Spectateur Acteur

la comédie », c'est-à-dire qu'il endosse l'identité de quelqu'un d'autre et ne parle pas en son nom propre, et ce, devant un ou des spectateurs, avec une vraie mise en scène et la présence d'objets (symboliques pour la plupart). Il y a donc double jeu. Ici, nous avons affaire à trois cas de figure différents. Dans Hamlet, il y a une vraie mise en abyme : des acteurs, engagés par Hamlet, jouent à l'intérieur de la pièce une pantomime qui annonce et résume une tragédie (en vers) où l'on « s'empoisonne

- Les coulisses, postscaenum, sont cachées derrière le mur de scène, - Au sous-sol, se trouvent les machineries. Les spectateurs accédaient au théâtre par des couloirs d’accès souterrains. Il étaient protégés du soleil ou de la pluie par un Velum ( une toile ). Elle est composée d’esclaves ou d’affranchis. Dans la plupart des cas, on y trouve 5 histrions (acteurs), des tibicines (flûtistes), des cantares (chanteurs), des danseurs, des musiciens, des figurants, des machinistes. Elle

en prenant des cas particuliers de pièces vues, en m'appuyant également sur le jeu des acteurs, pour finir par peser le pour et le contre de ce que je considère étant du « théâtre à la marge ». Tout d'abord, une pièce qui serait « à la marge », c'est une pièce qui serait différente des autres, par exemple une pièce qui romprait avec les règles classiques qui sont la bienséance (ne pas choquer le spectateur), la vraisemblance (doit être vrai), et les trois unités : une action, un lieu, en 24h

Jean-Marc Lalanne qui critique un mauvais scénario qu’il qualifie de « relou et démagogique ». Puis Fréderic Strauss et Pierre Murat, dans l’article quatre, représentent le pour et le contre puisqu’ils y voient respectivement une complicité entre les acteurs et un manque de rythme. Enfin Antony Palou pense que cette pélicule est un véritable bol d’air. Ainsi il semble intéressant de se demander quels sont les critères qui ont fait d’intouchables un bon film ? Pour cela dans un premier temps nous étudierons

peut alors se demander ce qui peut bien pousser le spectateur à se rendre au théâtre. Que va t-il y chercher ? Plaisir et distraction ? Evasion, sensations et émotions ? Ou ses motivations sont t-elles de l'ordre de la réflexion et de l'apprentissage ? Il paraît logique que les premières attentes d'un spectateur qui se rend au théâtre soit celles de la distraction et du plaisir. Au delà du moment privilégié qu'il pourra y passer, le spectateur trouvera également de quoi le séduire et lui plaire

l’empire du rêve, Krystian Lupa y ajoute des nouvelles idées. En 1985 l’adaptation du texte marquait une étape décisive dans son travail et synthétisait sept années d’expérimentations autour de ce que Lupa a appelé ”le théâtre de la révélation”. Les acteurs de cette pièce sont : Sandra Korzeniak, Agnieszka Roszkowska, Magdalena Kuta, Malgorzata Mas´lanka, Maria Maj, Monika Niemczyk, Piotr Skiba, Andrzej Szeremeta, Tomasz Tyndyk, Lech Lotocki, Jan Dravnel, Wladyslaw Kowalski, Jakub Gierszal, Henryk Niebudek

Pour le 17/12/12. ECRITURE D'INVENTION Scène VI Acte 2 : JULIE : La metteuse en scène. AXEL : Le costumier. CLAIRE : Le régisseur, éclairagiste. ANTOINE : Le décorateur, machiniste. PAUL : Acteur, dans le rôle de Théramène. SAMUEL : Acteur dans le rôle de Hippolyte. LAURA : Acteur dans le rôle de Phèdre. JULIE : Pour cette scène, nous allons tout d'abord réfléchir au placement des personnages : Hippolyte et Théramène. Je pense que Théramène devrait se montrer plus puissant que

lecteurs, comporte des éléments qui permettent d’interpréter l’histoire, d’imaginer tout ce qui entoure le texte et qui se sera dit sur scène. Elle contient les répliques des personnages et les didascalies. L’autre partie du texte est destinée aux spectateurs, certaines parties du texte écrit disparaissent à la représentation comme la marque des divisions en actes et en scènes ainsi que les didascalies. Une pièce de théâtre est divisée en actes, qui correspondent à une étape importante de l’action

limite ? Nous répondrons à cette problématique en deux axes, le premier traitera des libertés admises au théâtre, et le second de ses contraintes. Cet axe annoncera donc les pièces de références, puis abordera la liberté du metteur en scène et des acteurs au théâtre. Notre théâtre du XXème siècle, ou «Théâtre de l’Absurde » comme il fut désigné par l’écrivain Martin Esslin en 1962, devient l’espace où tout est possible

deviennent + brèves. * Une pratique qui consiste à ne pas assister à la totalité du spectacle apparait pendant ce siècle ( les + riches revendent leur contremarques aux spectateurs moins fortunés.) * Les poulaillers et paradis permettent aussi aux plus modestes d’avoir accès au spectacle. * Plus pratique de la claque : spectateurs payés pour applaudir ou siffler sur les injonctions d’une chef de claque ( Hugo les refusa d’ailleurs pour sa pièce Hermani ou il préféra inviter ses proches).