerveau immature avant l’âge de deux ans. L’IMC résulte de trois grandes formes : la spasticité, notamment du pied et du genou par exagération du réflexe d’étirement, l’hypertonie de la naissance  étant conservé. Ceci est du à un défaut de fonctionnement de la commande cérébrale et provoque chez le sujet une rétractation, des mauvaises positions

comportementales: anxiété, équilibre entre vigilance/sommeil, mémoire. - contrôle des fonctions de motricité et de contraction musculaire: ceci a un rôle dans de nombreuses maladies comme l'épilepsie, les convulsions non épileptiques, et la spasticité (contractures musculaires, crampes, ce qui est important en particulier dans le SEP). - contrôle de l'équilibre entre les neurotransmissions inhibitrices et excitatrices: rôle dans l’épilepsie et l’ischémie cérébrale (l'ischémie est une réduction

tous, un usage raisonnable et contrôlé des antalgiques, la recherche des installations et soutiens les mieux adaptés à chacun des changements de poids et taille, l’enseignement aux aidants de l’ergonomie des « transferts », les traitements de la spasticité ; ces différents moyens doivent s’inscrire, au fur et à mesure des avancées des soins, dans le projet. « Cette médecine du quotidien » évolue avec les étapes de vie pour faire face, par exemple, aux aggravations de l’épilepsie ou des déformations

d’origine vestibulaire, il est possible de bander les yeux du cheval et d’observer une démarche titubante appuyée du côté de la lésion comme dit précédemment lors de l’examen du nerf vestibulaire. 39 5.2.3. Hypométrie Elle se définit comme une spasticité ou une raideur des mouvements des membres avec une flexion réduite des articulations, en particulier du carpe et du tarse. L’animal pose le pied au sol de manière brusque avec un bruit claquant et les antérieurs semblent présenter un léger temps