Spinoza Traité Politique

qui ont plus de valeur que de sens ; qui chantent plus qu’ils ne parlent ; qui demandent plus qu’ils ne répondent ; de ces mots qui ont fait tous les métiers, et desquels la mémoire est barbouillée de Théologie, de Métaphysique, de Morale et de Politique ; mots très bons pour la controverse, la dialectique, l’éloquence ; aussi propres aux analyses illusoires et aux subtilités infinies qu’aux fins de phrases qui déchaînent le tonnerre. Paul Valéry, Regards sur le monde actuel, « Fluctuations sur

Albert. O. Hirschman Les passions et les intérêts Justifications politiques du capitalisme avant son apogée. (Princeton University Press, 1977) « Capitalism is evil » (Le Capitalisme est le Mal). Telle est la conclusion de « Capitalism : A love Story », dernier long métrage  du réalisateur américain Michael Moore.  Un siècle plus tôt, c’était à Jean Jaurès d’exprimer la même crainte au cours d’un discours à la Chambre en 1895: « Le capitalisme porte

l'administration intérieure de la République, « la vertu sans laquelle la terreur est funeste, la terreur sans laquelle la vertu est impuissante. » Partant du constat selon lequel seuls les rapports de force, en dernière instance, règlent ou régulent l’action politique, imposer d’un coup une grande violence, comme une violence purgatoire, afin de faire cesser cet état de nature qui régit la société. Comment le citoyen peut-il devenir un bon citoyen ? En étant guidé par la morale et non pas l’instinct. D’où le lien

chose a une identité car elle est caractérisée par une essence et reste identique à elle-même, et cette essence est inaltérable. Ça se recoupe ces deux sens-là. Ceci est la caractérisation traditionnelle de la chose. La chose et la réalité chez Spinoza : Mais cette définition traditionnelle de la chose va être interrogée à plusieurs niveaux car elle suscite plusieurs enjeux : Elle contient l’idée de permanence Elle est opposée à une autre considération du réel  théorie des qualités : l’idée

où les sciences ne donnent que des formules mathématiques. La religion est en quelque sorte la croyance en un Dieu juge qui ordonne des lois. Ce Dieu à des pouvoirs : il punie, récompense et peut même parfois changer les lois de la nature. Chez Spinoza, le fait que ce Dieu soit comme un roi, qui décide de tout, résulte d'un délir de l'imagination. Effectivement, au lieu d'expliquer de manière rationnelle les évènements de la nature, un homme qui croit en Dieu va imaginer que ces évènements naturels

cette prouesse de virtuose, qu'est le « sacrifice de l'intellect », constitue le trait caractéristique et décisif de tout homme pratiquant. S'il en est ainsi, on voit que, malgré la théologie (ou plutôt à cause d'elle), il existe une tension insurmontable (que précisément la théologie nous révèle) entre le domaine de la croyance à la « science » et celui du salut religieux. » Max Weber, Le savant et le politique D) L’homme d’engagement contre l’homme qui raisonne. Support texte : « Ce

de cet exemple de l’histoire, la démocratie peut être plébiscitée comme le meilleur des régimes politiques, une formule susceptible de tout résoudre .Or ,à l’analyse la démocratie présent des insuffisances et des travers .Dès lors est-il encore légitime de la considérer comme une panacée ?Que peut-on reprocher à la démocratie ?A quelles conditions la démocratie peut-elle devenir un régime politique viable ? I-La DEMOCRATIE COMME LA MEILLEURE FORME DE GOUVERNEMENT (LA DEMOCRATIE COMME UN MODELE

n’est plus opposé à la liberté que la nécessité subie qui transforme le sujet en simple chose. Toutefois, la liberté ne peut pas être définie par ce simple trait négatif : d’abord parce qu’il ne suffit pas de ne pas être contraint pour être libre, ensuite parce que la liberté recouvre des domaines distincts, psychologique, éthique, politique, que l’absence de contrainte ne permet pas de discerner. L’absence de contrainte est donc une condition nécessaire mais non suffisante de la liberté. 1. La

elle-même, l'ère des Lumières est donc celle de la réflexion lucide de la raison sur elle-même.  L’ère des Lumières est un courant philosophique du XVIIIe siècle qui affirme la valeur universelle de la raison, en réaction contre l'absolutisme politique et la tradition religieuse.   En 1784, Emmanuel Kant donne la définition suivante des Lumières : " Qu'est-ce que les Lumières ? La sortie de l'homme de sa Minorité, dont il est lui-même responsable. Minorité, c'est-à-dire incapacité de se servir

qu'apparaissent ces usages ces pratiques c'est ici qu'apparait la trève ( c'est un accord entre deux armées pour interrompre pour suspendre la guerre ) Il y a aussi l'apparition de l'armistice c'est un trève en vue de la paix. AU MA il y a aussi des traités de paix , pour etablir , traduire en règles juridiques l'accords de cette guerre ave ces contenus , ces conditions , il y a aussi des le MA , des accords entre etats concernant le traitement des prisonniers de guerre. Ils sont plus sophistiqués car