Spinoza Bonne Foi

Remise en question de l'autorité d'une religion cultuelle/liturgie, rôle de l'église → marquant au XVIIIème → critique des prêtres : obscurantisme religieux. Entretient la superstition, l'ignorance. « la superstition est l'asile des ignorants » Spinoza → crédulité. Pierre Bayle, Fontenelle jusque Voltaire → critique de la religion telle qu'elle est instituée avec tout son appareil → puissance qui est fondée sur l'ignorance des gens : croyance au miracle et sa dénonciation. En effet la physique

vérités qu'on n'a pas le droit de taire. Il existe des vérités pour lesquelles ce serait une faute que de se taire. Comment appelle-t-on la vertu qui consiste à dire la vérité quand on la connaît ? André Comte-Sponville l'appelle la bonne foi. L'homme de bonne foi dit ce qu'il pense être vrai (à tort ou à raison) et pense vrai ce qu'il dit. C'est l'homme sincère. Or, on oppose ordinairement la sincérité à l'hypocrisie et au mensonge, termes qui ont une connotation négative au plan moral. S'il est

........... 13 La religion comme objet de dispute ......................................... 13 La religion comme objet d’analyse ........................................... 14 La religion comme élément des mutations modernes.............. 14 1. Foi et raison : qu’est-ce que croire ? ................................... 15 Croire ou savoir ? ....................................................................... 15 Le statut de la raison ........................................................

chose est certaine d’un point de vu scientifique, c’est que tout ce qui nous entoure est composé de toutes petites particules : les atomes. Le premier a lancé cette thèse était Démocrite. Aujourd’hui nous parlons d’atomes crochus pour désigner une bonne entente que nous pouvons avoir avec quelqu’un. Cette image renvoie a la réduction de l’esprit, dans les relations ? Prouvé scientifiquement, la science veut la conformation que tout est matière. En ce sens, la biologie nous explique grâce a la finalité

d’esprit critique, d’autonomie intellectuelle. Qu’il soit pour un mathématicien, un journaliste, etc. On peut du coup considérer la philosophie comme étant plutôt une tentative pour aider les hommes à « accéder à la vie bonne », libérer les hommes des peurs, des « passions tristes » (Spinoza), tout ce qui nous empêche d’être heureux, libres et sereins. Voilà une conception plus pratique de ce qui est la Philosophie. C’est une dimension qu’on appellera sotériologie de la philosophie, c’est-à-dire une Doctrine

pensées » : il rend justice à chacun en ce sens que la nature nous dote tous, pour l’essentiel, de ce dont nous avons besoin et que par conséquent chacun a sa place bien précise dans ce cosmos. Y trouver sa place, c'est atteindre le bonheur et la vie bonne). Aristote (dont le stoïcisme s'inspire) : dénonce l'illusion de ceux qui jugent le monde mauvais parce qu'ils ne regardent que les détails sans accéder à une intelligence convenable de la totalité. « Si on se borne à regarder notre petit coin

sagesse “Tout est opinion. Et l’opinion dépend de toi“. Cette citation de Marc-Aurèle résume à elle seule la pensée stoïcienne. En cette brève formule, la sagesse stoïcienne illustre pleinement son idéal, lequel exerce sur l’ensemble de la philosophie (Spinoza, Descartes, …) une influence majeure. 5-Le paradoxe du taureau de Phalaris Un tyran, un supplice et un paradoxe ouvrent le chemin. Le tyran se nomme Phalaris. Il règne par la terreur et l'assassinat, comme il se doit, et passe pour singulièrement

Le processus se répétant sans fin, nous finissons au bout d’un moment par réaliser que ce combat est perdu d’avance. La vérité est ailleurs. Pour échapper à tous ces faux-fuyants, nous comprenons que pour avoir une vie réussie, avoir une vie bonne, il faut sortir de cette idéologie du « paraître » pour s’inscrire dans un questionnement sur « l’être ». Dans cette remise en question de soi, d’autres voies d’exploration s’ouvrent à nous. Et dans cette nouvelle démarche pour mieux appréhender

Toute jouissance tirée des biens de ce monde (de la chair, de la richesse, du pouvoir…) nous détourne du seul bien qui soit susceptible de combler l’âme : Dieu. Le bonheur véritable suppose un renoncement aux séductions de ce monde, dont seule la foi nous rend capables. Mais la pensée chrétienne nous éloigne en réalité de la conception antique d’un bonheur qui restait à la portée des hommes et de leur existence mortelle, conception immanentiste peut-être encore mieux exprimée par Aristote que par

utiles. Si tu les as, tant mieux pour toi: mais si tu es juste, tant mieux pour les autres. Ce n’est pas encore assez d’être juste, il faut être bienfaisant; voilà ce qui est véritablement cardinal. Et tes théologales, qui sont-elles? L’Excrément. — Foi, espérance, charité. L’Honnête Homme. — Est-ce vertu de croire? Ou ce que tu crois te semble vrai, et en ce cas il n’y a nul mérite à le croire ou il te semble faux, et alors il est impossible que tu le croies. L’espérance ne saurait être plus vertu