Stendhal Racine Et Shakespeare

philosophie. Même s’il prétend se séparer de la rhétorique, notion de genre reste au centre. Goethe et Schiller amorcent la transition vers le romantisme. Opposition canonique entre classique et romantique développée dans années 1820-30 (Stendhal, Racine et Shakespeare) et esthétique moderne de la littérature proviennent du dialogue entre Goethe et Schiller, qui a écrit De la poésie naïve et de la poésie sentimentale, en 1800, débat sur relation de la poésie avec Antiquité et ses genres. L’historicisation

(43 av JC, -17 ap JC) «L'iliade» et «L'odysée» de Homère (800-740 av JC) -> génèse du genre de l'épopée «L'énéide» de Virgile (70-19 av JC) -> Joachim Du Bellay s'est inspiré de cette oeuvre dans son oeuvre «Regrets» tout comme Jean Racine, Paul Scarron, Jean Giraudoux ou bien Jean Giono. Le mot «poésie» vient du grec «poiein» qui signifie: faire, créer. Les reflexions poétique s'appuient sur les anciens. Planton s'appuir sur une maïeutique (art d'accoucher des pensées) comme par

miroir, le masque, le déguisement. L'image de Théatrum mundi décrit le monde comme une scène sur laquelle jouent des acteurs. Elle est reprise dans de nombreuses pièces comme L'Illusion comique (1636) de Pierre Corneille, Hamlet (1603) de William Shakespeare ou La Vie est un songe (1636) de Pedro Calderón. Le 17éme siècle : La Préciosité : une mode sociale et littéraire : Une littérature de salon : En France, la préciosité est un mouvement féminin qui se développe dans la première moitié du 17éme en

Combat littéraire, le drame romantique En publiant la Préface de Cromwell (1827), Hugo apparaît comme l’un des chef de file du drame romantique. Début du 19ème, persistance du théâtre classique, en particulier à la Comédie Française 1825: Racine et Shakespeare, Stendhal: Modèle classique vs théâtre résolument moderne et romantique 1827: Préface de Cromwell : Aboutissement de la réflexion du début du 19ème; manifeste qui énonce les principes du drame romantique, du romantisme. Certaines conceptions de

identifié : Ronsard lié à la Pléiade, Racine et Corneille au classicisme, Voltaire ou Diderot aux Lumières, Hugo au romantisme ou Claude Simon au nouveau roman. Unique fiction de son auteur, ce roman échappe aussi à la vision romantique d’une association fusionnelle entre l’auteur et l’œuvre, où celle-ci manifeste la génialité de son créateur. C’est dans ce sens que Chateaubriand a filé la métaphore de la postérité, dans un développement sur Shakespeare :Shakespeare est au nombre des cinq ou six écrivains

connaît son « apogée ». Au théâtre, le XVIIème siècle français est illustré par trois noms : Corneille et Racine pour la tragédie, et Molière pour la comédie. o extrait du film Molière, d’A. Mnouchkine (1978) ;
 o extrait du film Le Roi danse, de G. Corbiau (2000) ; 2.4.1 Le théâtre au XVII° Le XVIIème siècle français est le siècle du théâtre , illustré par trois noms : Corneille et Racine pour la tragédie, et Molière pour la comédie. Figure N° Nom du personnage Fig. 1 Fig. 2 Fig. 3

Introduction Le thème « comique et tragique » peut circuler selon plusieurs perspectives : * L’histoire littéraire, * Les genres et registres, * Argumenter, * Travail de l’écriture ( voir à ce sujet la dernière version des œuvres de Racine, par Georges Forestier) Il sera abordé dans la continuité du collège et du lycée, dans sa conformité et ses variations par rapport aux codes. Comique et tragique sont des catégories esthétiques normatives qui se concrétisent selon des règles et

costumier de Ruy Blas pour la Comédie-Française du 17 novembre 2001 à début mai 2002 HATIER Annabac 2006 - Corneille, L’Illusion comique, V, 6 - Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, I, scènes 7 et 8 - Ionesco, Le Roi se meurt, fin de la pièce - Shakespeare, Hamlet, III, 2 ELLIPSE, L’Ecrit et l’oral, 3ème édition Un « théâtre de la parole » ? (L – juin 2005) - Musset, Lorenzaccio, IV,9 - Giraudoux, Electre, Lamento du jardinier - Beckett, Oh les beaux jours Annexe 1 : photographie de la mise en

ils aiment les masques et les travestissements, qui dénoncent la futilité des apparences. Ils décrivent aussi l'inconstance amoureuse, et la rapidité avec laquelle les destins humains sont soumis au changement. (cf. Le Songe d'une nuit d'été de Shakespeare) Ils accordent une grande place au rêve et au sommeil, comme prise de conscience de la vérité du monde(cf. La Vie est un songe de Calderon). Ils insistent sur le sjeux trompeurs de l'apparence et de la réalité, de l'illusion et de la vérité. C'est

dix-huit ans. Il désirait faire de la peinture, mais son père, bien que peintre lui-même, peintre lui-même, l’en dissuada et l'orienta vers le droit. Tout en suivant les cours de la faculté, il commença à s'occuper de littérature et se lia d'amitié avec Stendhal, de vingt ans son aîné, et Ampère. Ses amis I'introduisirent dans le monde et il fréquenta assidûment le salon Stapfer, où il rencontra Viollet-le-Duc, Delécluze, Victor Cousin, Sainte-Beuve et Girardin. Reçu avocat, il entra au ministère du Commerce