Stavelot

plus consciente de leur individualité. Mise sous tutelle par Philippine le bon et Charles le Téméraire, elle reprit son indépendance en 1477 et à la fin XVIIIème siècle encore, elle coupait les pays-Bas en deux tronçons : la principauté abbatiale de Stavelot Maluredy vécut à part elle aussi. L’une et l’autre ne furent amalgamées avec les autres provinces de la Belgique qu’après l’occupation des pays par les armées de la révolution.54 A. Situation Economique Une synthèse de l’économie de la Belgique

suisse, Hachette, Paris, 1997. GUYOT, Charly : Comment lire C. F .Ramuz, Paris, Éditions aux étudiants de France, 1946. HAGGIS, Donald R. : C.-F. Ramuz ouvrier du langage, Paris, Lettres modernes Minard, 1968. HELLENS, Franz : Le fantastique réel, Stavelot, Editions Labor, 1991. Histoire de la littérature en suisse romande publié sous la direction de Roger Francillon, Lausanne, Editions Payot, 1998. HRABÁK, Josef : Čtení o románu, Praha, Státní pedagogické nakladatelství, 1981. HRABÁK, Josef : Poetika

002-665 et VAN DER ESSEN, Etude sur lcs l'itae, pp. H)9 et 219·23 1 ) . Sur Aldegonde, voir, en dernier lieu, 1\1. COE:'iS, Aldegonde, dans B iographie Nafio­ tlale, XXXI (Bruxelles, 1f>62) , col. 10-14 et E. QUADFLIEG, Die lmmu nitiit der A b tei Stavelot in Aachen und ihre Aldegundiskirche, dans Zrifsch ritt de8 Aachener Geschich fs'l:ereins, LXXXIV-LXXXV, 1977-1978 ( = Fesfga be tiir B. Poil, t. I I ) , pp. 738-810, en particulier pp. 788-700. Sur l\Iaubeuge, voir LE CULTE DE SAINTE BOLE

inspiré l’amour pour cette dernière que le poète aime pour l’instant mais, la séparation viendra bientôt les éloigner définitivement l’un de l’autre au milieu de l’année 1912. Dans ce texte, le poète y mêle aussi le souvenir de la jeune fille de Stavelot dit Maria Dubois qu’il avait aimée dans les années 1899. L’image de la femme occupe une place prépondérante dans ce poème. Et, tout cela n’est qu’angoisse dans l’attente du prochain rendez-vous qui aura probablement lieu dans une semaine. Bien évidemment

Paris, Armand Colin, 2002 MICHELAT G. et SIMON M., Classe, religion et comportement politique, Paris, éditions sociales/PFNSP, 1977 MILLET D. et TOUSSAINT E. , 50 questions, 50 réponses sur la dette, le FMI et la Banque Mondiale, CADTM/ ed. Syllepse Stavelot, 2003 MUXEL A., Les jeunes et la politique, Paris, hachette, 1996 M’BOKOLO E., Afrique noire, histoire et civilisations, tome 2 XIXe-XXe siècle, hatier/AUPELF, 1994 NKAINFON PERFURA S., Le Cameroun du multipartisme au multipartisme, Paris, L’harmattan

rappelle que le repos des morts dépend de la conformité de leur inhumation avec les usages canoniques. La Lotharingie = 1er espace où s’expérimente la définition d’un cimetière par un rituel de consécration. Source = la dédicace de l’abbatiale de Stavelot en 1040. La consécration = valeur théologique et disciplinaire. URBAIN II affirme que l’Eglise de Rome est partout chez elle : l’Eglise de Rome est l’Eglise universelle. - LE RITUEL DE CONSECRATION Le rituel privilégié pour

Porcien (1134-1464). Monaco, 1935, XCVI-416 pp. Table onomastique. 2797. G. ROBERT, Juniville sous l'ancien régime. Rev. histor. ardennaise XVII (1910), 209-10 : Origine de Juniville. 2798. C.-G. ROLAND, Les anciennes propriétés de l'abbaye de Stavelot-Malmédy dans les Ardennes françaises. Rev. histor. ardennaise V (1898), 53-77. 2799. C.-G. ROLAND, Est-ce que la science toponymique ne peut découvrir les bois ardennais consacrés au culte gaulois ou germanique. Annales de l'Institut archéologique

nouveau langage au-delà des mots. 1914 : Apollinaire s’engage. Il est atteint, en 1916, par un éclat d’obus et doit être trépané. Revenu à Paris, il y meurt le 9 novembre 1918, à trente-huit ans, de la grippe espagnole. Des femmes… Il y eut, à Stavelot où il séjourne pendant l’été 1899, Mareye – Marie Dubois. Il y eut, à son retour à Paris, Linda la Zézayante. Il y eut, en 1902, la gouvernante anglaise des filles de la vicomtesse de Milhau, en Allemagne où il est devenu précepteur : Annie Playden

un nouveau langage au-delà des mots. 1914 : Apollinaire s’engage. Il est atteint, en 1916, par un éclat d’obus et doit être trépané. Revenu à Paris, il y meurt le 9 novembre 1918, à trente-huit ans, de la grippe espagnole. Des femmes… Il y eut, à Stavelot où il séjourne pendant l’été 1899, Mareye – Marie Dubois. Il y eut, à son retour à Paris, Linda la Zézayante. Il y eut, en 1902, la gouvernante anglaise des filles de la vicomtesse de Milhau, en Allemagne où il est devenu précepteur : Annie Playden