Spectateur Acteur

il devient ami avec son administrateur, Lugné-Poe et parvient à y faire jouer sa pièce le 10 Décembre 1896. Ubu Roi remet en cause le théâtre classique et son langage dès le premier mot : « Merdre ! » lors de la représentation, on se bat entre spectateurs et critiques et le scandale assure la gloire de l’auteur. Jarry théorise les principes théâtraux qu’il utilise dans Ubu Roi dans un article intitulé De l’inutilité du théâtre au théâtre, paru en Septembre 1896 au Mercure de France. Il y explique

Dans la description que fait Sosie, le côté divin du double ressort, sa force surhumaine, ses exploits en tout genre « c’est un drôle qui fait des rages ». De plus l’anaphore « ce moi » répétée huit fois dans la tirade de Sosie porte confusion. Le spectateur de même qu’Amphitryon a dû mal à savoir de quel « moi » parle Sosie. Le mot « moi » est répété très souvent dans cet extrait. Contrairement à Amphitryon qui ne comprend pas, Sosie fait clairement la différence entre lui et son double. Amphitryon

la botte de paille, la brouette, le fumier, la fourche etc… Les costumes imposant marquent bien la différence de classe sociale. Merlin fiancé de Lisette propose à Colette et Blaise de s’investir en tant que acteurs à une pièce de théâtre dont il sera le metteur en scène et aussi acteur. Son majestueux costume bicolore reflète le double rôle du personnage. Colette et Blaise, un couple de paysans amoureux, devront jouer un rôle qui les mettra dans des situations qui provoqueront de la jalousie

laisse aux spectateurs d'utiliser son imagination. Il y a une triangle d'or qui relie le spectateur avec son imagination, l'auteur avec sa pièce et les acteurs. Crimp utilise tous les moyens contemporains pour raconter son histoire. Dans cette pièce, il y a aucun réalisme. Nous pouvons dire cela car quand Chris rentre du travail, il jette son manteau par terre. Il fait ceci car il a envi de promener tout ce qui lui rappelle son travail. Tout ceci est une contrainte scénique mais les acteurs ont réussi

commencer par expliquer que le théâtre est un art de la représentation, un monde factice où tout le monde fait semblant (acteur + spectateur) mais que finalement, peut-être ces masques, cette vision déformée peuvent permettre de montrer le vrai. I- Le théâtre, «pays de l’irréel » A- Les conditions de la représentation Proximité physique des acteurs, partage d’une émotion avec toute une salle (lieu artificiel : on ferme les lumières – même en matinée. Monde clos, à part

d’œil à l’Impromptu de Versailles de Molière, met en scène la troupe de Louis Jouvet en pleine répétition : comme dans la pièce de Molière, Giraudoux exploite dans cette pièce le procédé du procédé du théâtre dans le théâtre. Dans cet extrait, les acteurs engagent la discussion avec Robineau, un visiteur, à propos du public. Nous verrons comment ce passage exploite le procédé de mise en abyme pour proposer une vision originale de l’interaction qui existe entre le public et les comédiens. Pour ce faire

rajouter à ces moyens l'endroit même, car l'ambiance, les spectateurs qui rient et les acteurs on ne peut plus vivants sont propices à ce rire. Là intervient le metteur en scène, qui joue véritablement un rôle de chef d'orchestre, car chaque représentation sera en réalité une interprétation, et c'est cette personne qui détient le pouvoir du choix entre tel et tel costume, telle ou telle couleur, éclairage, décor et bien entendu choix des acteurs, afin d'établir son style, sa finesse ou sa brutalité,

» un personnage c’est entrer dans sa peau, l’incarner. Une autre définition répandue et celle de la compréhension. Par exemple, lorsqu’un metteur en scène doit « interpréter » une pièce, il la déchiffre pour mieux la comprendre. De même pour un spectateur qui « interprète », ou « comprend » une représentation lorsqu’il en voit une. Finalement, une « interprétation » peut aussi être synonyme de « traduction ». En effet dans le cadre du théâtre, une pièce écrite au XVIIe siècle emploiera un vocabulaire

celles des rock stars) celles, les plus portées à l’écran. Comme pour l’incarnation de toute autre personne publique et célèbre (qu’elle que soit le milieu dont elle est issue), la biographie filmée de peintres est aussi très convoitée par les acteurs. C’est là, la parfaite occasion pour un comédien de montrer l’étendue de son talent, la diversité de ses gammes d’interprétation, et ainsi d’asseoir sa réputation. On compte environ 78 biopics de peintres à ce jour et on remarque que l’un des peintres

licence lui ouvre la profession d’avocat qu’il abandonnera au bout de six mois. C’est alors qu’en 1643 il fonde l’Illustre Théâtre avec la comédienne Madeleine Béjart sous le pseudonyme de Molière. Il en sera l’administrateur et fera aussi partie des acteurs. La troupe s’installe au jeu de paume des Métayers, faubourg Saint-Germain. Mais en 1645, le théâtre fait faillite (la concurrence avec l’Hôtel de Bourgogne et du Marais est trop forte). Molière est donc emprisonné quelques jours pour dettes au Châtelet