Spinoza Une Forme Illusoire De Liberté

rattache à une révélation, par exemple celle que l’on rencontre chez Saint Augustin ou Saint Thomas d’Aquin, ou qui ne se rattache à aucune révélation, par exemple celle que l’on rencontre dans des systèmes philosophiques comme ceux de Platon ou de Spinoza. La théologie rationnelle laisse donc place à un discours sur Dieu, mais non en tant qu’elle se rattache à une religion donnée, elle entend aussi en faire dépendre le contenu de la Révélation qui elle ne peut se discuter. L’accent mis sur la

prendre conscience de ses propres limites, de se libérer de ses défauts, de développer ses qualités, et, en faisant abstraction de tout ce qui dans le " je " n'est pas personnel, de prendre conscience de sa véritable identité et, enfin de compte, de sa liberté. La devise delphique laisse entendre que nous ne nous connaissons pas réellement, que la connaissance de soi n'est pas une donnée immédiate de la conscience. Elle nous invite donc à entreprendre une recherche, une descente dans les profondeurs de

) ........................................................................................... 24 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 25 Texte 6 : La passion amoureuse, illusion du bonheur ou bonheur illusoire, A. Schopenhauer (1788-1860) ..................... 26 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 27 Texte 7 : Idéalisation de l’autre et censure de la critique, S. Freud (1856-1939). .....................

nécessaire. Le problème de la détermination de la volonté est central dans la théologie des Pères de l’Eglise. En effet, le christianisme affirme la liberté comme naturelle à l’homme ; c’est cette liberté qui fait que l’homme est responsable de ses actes, de ses péchés comme de ses bonnes actions. Thomas avait lui-même avancé cet argument pour démontrer la liberté de l’homme contre la doctrine de la détermination nécessaire dans De Malo, où il affirmait : « Certains auteurs ont soutenu que c’est par nécessité

humain devient une machine, l’âme d’une simple chose qui pense, dotée par Dieu de certaines idées et assurée par lui de son expérience du vrai. Dans la tradition aristotélicienne, l’âme humaine se définit comme la forme principale d’un corps qu’elle anime dans ses moindres mouvements, forme que l’on peut diviser en 3 parties : végétative, sensitive et raisonnable. Descartes rompt avec cette tradition. Selon lui, l’homme a en lui une seule âme pensante qui s’exprime : le Cogito. Cette âme est sujette

autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vigueur en France. Il est précisé que son stockage dans une base de données est également interdit. Powered

rapport entre conscience et différents contextes (religieux, mode de vie …). Il faut quon puisse penser comme des structures universelles de la conscience malgré la diversité des contextes culturelles… l’homme est il un empire dans un empire (cf spinoza), cad une exeption de la nature: ds celle ci tout a une cause et les seuls universelles sont les lois de la nature, les lois physiques.. luniversité de la conscience a t elle sa place dans la nature ? Est ce que la conscience peut être le fondement

Débutons avec Aristote dont on peut affirmer qu’il est le premier théoricien du fait politique, fait qu’il décrit sans ignorer la contingence qui l’affecte (à la différence de Platon qui s’était avant tout consacré dans La République à prescrire une forme idéale de cité, gouvernée par les philosophes, et réglée sur la science du Bien). Pour Aristote, les hommes se regroupent tout d’abord en famille ou foyer (lieu des relations homme/femme, maître/esclave, père/enfant) puis en village et enfin en cité

sont les actes des dieux et leurs interférences avec les premiers hommes. Le monde s’organise selon des forces qu’il faut saisir et qui sont d’abord interprétées à l’image des hommes eux-mêmes : on parle d’anthropomorphisme. Les hommes projettent la forme et les fonctionnements humains sur le reste du monde. L’orage n’est jamais compris comme un phénomène « neutre, indifférent, naturel », mais d’abord comme l’expression tonitruante d’un personnage qui se fait entendre. S’il y a du bruit, c’est que quelqu’un

atteigne les réalités supérieures aux choses sensibles. La vérité est le privilège de ceux qui ont su s’affranchir des passions, des intérêts sensibles, des pulsions et se diriger vers l’Idée, pure vérité, immuable et éternelle, transcendant toute forme sensible.  L’évidence cartésienne Le sujet pensant cartésien, enfermé en lui-même, pousse le doute jusqu’au bout et parvient ainsi à une certitude inébranlable. Descartes trouve la vérité dans «l’invincibilité de certaines évidences privilégiées»