Statut Du Narrateur

l’énonciation = de quoi l’énoncé parle. 2) statut et point de vue du narrateur . le point de vue omniscient : le narrateur sait tout et raconte tout au lecteur (omnis = « tout » en latin).  Il n’est pas un personnage de l’histoire (on raconte donc à la troisième personne) mais il connaît les pensées des personnages, leur vie passée et parfois future, les événements cachés. Il donne aussi parfois son avis sur les événements. . le point de vue externe : Le narrateur n’est pas un personnage de l’histoire

abandonna, à plat ventre sur son matelas, le visage dans l'oreiller, et les deux poings contre les tempes. Gustave Flaubert, Un cœur simple extrait de Trois Contes, 1876 Questions/15 : I) La narration 1) Quel est le statut du narrateur? Justifiez votre réponse./1 2) Quel est le point de vue adopté dans ce passage ? Justifiez votre réponse. /1 3) Quels sont les deux temps dominants ? Justifiez votre réponse en relevant un exemple pour chaque temps donné. /2 4) Relevez une ellipse

ou de les brouiller. Les temps de la narration : Le narrateur raconte les événements qui se sont déroulés dans un passé plus ou moins éloigné : le récit est au passé. Le narrateur raconte des événements qui sont supposés se passer au moment où il parle : le récit est au présent. Le récit au futur est extrêmement rare. 2) L’ordre du récit Plusieurs choix sont possibles : Le récit chronologique : le narrateur raconte les événements dans l’ordre où ils sont censés avoir

Il s’agira ici d'étudier dans un premier temps le statut du narrateur puis dans un deuxième temps d'analyser le point de vue du narrateur. Le premier et le second texte possèdent tous deux un narrateur externe et un point de vue interne. Effectivement, Germinal et la condition humaine sont écrites à la troisième personne "il fut repris de honte","lui" ; "il se répétait"

guidée de la pension par le narrateur 1 la présence appuyée du narrateur 2 Ambiguïté de la position du narrateur 3 Un regard ironique II une description réaliste 1 un inventaire précis 2 une réalité non idéalisée III symbolisme et fonction de la description 1 une prolifération d’objet inquiétante 2 liens entre l’homme et son milieu 3 fonctions dramatiques I Une visite guidée de la pension par le narrateur 1 la présence appuyée du narrateur La description est prise en

réalité. Le narrateur : -Morphologie : est-t-il doté d’une certaine « consistance » ? A-t-il une entité ? * Simple instance ou voix narrative. * Émergence du pronom « je » ou d’autres pronoms : on, vous… * Il présente une entité ou une épaisseur : physique, psychologique, idéologique, morale (à partir de l’analyse de ses digressions, commentaires, jugements…). *C’est un personnage de l’action. -Focalisation : *Focalisation zéro : le narrateur omniscient. Ce narrateur n’est jamais un personnage

L'originalité de Jacques le Fataliste tient, nous l'avons dit, au statut du narrateur. Bien loin, comme il le devrait, d'entretenir l'illusion romanesque, celui-ci ne cesse de révéler sa présence. Ses commentaires peuvent prendre la forme de remarques évasives ou de jugements sur ses personnages, mais on peut plus fréquemment y distinguer deux sujets essentiels : C'est d'abord le fatalisme, qui donne son surnom à Jacques et constitue pour les philosophes des Lumières, et pour Diderot en particulier

caché dans la narration qui décrit ce que le narrateur voir et ce qui se passe dans son esprit. Le narrateur expose mais n'interprète et n'explique pas ses idées ni ce qu'il voit. Dans les premières pages du roman il est difficile de deviner qui est le narrateur. Dans ce roman on ne trouve pas une histoire racontée mais une histoire cachée que la structure de l'œuvre rend visible.  On a trois personnages, Franck et un couple. Le mari qui est le narrateur a un tempérament jaloux et va craindre une

sais quoi », « devaient ». 2. Le regard du romancier et la participation du lecteur Le narrateur prend alors le relais : il intervient et superpose son regard à celui du peintre. Curieusement, il fait entrer le lecteur dans le récit, fait appel à son imagination par des impératifs successifs (« imaginez », « mettez cette tête », « jetez ») : le lecteur participe ainsi à l'élaboration du portrait. Le narrateur-romancier se comporte lui-même en peintre dans la création progressive du portrait, traçant

paru pour la première fois en 1883 dans Gil Blas-mouvement réaliste-notion de monstruositéProblématique :Maupassant parvient-il, a travers l'histoire de la mère aux monstres, à livrer une vision des contradiction de la société ?I-Remise en cause du statut de la mèreA-une attraction touristique:quelque chose d’exceptionnel - exceptionnel car inoubliable- la mère et l'enfant sont une attraction touristique vivanteB- une femme effrayante mais victime de son sort-source de curiosité-pas de nom-surnommé