Spéculation

envolée de 12 % en 2010, quand celle du brésil a augmenté de 6%.   B) Une demande peu élastique : Le pétrole n'est pas aisément remplaçable.   Ex : Transports où la demande est incompressible.   C) Les effets de la spéculation : Si la demande "réelle" est en augmentation stable et constante, la demande spéculative tend à déstabiliser fortement les prix. Ex : Aujourd'hui , les transactions sur le marché physique représentent 165 millions de barils par jour, quand

effet de ne pas faire de rapprochement entre la crise financière de 2008 et l’innovation financière, les subprimes étant un produit dérivé, un actif destiné initialement à émettre des titres de créance à taux variables. Au-delà des débats à la spéculation financière, des questions relatives à l’innovation semblent refaire surface, aux Etats-Unis par exemple dans le sens d’un retour vers le Glass-Steagall Act de 1933 prôné par les économistes tels que Stiglitz et Krugman, ou en France autour de la

Typologie d’une attaque spéculative  Un exemple chiffré  Le cas de la livre sterling  III. Les conséquences de cette attaque  La dernière tentative de la Bank of England  Le résultat: un échec  La stabilisation de la livre 2 La spéculation monétaire se définit par un pari sur la hausse ou la baisse du taux de change (flottant ou fixe) et du cours d’une monnaie.  On remarque des divergences entre l’économie réelle et le cours des devises, ainsi que des contradictions avec les

leurs activités que leurs interventions imposent aux producteurs (les statistiques qui reposent sur ces prix censurés ne sont pas fiables : cf. la prétendue "efficacité" du Système National de Santé britannique). [edit] Autre argument : la spéculation serait déstabilisante, et non pas stabilisante Cet argument est digne d'intérêt : le problème, c'est qu'on ne gagne de l'argent à spéculer que si l'on achète quand ça va monter, et si l'on vend quand ça va descendre. Cela implique de contribuer

multiplication par cinq de son cours entre septembre 2003 et juin 2008. Cette hausse brutale est liée à une hausse de la demande dans une ambiance de forte création monétaire depuis 2007 et de haute conjoncture, à une stagnation de l'offre et à la spéculation entretenue par une crainte de coupure des approvisionnements et une recherche de valeur refuge tandis que les marchés boursiers s'effondrent. Aussi, les craintes d'un conflit militaire peuvent se répercuter de manière forte sur l'évolution du

transactions courantes, et à la capacité du pays à attirer des investisseurs étrangers. La comparaison des taux d’intérêts réels Lorsqu’un agent économique a le choix entre la possession de plusieurs monnaies différentes (par exemple à des fins de spéculation), il souhaite a priori détenir la monnaie qui ne perde pas e valeur avec le temps. Il faut donc que le pays dans lequel cette monnaie a cours connaisse : - un taux d’inflation faible ; - des taux d’intérêts nominaux élevés ; Or, on calcule les

l’intérêt qui constitue une rémunération garantie. Nous reviendrons par la suite sur cette dernière notion de partage des risques qui constitue un des fondements de l’économie islamique. b / Prohibition de la spéculation (Gharar) L’islam interdit les jeux de hasard (Maysir) et la spéculation (Gharar). Toute prise de risque en dehors de l’activité économique est interdite. A partir de ce principe l’islam interdit des transactions de types vente à découvert, opérations de couverture, options et ventes

Le marché des changes sera efficient d’un point de vue fondamental (ou efficient au sens de Fama), si la dynamique du taux de change reflète celle de ses fondamentaux, telle qu’énoncée par la relation de PTINC d’une part, et d’autre part, si la spéculation sur un tel marché n’est pas rentable ; c’est-à-dire si le couple rendement/risque associé à une stratégie spéculative particulière n’est pas supérieur à celui d’une stratégie d’investissement alternative présentant un même niveau de risque. 1.2

explication généralement admise de sa survenue. Les ouvrages qui lui sont consacrés sont le plus souvent descriptifs, éventuellement normatifs, rarement explicatifs, à l'image de ceux qui se limitent à une explication, fondée par exemple sur l'excès de spéculation comme La Grande Dépression (1934) de Lionel Robbins ou La Crise économique de 1929 (1955) de John Kenneth Galbraith. Du reste, chaque école de pensée économique a tiré la couverture en faveur de ses thèses générales. L'explication par surconcentration

trouvant des sources de profit simples et rapides. Ces produits dérivés ont ainsi certes permis une croissance de la liquidité nécessaire pour éviter la faillite, mais l’opacité les accompagnant a augmenté les risques sous-jacents, en facilitant la spéculation et l’instabilité financière. La crise du début d’année 2008 est entre autres causée par un manque de confiance dans les produits de crédit complexes, innovants mais difficiles à évaluer. La bulle spéculative sur les prix des matières premières du