Spinoza Bonne Foi

Heisenberg (qui a établit la notion d’incertitude) : l’historien doit finalement être conscient de sa propre subjectivité parce que de toute façon, on interroge le passé à propos de problématiques contemporaines. C’est Ricœur P. qui a définit une « bonne subjectivité » de l’historien. En effet, l’historien contemporain ne s’attache pas seulement à restituer des faits mais il veut aussi les comprendre. L’objet de la « synthèse historique » consiste à mettre en relation des événements pour leur donner

suffit-elle à me dire libre si elle ignore la puissance de mon corps et des causes de mes désirs ? Ainsi, l’homme n’est-il pas semblable à la pierre qui se croit libre dans sa chute parce qu’elle désire tomber mais ignore ce qui a causé le mouvement ? (Spinoza). Les prisonniers de la caverne de Platon ont bien conscience de voir ce qu’il voient et désirent à travers les ombres projetées au fond de la caverne par les marionnettistes-sophistes (l’image du bonheur vendue par les publicitaires et les politiques

qu'on oublie rien. On connaît ts ce genre d'oubli. DS ces cas, on sent que le mot est en ns sans parvenir à le retrouver. On a tous remarquer aussi qu'à ce moment alors, on recherche de manière compulsive ce mot, même si on sait que ce n'est pas la bonne solution. DS ces cas-là, il arrive des noms de substitution, qui donne l'impression parfois de ressembler au mot recherché ms pas le bon. Le psychanalyste pense qu'on oublie rien. Les oublis qui intéressent les psychanalystes sont ceux de mots qu'on

responsabilité engagé dans cette série causale ? Puis-ce que l’homme est dépassé par les événements avec lesquels il interagit, la question du libre arbitre ne peut s’envisager. Nous sommes donc victimes « des conditions qui nous détermine » pour reprendre Spinoza. Mais finalement pensé l’homme comme la proie de son « destin » renverrait à une forme de relativisme détestable. Certes, un violeur n’a pas fait le choix conscient de devenir ce qu’il est. Pourtant, que faire de la parole des meurtriers, pédophiles

déterminé à faire le bien, mais ce bien n'en serait plus un ; la bonté des actions humaines ne serait plus qu'un résultat prédéterminé, supprimant toute valeur morale et toute responsabilité telles qu'elles sont comprises dans cette perspective. L'action bonne librement décidée n'existe donc que si des actions mauvaises sont possibles. Encore une fois, l'existence d'un dieu bon et tout puissant serait compatible avec l'existence du mal, et une certaine sorte de mal serait même logiquement la conséquence

fondamentales de toutes religions: - la piété ou la foi qui relie le croyant au sacré ou au divin. Cette relation est verticale, elle relie le croyant à un être «  transcendant  », au delà du monde, c’est ce que Bergson nomme « religion dynamique ». - la pratique rituelle institutionnalisée est le pouvoir terrestre d’une religion qui rassemble les fidèles entre eux dans une communauté religieuse. Cette dimension de toute religion est immanente. Et tandis que la foi est la dimension subjective de la religion

AKROUR Adel, sec02 Candide I- Sur Les Lumières et Voltaire. 1) Le mouvement des Lumières est un mouvement culturel, philosophique, littéraire et intellectuel apparaissant dans la seconde moitié du XVIIe avec des philosophes comme par exemple Spinoza ou encore Newton. Cependant le mouvement se répand dans toute l'Europe et en particulier en France dans le courant du XVIIIe siècle. Ils étaient contre les oppressions religieuses et politiques et se voyaient comme une « élite » œuvrant pour un progrès

AKROUR Adel, sec02 Candide I- Sur Les Lumières et Voltaire. 1) Le mouvement des Lumières est un mouvement culturel, philosophique, littéraire et intellectuel apparaissant dans la seconde moitié du XVIIe avec des philosophes comme par exemple Spinoza ou encore Newton. Cependant le mouvement se répand dans toute l'Europe et en particulier en France dans le courant du XVIIIe siècle. Ils étaient contre les oppressions religieuses et politiques et se voyaient comme une « élite » œuvrant pour un progrès

dépasser la condition humaine ordinaire. Descartes et l’affirmation de la nécessité du doute ; de faire table rase (tabula rasa) des opinions, préjugés, contes de nourrices, dont l’esprit se trouve encombré malgré lui. 2) Superstition et religion Spinoza, Traité théologico-politique : la superstition est la forme dégradée de la religion. 3) Traditions, coutumes et habitudes Coutumes, traditions et habitudes sont commandées par une logique de répétition, sans légitimation autre que la référence réitérée

religieux. Des perspectives historiques et des sciences sociales, il en résulte une fausse conception de la sécularisation. Pour Hannah Arendt, seul le contenu politique de la religion permet de la traiter adéquatement. Et par religion, il faut entendre la foi chrétienne, en ce qu'elle estau centre de la question de la séparation entre « les sphères publique et religieuse ». La disparition de sa polarité politique a, selon la philosophe, «modifié la nature même de notre vie publique » comme l'atteste son