Stavelot

méfiance et haine entre ces deux écoles Séquence 3 Texte 1 - Apollinaire : (1880/1918) : né à Rome, fréquente Matisse, Braque, Picasso, … Meurs à Paris : obus dans la tempe - Poésie (sonnet) - Le guetteur mélancolique de « Stavelot » (1899) - 20e siècle : surréalisme - Discours pour son cœur : amour impossible ? I. Qui parle ? a) Pronom personnel : 1e personne du singulier - Beaucoup d’occurrence dans les 3 premiers paragraphes - Verbe :

fréquente la bibliothèque Mazarine et fouille les boîtes des bouquinistes, trouve son pseudonyme définitif: Guillaume Apollinaire. En juillet, Angelica est à Spa en Belgique; elle ne tarde pas à rentrer à Paris en laissant ses fils dans la bourgade de Stavelot. Cette étape, capitale pour Apollinaire, féconde durablement son inspiration. Il s'éprend de Maria Dubois ("Mareye"), ébauche le conte Que vlo-ve? et L'Enchanteur pourrissant. Début octobre, les deux frères quittent leur hôtel à la cloche de bois

polonaise. Selon l'hypothèse la plus probable, son père serait un officier italien, Francesco Flugi d'Aspermont2. Arrivé à Monaco en 1887, Guillaume est inscrit aux lycées de Cannes et de Nice. En 1899, il passa l'été dans la petite bourgade wallonne de Stavelot, un séjour quitté à « la cloche de bois » : ne pouvant payer la note de l'hôtel, Wilhelm et son demi-frère Alberto Eugenio Giovanni durent quitter la ville en secret et à l'aube. L'épisode wallon féconda durablement son imagination et sa création

1 Portrait d’Apollinaire, pour servir à l’étude d’ AlcoolsLe 25 août 1880 naît à Rome Wilhelm Albert Wladimir Alexandre Apollinaire Kostrowitzky. Sa mère est Angelica de Kostrowitzky, fille d’Apollinaire Kostrowitzky, officier polonais dans l’armée russe. Que faisait à Rome cette jeune fille de l’aristocratie polonaise ? Elle avait été séduite par un officier italien et s’était enfuie de chez elle pour le rejoindre. Il a très vite disparu de sa vie. Elle a pu rester à Rome

accroupie, Regrettant mon amour et votre fier dédain. Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain : Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie Le guetteur mélancolique, poème écrit par Guillaume Apollinaire (1880-1918) appartient au recueil Stavelot (du nom du village). C’est un sonnet dont la ponctuation est étrangement absente, ce qi laisse une grande part d’interprétation Le guetteur mélancolique O mon cœur j'ai connu la triste et belle joie D'être trahi d'amour et de l'aimer encore

5 66  Liège 1 : Ath. Royal Charles Rogier, rue des Clarisses, 13 67  Remouchamps : Institut St-Joseph St-Raphaël, av. de la Porallée 40 68  Seraing : Ath. Royal Air Pur, rue des Nations Unies, 1 69  Soumagne : Ath. Royal, rue des Prairies, 30 70  Stavelot : Ath. Royal Ardennes-Hautes Fagnes, Haute-Levée, 3 71  Verviers : Ath. Royal Verdi, rue des Wallons, 57 (Stembert) 72  Visé : Ath. Royal, rue du Gollet, 2 72bis Waremme : Ath. Royal, rue G. Renier, 1 NAMUR 73  Dinant : Ath. Royal Adolphe Sax, rue

immédiate : « vous aimer à peine ». Est-ce « pour de rire » ? Et l’on peut ainsi songer aux amours enfantines, l’amourette belge par exemple, mais, dans ce cas, ce ne serait plus l’histoire de Marie, celle qu’il vient de perdre. La référence à la Marie de Stavelot au début du poème n’était qu’une accroche en la forme, peut-être une réminiscence du célèbre poème de Ronsard : « Quand vous serez bien vielle, au soir, à la chandelle ». Donc, s’il veut aimer à peine ce n’était pas hier, dans son

pavanent Dans les rose-thé qui se fanent Mais riez riez de moi Hommes de partout surtout gens d'ici Car il y a tant de choses que je n'ose vous dire Tant de choses que vous ne me laisseriez pas dire Ayez pitié de moi Cahier de Stavelot que l’auteur avait lors de son été dans le village wallon et qui inspira Alcools Timbre français représentant Guillaume Apollinaire Sources * Biographie d’Apollinaire : * http://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_Apollinaire

Tristan Tzara, qui l'invite à collaborer à la revue zurichoise Dada, qu'il est, quoique soldat et blessé, un naturalisé en France, «tenu par conséquent à une très grande circonspection» (25). Il a eu plusieurs démêlés avec la loi: après la fuite de Stavelot à la cloche de bois au début du siècle; son séjour à la Santé en 1911; encore lorsque la collection «Les Maîtres de l'amour» a été menacée d'une instruction judiciaire; et puis en 1915, lors d'une vague affaire de dénonciation. Illégitime, apatride

Sa mère, est issue de la noblesse polonaise, et son père est un officier italien,. Arrivé à Monaco en 1897. En 1899, il passe l'été dans la petite bourgade wallonne de Stavelot, un séjour quitté à « la cloche de bois » : ne pouvant payer la note de l'hôtel, Wilhelm et son demi-frère Alberto Eugenio Giovanni doivent quitter la ville en secret et à l'aube. L'épisode wallon féconde durablement son imagination et sa création