Stendhal Racine Et Shakespeare

2 Les misérables de Victor Hugo - x 3 Le petit prince d'Antoine de Saint-Exupéry - x 4 Germinal d'Emile Zola 6 Le rouge et le noir de Stendhal 7 Le grand Meaulnes d'Alain-Fournier - x 8 Vingt mille lieues sous les mers de Jules Verne - x 9 Jamais sans ma fille de Betty Mahmoody - x 10 Les trois mousquetaires d'Alexandre Dumas - x 11 La gloire de mon père de Marcel Pagnol - x 12 Le journal d'Anne Frank d'Anne Frank - x 13 La bicyclette bleue de Régine Deforges - x 14 La nuit des temps de

le classicisme et aussi contre le siècle XVIII. Le sentiment de la foi. Il n’y a pas de Dieu. Tres puissant en poésie.Ecole du coeur. 1850: Romantisme derive parce que elle est sujet de nombreux contradicions. 3. Romantisme: école Européenne, racine 18e siecle. 1810: essay ‘de l’Allemagne’ parle de meurts allemagne, parle aux arts au filosophie, réligions. Livre theorique, morale, son opinion à la littérature en generale, l’artiste doit être libre, réussir sa création, 1er texte romantique

Dans cette préface Hugo renverse toutes les préjugés en mettant devant la tragédie mordeuse le drame romatique. Sans doute, les idées de cette preface ne sont pas nouvelles ; on peut les touvers chez Schlegel, Mme de Staël ou chez Stendhal dans Racine et Shakespeare, mais ici (dans la préface de Cromwell) elles sont pour la première fois exprimées vigoureusement, sans aucune des restrictions qui pourraient attenuer leur l’importance. On proteste… contre la contrainte des unites de temps

romantique (1800-1850) romantiques tendront à idéaliser la période antérieure (Révolution et Empire) comme héroïque et à ressentir au contraire leur époque comme terne et sans relief (cf. la mythification de la figure de Napoléon Bonaparte chez Hugo ou Stendhal). Il en résulte que le romantisme est le premier mouvement littéraire et intellectuel à introduire le « conflit des générations » (volonté des jeunes de prendre la place des aînés) et à concevoir le thème typique et récurrent de la « génération perdue

SAINTE-BEUVE, Nouveaux lundis, t. 13, 1863-69, p. 284. Écrivain de l'époque classique française. Une collection de classiques; connaître ses classiques par cœur. La querelle des romantiques et des classiques (PÉGUY, L'Argent, 1913, p. 1123). Un Racine apprivoisé, un classique qui traîne dans tous les livres de classe des lycées (GREEN, Journal, 1946, p. 81). Auteur (de pays ou d'époque divers) digne de servir de modèle aux générations futures. Le maître certain du conte, le classique du conte

un père-spectre égaré par le silence de Phèdre et le mensonge d'Oenone.Chéreau redonne sens aux vers, il en souligne les correspondances internes, et surtout met en scène son "plaisir du texte" en retrouvant Shakespeare dans Racine, de la même façon que Barthes retrouvait Proust dans Stendhal et dans Flaubert. Pour preuve, Aricie, vibrante et virginale dans son costume bleu et blanc, rappelle Ophélie, et ses mains ensanglantées ne manquent pas d'évoquer Lady Macbeth ou la fille de Titus Andronicus

l’homme, se distingue de la nature pour être le fruit d’une education et revêt souvent une identité collective comme individuelle. * Quant à la culture française, elle ne nous est pas étrangère. Les romans des plus grands écrivains ,Balzac, Stendhal, Le Vampire, Hugo, ils attirent toujours de nombreux lecteurs. Les peintures de Delacroix（欧仁·德拉克洛瓦）, Paul Cézanne(塞尚), Claude Monet sont bien connues. Au sujet des musiques de Hector Berlioz（柏辽兹） et Georges Bizet, le peuple qui apprécient leurs talents

William Shakespeare   William Shakespeare né le 23 avril 1564, baptisé le 26 avril 1564, mort le 23 avril 1616 à 52 ans est considéré comme le plus grand poète anglais. Ce dramaturge écrivait aussi des comédies (Amelette, 17ème siècle) et des tragédies (Roméo et Juliette, 1595). Shakespeare écrivit trente-sept œuvres dramatiques entre les années 1580 et 1613. On mesure l'influence de Shakespeare sur la culture anglo-saxonne en observant les nombreuses références qui lui sont faites, que ce soit

l’évasion, de l’émerveillement devant la grandeur du jeu théâtral, mais aussi de l’identification avec les personnages incarnés par les comédiens. Qui n’a pas vibré lors des adieux déchirants de Titus et Bérénice, héros éponymes de la célèbre pièce de Racine, où ne se soit pas senti touché par le dilemme de Rodrigue dans Le Cid, alors que le héros doit choisir entre sacrifier son honneur à l’amour et tuer le père de sa bien-aimée ? Comme le dit Hugo dans la pièce Marie Tudor : « Il y a deux manières de

public pour le spectaculaire : bruitages et effets spéciaux, tonnerre, éclairs, envahissent la scène et s’introduisent à l’intérieur du texte en de longues didascalies. Il reste que les auteurs romantiques, malgré leur rejet de Racine et leur préférence appuyée pour Shakespeare, ne remettent pas profondément en cause le dispositif théâtral hérité d’Aristote. Jusqu’à la fin des années 1880, le théâtre n’évolue que par correction d’éléments de détails. Il faut attendre la fin du siècle et les protestations