Spinoza Si La Constitution Des Hommes

relativiste, selon lequel il est impossible de ne parvenir à aucune certitude, tant en ce qui concerne la vérité que pour la question morale. En effet, la proposition s’énonce surtout comme un refus de laisser mettre en question ses propres actions, ou comme si le simple fait de revendiquer ou d’assumer un choix en assurait la légitimité. En réalité, une position strictement relativiste ne tient pas face à une analyse sérieuse du concept de morale, elle révèle bien davantage l’enfermement dans les opinions

malléabilité et ces déterminismes psychologiques afin d'induire des comportements collectifs : habitudes de consommation, goûts, options politiques, fanatisme, idolâtries, croyances religieuses... Ainsi l’addiction à nombre de séries télévisées, si prisées d'un public jeune, ne doit rien au hasard ou à la valeur intrinsèque du contenu, souvent affligeant, mais résulte d’un formatage très précis : il faut un effet toutes les 40 secondes : des émotions (angoisse, peur, tristesse, amour etc. ) du

nous pouvons nous demander si dans un sens somme nous prisonniers de nos croyances ? Pour y répondre nous nous demanderons dans un premier temps si la croyance est une entrave à la liberté de telle manière à ce que les croyances religieuses peuvent agir de façons néfastes sur l’exercice de la liberté des individus. Dans un second temps nous verrons si ces religions une fois bien assimilée par le croyant, au contraire peuvent paraitre comme libératrice. Enfin nous verrons si le croyant peut faire preuve

Dissertation : Peut-on vouloir le mal ? « Si Dieu existe, d'où vient le mal ? » pose la question de la nature et de l'origine du mal. Pour tenter de résoudre ce problème théologique classique Leibniz affirmait l'existence de plusieurs sortes de mal que sont le mal métaphysique, le mal moral et le mal physique. Il explique ainsi que le mal métaphysique concerne la constitution du monde, de l'arrangement des choses et des événements. En l’occurrence, il s'agit de l'imperfection du monde et de

connaissance théorique, produit d’une activité de l’esprit abstrait et sans aucun autre but qu’elle-même (la science se suffit à elle-même, comme disait Spinoza), comme la mathématique, est au premier bord la seule voie permettant d’atteindre la vérité, car pur produit de la raison qu’affuble la plupart des philosophes à l’ensemble de l’humanité. Néanmoins, si l’on définit la vérité comme adéquation entre un discours et le réel, un paradoxe se dégage de sa relation avec la connaissance théorique, étant donné

modèles de pensée plus anciens, comme la conception pharaonique du roi-Dieu, la recherche grecque du meilleur gouvernement, la maîtrise romaine du droit, ou encore le dualisme chrétien. Il est alors facile d’avancer que l’invention de nouveaux paradigmes, si tant est qu’on peut en concevoir d’originaux, ne peut se faire sans la mémoire des précédents. Ce fut l’Antiquité pour les révolutionnaires, le Moyen-âge pour les romantiques, l’utopie pour les socialistes, la loi naturelle pour les libéraux. Une bonne

académique respecte et applique des règles précises et peut être considéré comme opposé à la création artistique. Pour créer, il faut des règles Si l'on convient que la production artistique répond à une envie et que l'artisanat répond à un besoin, il faut également différencier la création de la production. Dans ce cas, on peut se demander si l'artiste ne doit pas initialement être un artisan. Car c'est lorsque la technique est maîtrisée de façon parfaite qu'elle s'efface au profit de l'art

 Thème 4 Les environnements en changement : la montée en puissance de nouveaux enjeux La nature Le mot nature n’est presque plus utilisé. Il a été progressivement remplacé par le concept d’environnement. C’est un peu comme si on se débarrassait d’un terme assez affectif (nature) pour adopter un terme plus technique.  Serait-ce un signe que notre civilisation s’éloigne peu à peu de la nature ? Définition du développement durable : « répondre aux besoins du présent sans compromettre

considérations sur le psychologue nb : plan du cours découpé selon mes notes de cours Préambule • morale et droit, psychologie et droit, psychologie et morale ne vont pas obligatoirement de pair. C’est à nous de voir si c’est compatible ou pas, et quelle position je prends si ça ne l’est pas, et sur quelles bases choisir. Chercher les ponts. Ex : sous le régime nazi le clinicien se devait de dénoncer les malades mentaux pour les envoyer dans les camps de la mort (conflit morale/droit). • La

arguments en faveur de l’existence de Dieu 12 a. L’argument d’autorité 12 b. Pas de création sans créateur 12 c. L’ordre du monde 12 d. La preuve par le désir 13 e. L’argument ontologique 13 3. La foi et la raison (Spinoza) 16 4. Les limites de la raison (Pascal, Kant) 17 5. Vivre et connaître (positivisme, Russell, Freud) 20 B. Le problème du mal 22 1. Le mal n’existe pas 23 a. Le mal n’existe pas 23 b. Le mal est la condition du bien