Spasticité

de la cheville et troubles sensitifs associés, suites d’atteintes vasculaires sévères du membre inférieur, suite de chirurgie orthopédique lourde entraînant l’immobilisation du membre inférieur. Ce positionnement est contre-indiqué en cas de spasticité des muscles fléchisseurs plantaires. Modalités : Placer systématiquement un arceau au fond du lit. Dès que possible, lever le patient au fauteuil (avec coussin adapté) et reprendre la marche. Il existe des chaussures avec une décharge du talon

cérébrales. Celles-ci entraînent, progressivement, l'apparition de troubles secondaires. Troubles moteurs d'abord, que décrit Marie-Pierre : «La contradiction entre l'hypotonie (diminution de la tonicité musculaire) de tout l'axe du corps et la spasticité (hypertonie avec réflexe exagéré) des membres est à la source d'un grand désordre dans les commandes musculaires. Des déformations articulaires s'installent. En quelques années, mon enfant a développé des luxations des hanches, des poignets, des

femmes présentent statistiquement plus de formes bulbaires que les hommes. Quels que soient les territoires concernés, la symptomatologie initiale se manifeste par la coexistence de troubles moteurs centraux (syndrome pyramidal : hyperréflexie, spasticité) et d'atteintes neurogènes périphériques – fasciculations, crampes, perte de force musculaire, fonte musculaire (« amyotrophie »). Il n'existe aucun trouble sensitif dans cette maladie. L'évolution est capricieuse, pouvant s'étendre de quelques

physiques et aurait même des effets post-thérapeutiques (10 semaines après les séances)20, c’est à dire à long terme. Tonus musculaire : spasticité Plusieurs études ont prouvé que l’équithérapie améliorait significativement les troubles de spasticité par exemple chez les paralysés cérébraux. La posture à cheval permettrait à ces patients d’améliorer leur spasticité grâce « aux mouvements rythmiques et tridimensionnels »21 connecté au bassin du patient par le cheval. Sur les personnes atteintes

en cas de dénutrition ou d » attente hépatique préalable. Il ne faut pas dépasser 4 grammes de prise par 24 heures en 4 prises toutes les 6 heures. Baclofene Winthrop 10mg : 2-2-2 : myorelaxant à action centrale, traitement symptomatique de la spasticité. Risperdal 2mg : 2-0-2 antipsychotiques en pédiatrie utilisé en traitement des troubles du comportement (automutilation). Contre-indications : hypersensibilité au produit, interdit aux enfants de moins de 5 ans, phénylcétonurie (maladie génétique

manuelles, artistiques, gestuelles et jeu de société, l'ergothérapeute aide les personnes souffrant d'un handicap à : -retrouver un maximum d'autonomie dans la vie quotidienne et professionnelle. -lutter contre l'enraidissement et la spasticité (contraction musculaire, donc réflexes exagérés). -développer et récupérer les facultés sensorielles. -restauration des fonctions supérieures (concentration, mémoire, capacités cognitives...) La réadaptation

cognitifs importants (épilepsie ou troubles visuels importants). ! Forme spastique (la plus fréquente) : hypertonie musculaire perturbant la motricité fine. Troubles de la sensibilité proprioceptive et de la stéréognosie (gnosie tactile). IMC : Spasticité : (mouvement volontaire anormal) : atteinte du SNC (cortex cérébral ou voie pyramidale) provoquant des hypertonies du tonus musculaire lors de la mobilisation passive d’un segment de membre (=> résistance anormale à l’étirement passif du muscle)

bien la complexité du problème : c'est le cas du syndrome de Rett (qui n'atteint que les filles, se manifeste d'abord par une indifférence et une perte de l'usage des mains, puis par des crises épileptiques évoluant vers une quadriplégie et une spasticité; maladie évolutive dont l'étiologie est inconnue). C'est le cas aussi de certaines encéphalopathies épileptiques (syndrome de West) avec syndrome autistique et troubles du comportement.     Les troubles moteurs sont pratiquement constants  

* Altération de la mobilité liée à l’hémiplégie droite se manifestant par une incapacité à bouger la jambe, le bras et la main droite ainsi que des résistances à la mobilisation. Objectif : Conserver sa mobilité gauche et lutter contre la spasticité droite Actions : Rôle sur prescription * Matelas anti-escarre * Barrière au lit pour le risque de chute * Installation à plat Rôle propre : * Aide pour les actes de la vie quotidienne : repas, toilette… * Mobilisation douce

contre le cancer, mais aussi dans les traitements de l'anorexie et de la cachexie (affaiblissement profond de l'organisme) dues à une infection par le V.I.H, aux douleurs neuropathiques (douleurs causées par une atteinte du système nerveux), de la spasticité dans la sclérose en plaques et des lésions de la moelle épinière... En ce qui concerne d'autres indications comme l'épilepsie, les démangeaisons et la dépression, le nombre d’informations disponibles est beaucoup plus restreint. Les découvertes