Spinoza Traité Théologico Politique La Liberté De Penser

L’ETAT Un Etat est : 1- une institution politique 2- remis en cause par différents courants politiques (Anarchie) 3- une oppression des prolétaires par une bourgeoisie détentrice du pouvoir économique 4- dans le cas d’un Etat de droit, une condition indispensable pour le respect des libertés individuelles. Un Etat de droit, c’est des citoyens sujets de droit, la recherche du bien commun et l’arrivée au pouvoir par les urnes. 5- un Etat de droit s’oppose à un Etat despotique : recherche

la Faculté de Juger, privilégie d'ailleurs cette analogie. L'Etat conforme à son essence est analogue à un corps vivant, l'Etat despotique au contraire est semblable à une machine. Cette analogie est d'ailleurs déjà présente chez Aristote ( La Politique ). Mais cette analogie a des limites. Le corps organisé "fonctionne" toujours de la même façon, selon une détermination naturelle (biologique). L'Etat, quant à lui, est un produit "culturel", c'est-à-dire l'objet de décisions humaines, de conventions

Alain (Émile Chartier) (1946) SPINOZA Un document produit en version numérique par Mme Marcelle Bergeron, Professeure à la retraite de l’École Dominique-Racine de Chicoutimi, Québec et collaboratrice bénévole Courriel: mailto:mabergeron@videotron.ca Site web: http://www.geocities.com/areqchicoutimi_valin Dans le cadre de la collection: "Les classiques des sciences sociales" dirigée et fondée par Jean-Marie Tremblay, professeur de sociologie au Cégep de Chicoutimi Site web: http://www.uqac.uquebec

de la citoyenneté : à quelles conditions le renouvellement peut-il être associé avec profit à la gestion des affaires publiques ? * Annonce du plan : si la citoyenneté est un idéal unissant des droits civiques et politiques à des devoirs de contribution effective à la vie politique que nos démocraties risquent de remettre en cause (1), les nouvelles formes d’engagement citoyen doivent être favorisées, encadrées et coordonnées par les pouvoirs publics afin de revivifier notre démocratie (2)

LA LIBERTE Les différentes formes de liberté : La liberté peut tout d’abord se définir par une absence totale de contraintes, de règles, de limites ; c’est une définition spontanée de la liberté et irréfléchie car on s’aperçoit rapidement que cette définition est naïve. Une telle conception renvoie à l’anarchie , à la loi du plus fort, à une apologie des passions et ne peut donc convenir à l’homme, vivant en société. La liberté civile, c’est la liberté du citoyen vivant en société et soumis à

prétendue de leurs passions ou de leur volonté. Enfin, une fois que nous aurons déterminé si l’homme est capable d’être l’esclave de lui-même, nous pourrons nous demander s’il a également le pouvoir de se libérer de sa propre emprise, et de choisir la liberté contre l’asservissement qu’il s’impose à lui-même.   I.                    Etre l’esclave de soi même : un paradoxe  parfait a.       L’esclavage : une soumission à autrui ? b.      L’esclavage : une réalité sociale et économique II.                 

pourrait-on objecter ici à Kant, avec B. Constant, qu'il est des cas où la vérité ne doit pas être dévoilée si toutefois elle doit mettre en danger une personne humaine. b. Le problème politique de la liberté d'expression C'est un lieu commun de dire que « chacun a le droit d'avoir son opinion ». Mais, si chacun a le droit de penser ce qu'il veut, a-t-il pour autant le droit de dire, grâce au langage oral ou écrit, tout ce qu'il veut sans aucune exception, sans aucune limite ? La loi en France impose ainsi

leur travail ne leur donne pas le bonheur et le plaisir qu’il devrait leur apporter. Au contraire, le travail les appauvrit intellectuellement et moralement. C’est cette appropriation qu’autorise le travail et dont Locke voulait nous parler dans le traité de gouvernement civil. Pour lui, les choses sont indifférenciées dans la nature et elles appartiennent à chacun d’entre nous. Le travail permet de devenir propriétaire de ces choses. En travaillant nous gagnons un bien. Nous devenons propriétaires

Chartier) (1946) SPINOZA Alain (Émile Chartier) (1946) Spinoza Table des matières Préface LA VIE ET LES ŒUVRES DE SPINOZA LA PHILOSOPHIE DE SPINOZA Introduction I. La méthode réflexive II. De Dieu et de l’âme III. Des sentiments et des passions IV. De l’esclavage de l’homme V. De la raison VI. De la liberté et de la béatitude CONCLUSION Table analytique des matières et des références La vie et l’œuvre de Spinoza La philosophie de Spinoza Mémento bibliographique

il se lèvera. C’est donc en vain que nous tenterions d’en démontrer la fausseté. Si elle était fausse démonstrativement, elle impliquerait contradiction, et jamais l’esprit ne pourrait la concevoir distinctement. Baruch SPINOZA, Traité théologico-politique (1670) Les hommes ont une tendance naturelle à la superstition Si les hommes pouvaient régler toutes leurs affaires suivant un dessein arrêté ou encore si la fortune leur était toujours favorable, ils ne seraient jamais prisonniers