Statue Du Narrateur Point De Vu

réalité et qui est idéal. Cette notion d’utopie existe depuis l’Antiquité avec de nombreux exemples mythologiques: l’âge d’or, l’Atlantide, l’île des Bienheureux ou même philosophiques comme la Cité de Platon dans la République. Qui parle ? Un narrateur quasiment absent (1 seul indice personnel l.24), il s’agit de Raphaël, un des personnages du livre I qui dialogue dans ce livre I avec d’autres personnages (Pierre et Morus (= More lui-même)) et qui décrit dans le livre II l’île dans laquelle il

Phœbus ? ... Lusignan ou Biron» → Le moi Nervalien se construit au détour de d’autre identité ( mythologique ou historique) mais cela se fait de manière interrogative → Le temps Nervalien est un temps qui déborde des cadres du vécu, la mémoire du narrateur déborde de la naissance et peut remonter très loin à des temps fantasmé. Le problème de Nerval c’est qu’il est plusieurs, comment harmoniser les différentes moi d’une existence ? ! • v.3 «Ma seule Etoile est morte» 3 interprétation possibles

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Chapitre II : La mobilitŽ du Narrateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . La distance entre le HŽros et le Narrateur et le r™le du Sujet IntermŽdiaire . . . . . . . . . . . La position du Sujet IntermŽdiaire. . . . . . . . La position du Narrateur . . . . . . . . . . . . . . . Chapitre III : La prŽsence du Narrateur . . . . . . . . . . . . . . . . . . Narrateur et monologue intŽrieur. . . . . . . . . Les valeurs de sympathie . . . . . . . .

du vers 14. On n'hésitera pas à mettre à mort le poète symboliquement mais il reste un homme incompris. L'albatros poète se moque des flèches qui ne peuvent l'atteindre. Il est exilé, c'est-à-dire étranger du milieu dans lequel il vit et est très mal vu et ses ailes, c'est-à-dire le génie, le gênent. Conclusion : Selon Baudelaire, la place du poète dans la société est comparée à un albatros : majestueux dans le ciel, son élément mais ridicule sur terre et au contact des hommes. De même, le poète

titre est symptomatique de la caractéristique principale de l’écrivain belge. D’ un article du 18 décembre 1910, Edmond Picard utilise l’expression « fantastique réel » pour faire référence aux œuvres de Franz Hellens. « C’est le Réel, mail le réel vu, senti en ses accidents énigmatiques, avec intensité », écrivait-il. Cet oxymore a frappé Hellens, qui le reprendra sous diverses formes dans ses titres (Réalités fantastiques, Nouvelles Réalités fantastiques). Mais on ne doit pas faire une généralisation :

long du roman jusqu'à la fin où Pierre, exclu de la famille , s'exile sur La Lorraine,et fuit le cercle familial. Le narrateur nous montre aussi l'attachement que Louise a pour Pierre.Elle s'inquiète de ne pas le voir trouver de métier et un moyen de gagner de l'argent. Elle est toujours là pour apaiser les tensions entre Pierre et Jean. Plusieurs passages nous montrent à quel point les rapports mère-fils sont tendus des lors que Pierre a découvert le secret de sa mère. Pierre est maintenant certain

n’était pas encore le fantôme et que ce n’était déjà plus l’homme. Son chapeau était jeté à quelques pas dans les broussailles. Cosette, prête à défaillir7, ne poussa pas un cri. Elle reculait lentement, car elle se sentait attirée. Lui ne bougeait point. À je ne sais quoi d’ineffable8 et de triste qui l’enveloppait, elle sentait le regard de ses yeux qu’elle ne voyait pas. 5 10 15 20 25 30 1. a. Cherchez dans le dictionnaire les sens du mot romantique. b. Qu’appelle-t-on une scène romantique ? un

un silence insoutenable et à travers un malaise fou. Mais « Dieu merci, il a l’air convenable ». C’est un jeune homme poli qui parle constamment, sans jamais obtenir de réponses, sans jamais même en attendre. Il semble vivre seul dans un monde de statues. Le jeune Werner prend l’habitude, durant l’hiver, de venir se chauffer au feu de foyer, où il égaye son soliloque. Les relations de l’Allemagne et de la France sont son sujet le plus fréquent. Il parle d’art, de littérature et de musique, parce

de ses besoins affectifs et sa dif culté à percevoir au-delà de son environnement immédiat. Un roman autobiographique Deux aspects permettent de classer Un secret dans la catégorie du roman autobiographique : – l’identité entre l’auteur, le narrateur (emploi du « je ») et le personnage principal qui évolue au cours de la narration ; – les libertés prises par l’auteur par rapport à la réalité vécue (exagération, invention, métaphore…). Une histoire authentique qui vient s’incarner dans notre

révélation a lieu, le traumatisme, qui s’apparente à une castration, précède de peu sa mort sous les coups de stylets des hommes de main du protecteur de la Zambinella, le cardinal Cicognara. Le récit qu’on vient de faire n’est autre que celui que le narrateur propose à une jeune femme qui, lors d’une soirée mondaine sous la Restauration, a été intriguée par la présence d’un petit vieillard énigmatique et qui n’est autre que la Zambinella âgé. La jeune destinataire du récit en éprouvera un tel dégoût qu’elle