Spécisme

attitude qu’on appelle le spécisme est inacceptable selon les étudiants Regan, Fracione et Singer. Malgré qu’ils soient tous les trois antispécismes, nous pouvons remarquer une différence dans leur mouvement de libération animale. Soit une approche utilitariste pour Singer et une approche déontologique pour Regan et Francione. Le développement qui suit contient une brève définition du spécisme, les différences des antispécismes sur l’égalité, le droit et la liberté. Le spécisme est une discrimination

L’éthique animale A . Histoire des idées et éthique animale A . L’homme, politique par nature B . De l’animal à l’homme, de l’état de nature à l’état civil L’animal et le spécisme dans le christianisme ARISTOTE – L’homme comme zoon politikon HOBBES – L’homme est un loup pour l’homme GAUGUIN – Le mythe du bon sauvage L’animal et le spécisme dans la modernité Le texte sacré fondateur de la religion judéo-chrétienne a lui aussi défini un certain rapport moral de l’homme à l’animal : l’homme est une créature

l’éthique. ................................................................................................ 4 d. Définition de l’éthique animale. ................................................................................... 5 e. Définition du spécisme ................................................................................................. 5 2. Un point d’histoire : des courants de pensées qui s’opposent au fil des siècles ............ 6 a. Chez les penseurs ..........................

.................................................................................................................................................. 7 II/ LE SPECISME ....................................................................................................................................................... 7 A1. 2. BLe spécisme en éthique.............................................................................................................................. 7 Supériorité, différences

un intérêt à ne pas souffrir, ils ont comme nous le droit de ne pas souffrir inutilement. C’est en tout cas l’avis des antispécistes. » Jaquet, F. (2018), « Spécisme », version académique, dans M. Kristanek (dir.),  Encyclopédie philosophique , URL :  http://encyclo-philo.fr/specisme-a/Jeangène Vilmer – Le welfarisme  « Il faut pour commencer distinguer entre ceux qui s’opposent au fait d’exploiter les animaux (abolitionnistes) et ceux qui s’opposent

morale, l'antispéciste ne légitime pas l'abîme moral (différence) entre humains et animaux. ''Chaque individu est jugé selon certaines qualités (capacité de souffrir ou de comprendre) qui peuvent être communes aux membres des deux espèces''.(p.161) Le spécisme est une discrimination basée sur l'espèce, tout comme le racisme sur la race et le sexisme sur le sexe. La préférence est toujours accordée aux membres de l'espèce humaine. Le spéciste considère l'Homme comme supérieur à l'animal. Il opte pour une

«supérieur». Le racisme et le sexisme sont tous deux des modèles de sectarisme insoutenable. Il n'existe pas de race ou de sexe «supérieur» ou «inférieur». Les différences raciales et sexuelles sont biologiques, et non morales. Il en est de même du spécisme qui affirme que les membres de l'espèce Homo sapiens sont supérieurs à ceux de toutes autres espèces, simplement du fait qu'ils appartiennent à l'espèce, dite «supérieure», de celui qui tient cette opinion. Car il n'existe pas d'espèce «supérieure»

secondes en France 1 animal meurt torturé toutes les 3 secondes en Europe 1 animal meurt torturé toutes les 2 secondes dans le monde. Les animaux sont considérés comme une marchandise, sous prétexte qu’ils sont d’une autre espèce : c’est du spécisme. 3 millions d’animaux sont tués chaque jour dans les abattoirs français et pour justifier cela, les consommateurs se sont persuadé-e-s que la vie et les souffrances des autres animaux ne valent pas grand-chose : « ce ne sont que des animaux ! ».

occidentale en excluant systématiquement tout individu ou groupe mettant en péril le projet de société féodale qu'elle construit depuis le début du xe siècle ; les cathares croient en effet à la réincarnation et les lois du sang, le machisme, le spécisme, etc., deviennent ce faisant caduques et injustifiables en théorie : le seigneur peut à sa mort se réincarner en serf, ou le serf en seigneur, l'homme en femme et vice versa, etc.9 Un critère qui sera souvent utilisé est leur refus du mariage

sont capables de subir une injustice, un dommage, parce qu’ils sont capables de souffrir »9. Spécisme versus antispécisme, welferisme versus abolitionnisme Par ailleurs, avant d’en présenter les différents courants, J-B. Jeangène-Vilmer introduit deux notions qui sont centrales à l’éthique animale. La première, l’antispécisme, est une notion fondamentale apparue en 197010 et qui s’oppose au spécisme, ce dernier consistant à « assigner différentes valeurs ou droits à des êtres sur la seule base