Statue Du Narrateur Point De Vu

compose de la correspondance fictive d’un ou de plusieurs personnages. La correspondance étant quelque chose d’intime, cette littérature est riche en informations sur le ou les personnages qui livrent alors des témoignages, expriment des sentiments… Le point de vue de chaque épistolier est livré et les intrigues s’entrecroisent. Le roman par lettres connaît son plein essor au XVIIIème siècle, Les Liaisons Dangereuses de Choderlos de Laclos étant l’un des romans par lettres les

particulière à l’égard de Mme WANG Wenrong qui n’a pas épargné sa peine pour avoir maintes fois relu le manuscrit. Et je ne pourrai pas oublier l’aide généreuse de Marie Frappat et Emilie Frenkiel dont la lecture minutieuse m’a permis de mettre au point cette thèse. Ma reconnaissance va, tout spécialement, à ma famille qui m’a accompagnée durant ces années de recherche. 3 4 5 TABLE DES MATIERES Introduction ------------------------------------------------------------------------- 9 Partie

Turner nous fait penser au poème de Nerval puisqu’on retrouve se coucher de soleil prédominant avec des couleurs comme l’oranger et le rouge. 3) Bertrand, Gaspard de la nuit, « Un Rêve » 1842 posthume Il était nuit. Ce furent d’abord – ainsi j’ai vu, ainsi je raconte – une abbaye aux murailles lézardées par la lune – une forêt percée de sentiers tortueux – et le Morimont1 grouillant de capes et de chapeaux. Ce furent ensuite – ainsi j’ai entendu, ainsi je raconte – le glas funèbre d’une cloche

nous viserons les objectifs suivants : savoir observer un texte ; savoir classer un texte en fonction de différents critères ; savoir repérer dans un texte les éléments qui en facilitent la compréhension. Nous aborderons dans ce qui suit les points suivants : Les objectifs de la compréhension de l’écrit 2. Le classement des textes 3. L’image du texte 4. La situation de communication 5. La progression thématique 6. Le questionnaire Avertissement : Les textes proposés constituent

dessille les yeux du jeune homme qu’est Céline-Destouches sur le monde3. Elle lui ôte toute envie de se soumettre : C’est pourquoi je parcours et parcourrai encore le monde, dans des occupations fantaisistes, c’est pourquoi aussi beaucoup d’autres qui ont vu nous joindront. C’est pourquoi le régiment des dévoyés et des errants se renforcera de nombreuses unités, transfert fatal de la désillusion, bouée d’amour-propre, rempart contre la servitude qui avilit et dégrade, mais contre qui personne ne proteste

afin de souligner le caractère pure et innocent de la scène. Un lieu où l'homme n'a pas besoin de se cacher derrière une façade implique une tolérance et l'acceptation de toute personne.. En effet, l'odorat ne fait qu'accentuer la pureté des esclaves vu que ces derniers sont « tout imprégnés d'odeurs ».. C'est un processus tout à fait naturel qui montre l'innocence de cet univers. Nul n'a besoin de parfum pour cacher son odeur corporelle personnelle. Cet univers lointain est propice à l'exaltation

Compréhension et analyse », incitent ces derniers à travailler de manière autonome et permettent aux enseignants de prolonger une séance en exploitant éventuellement d’autres documents. Enfin, des encarts notionnels et culturels (« zooms sur ») éclairent un point spécifique (Freud et la mémoire ; les maladies liées à la mémoire ; la mémoire chez les Anciens ; le genre autobiographique…), aidant les étudiants à s’approprier des aspects parfois complexes du thème au programme. Le dossier situé à la fin du volume

du « je » dans la narration est difficile ; paradoxal donc aussi qu’une autobiographie est en général une affirmation d’identité, alors que W semble être plus une quête initiatique. ( Flou identitaire : perte du nom propre et usurpation Le narrateur de l’histoire ne se nomme que au chapitre VI (début conventionnel d’une autobiographie), le héros de la fiction n’est jamais nommé et on ne découvre son identité usurpée qu’au chapitre V. Le doute identitaire et un aveu partiel apparaissent déjà

comme les chatons d'une rivière au cou d'une femme. Enfin, cette espèce d'idole japonaise conservait sur ses lèvres bleuâtres un rire fixe et arrêté, un rire implacable et goguenard, comme celui d'une tête de mort. Silencieuse, immobile autant qu'une statue, elle exhalait l'odeur musquée des vieilles robes que les héritiers d'une duchesse exhument de ses tiroirs pendant un inventaire. Si le vieillard tournait les yeux vers l'assemblée, il semblait que les mouvements de ces globes incapables de réfléchir

vienent a parlement Et a celé et voyant gent » Il serait peut-être enrichissant de mettre en rapport la description de cette phase de la relation avec la grille proposée récemment par le chercheur américain Crable dans son effort de définir les points cardinaux ou les frontières naturelles de toute relation interpersonnelle. Sur un virtuel axe horizontal, lié à l’ancrage temporel, une relation pourrait se situer par rapport aux pôles de l’intégration ou de la désintégration ; quant à la dimension