Stasi

monétaire entre RFA et RDA qui entre en vigueur le ler juillet. 3 octobre : l'Allemagne est réunifiée. 1991: une loi autorise la consultation de son dossier de la Stasi. 2003, février : Good Bye Lenin! de Wolfgang Becker attire en Allemagne 6,5 millions de spectateurs. Le 9 octobre, ce fut le tournant. La « police du peuple », la Stasi et l'armée populaire nationale s'étaient d'ores et déjà préparées à la dispersion par la force des manifestations du lundi. Un « appel des citoyens de Leipzig »

l'imaginaire des allemands, et même de l'Europe, comme l'ont montrés les films Good bye Lenin en 2003 et La vie des autres en 2006. On constate le retour d'actrice est-allemande comme Katrin Sass, dans Good bye Lenin, ou Ulrich Mühe, l'agent de la Stasi dans La vie des autres, qui a lui-même souffert de la surveillance de la police politique. Il convient de réhabilité, notamment en France, le cinéma de la RDA, sans justifier le régime, qui ne qualifie pas automatiquement ses productions culturelles

autoritaire avec un parti unique : la SED qui mise tout sur l’industrie. Durant l’existence de la RDA près de 4 millions d’Est Allemand on fuis le pays. La société est mise sous contrôle : les jeunes sont embrigadés. Les citoyens sont surveillés par la Stasi et les personnes considérées comme opposant sont arrêtés. Le 17 juin 1953, une révolte des ouvriers est réprimée (sanctionné, arrêté) par l’armée rouge. B. La RFA : un état démocratique. Libéré de la gauche communiste le SPD abandonne toute référence

devient notamment, en 1957, l’un des six membres fondateurs du Marché commun. En revanche, la RDA suit le modèle soviétique. Démocratie en apparence, la RDA n’autorise en réalité qu’un Parti unique, ce qui lui permet d’obtenir 100 % des suffrages. La STASI, police politique, élimine les opposants : parmi eux, ceux qui ne vouent pas un culte de personnalité à leurs dirigeants. Planification et collectivisation sont repris en RDA à l’image de l’URSS. La RDA se tourne vers l’industrie de biens de consommation

l’interdiction des signes ostentatoires et reconnu que les signes plus discrets ne pouvaient faire l’objet des mêmes réserves. » Lorsque de nouveaux incidents liés au port du foulard islamique vinrent relancer la polémique, une commission présidée par Bernard Stasi fut mise en place afin de « proposer des évolutions possibles pour mettre en œuvre ce principe de laïcité de manière apaisée ». La loi qui suivit, publiée en mars 2004, tranche dans son article 1 en précisant que « dans les écoles, les collèges et

einzige Partei gibt: Die SED, sie wurde 1946 gegründet und ist eine Zwangsvereinigung zwischen SPD und KPD. Im Osten regierte eine Diktatur.Die Menschen durften nicht frei wählen, sie durften keine freie politische Meinung haben, alles wurde von der Stasi kontrolliert. Viele Menschen lebten in der Angst. In der DDR gab es eine Planwirtschaft: es wurde nur das notwendige produziert und verkauft, es gab viele Mängel und alle Menschen besaßen die gleichen Sachen. Im Westen entwickelte sich durch den Marshallplan(

même occasion les porteurs de valise des fondamentalistes arriérés. L'épisode suivant est significatif. [En France,] le 19 septembre, la jeune écrivain iranienne Chahdortt Djavann, auteur de Bas les Voiles (Gallimard), était reçue par la commission Stasi sur la laïcité. Plaidant contre le voile, elle s'est estimée malmenée et mal reçue par ces "laïcs" français qui prennent le parti des fondamentalistes, par lâcheté et par ignorance. Elle déclarait (le Figaro, 22/09/2003): « parmi ces spécialistes de

secrétaire général Allemand : Walter Ulbricht > meurt et est remplacé par Honecker. SED ne se réformer pas de 1945 à 1989. Même après la mort de Staline. Le système repose sur une surveillance généralisée, organisée par la police politique, la Stasi. En Allemagne de l’Ouest (RFA) RFA créée en 1949. Parti communiste peu populaire > interdit.SPD seul parti de gauche. Réexamine son rapport au Marxisme. 1959 : Congrès de Bad Godesberg : SPD abandonne la doctrine marxiste. Devient un parti

dorénavant un principe Républicain essentiel, repose sur trois grands piliers principaux en France. Ces piliers qui ont d’ailleurs été redéfinis par la Commission de réflexion sur l’application du principe de laïcité dans la République (Commission Stasi) en 2003 érigent un cadre qui permet de ne pas se perdre dans les nombreuses interprétations de la laïcité. • La neutralité de l’État L’État se doit d’être complètement objectif et impartial dans l’établissement de ces lois, c’est

pour ce qui est de l’alimentation, les congés, les absences etc. Cette obligation fait face quelques exceptions prévues par des textes de loi, comme dans le cadre de la fonction public, pour le code du travail de l’Alsace et Moselle, dans la « Stasi » ou bien encore dans la HALDE. Malgré l’exigence, portant sur l’employeur, du respect de la liberté de conscience de l’employé, ce dernier est alors soumis à des prérogatives limitant la manifestation de sa religion au sein de l’entreprise. I-