Stéréoscope

permanent des colonies. Dans l’expo de 1931 il y a une série de conférences sur le phénomène coloniale. Pour attirer l’attention des élites économique on a eu recours aux dernières technologies de l’époque : des cartes à éclairage multiple, des stéréoscopes[8], des technicolors, des films éducatifs ou il y est montré des réalisations industrielles, des statistiques… Le tout dans le but attirer une élite éco qui doit resserrer les liens entre la métropole et l’empire. Paul Reynaud affirme (L 26)

l‟émergence d‟une facilité particulière à trouver des règles grâce à un autocontrôle permanent exercé pour éviter les interférences (Ben-Zeev.1977, cité par Perregaux, 1994). Pour Lambert (1981)6, la bilingualité génèrerait un mécanisme semblable à un « stéréoscope mental » qui permettrait de voir les concepts avec une dimension supplémentaire. En clair, non seulement le bilinguisme n‟est plus décrié mais il est valorisé ! Hamers et Blanc (1983), puis Bialystok (2005) pointent un aspect pertinent pour notre

Rutherfurd utilisa deux appareils qui vont enregistrer l’image { plusieurs mois d’intervalle. 04 - Lewis Rutherfurd - La Lune (1865), tirage albuminé d'après négatif au collodion 15 Introduction { l’Histoire de la Photographie 2010 Procédé du stéréoscope : La stéréoscopie (du grec stéréo- : solide, -scope : vision) est l'ensemble des techniques mises en œuvre pour reproduire une perception du relief à partir de deux images planes. Elle est née pratiquement en même temps que la photographie et elle

au film en 3D. Le premier est le scientifique et inventeur Charles Wheatstone, qui a décrit le processus de la stéréoscopie en 1838, une technique utilisée pour créer l’illusion d’une troisième dimension. Par ailleurs, il a construit le premier stéréoscope en 1840, un appareil servant à afficher des images 3D. Les anaglyphes, autre procédé 3D, seront crées en 1853. Le 28 décembre 1895 a lieu la première projection d’un film par les Frères Lumières grâce au cinématographe. Ce dernier est muni

décalage d’angle de vue des yeux humains. Cela permet, en regardant conjointement ces deux images à travers une visionneuse spéciale (stéréoscope), de reconstituer illusoirement la vision en relief de l’espace photographié (on voit une image en relief). Les stéréoscope font fureur à l’exposition universelle de Londres, en 1851 (l’exposition du Crystal Palace). Cf. Le stéréoscope et les plaques stéréophotographiques qui ont circulé en classe. 3. Les applications de la photographie a. Le portrait Peu

(pratiquer le lever direct sur photos aériennes zénithales agrandies plutôt que sur des calques), en cas de cartes défectueuses ou à trop petite échelle : meilleur repérage et dessin correct des contours ultérieurement réduits. b) Matériel à employer : Stéréoscopes "de poche" pliants (ils peuvent même être emportés sur le terrain). Clichés "contact" sur papier brillant (à peu près 20 x 20 cm) pour l'examen stéréoscopique. Agrandissements sur papier mat (restent nets jusqu'au format 60 x 60) pour le dessin

Messager des Modes et de l’industrie (1853-1862), La France Elégante (1854-1890), Le Moniteur des Dames et des Demoiselles (1854-1902), Le Courrier de la Mode, journal des dames et des demoiselles (1857-1871), Le Monde Elégant (1857-1882), Le stéréoscope, journal des modes stéréoscopiques (1857-1859). 1.1.2.6 : En 1880, Le Petit Echo de la Mode En 1880, l’un des titres les plus lus de la presse française qui a été créé, Le Petit Echo de la Mode comme ci-dessous, dès son lancement

d’un objet qui l’avait particulièrement marqué. « La meilleure attraction », écrit-il, « restait le théâtre optique auquel je dois les plus fortes illusions de mon enfance […] dans mon souvenir, on voyait la scène de ce théâtre comme à travers un stéréoscope ou d’une case qui se colorait successivement selon toutes les nuances de l’arc-en-ciel »31. Ce qui, dans ce souvenir, est éclairant pour la compréhension de l’œuvre peinte de Dalí, c’est qu’il noue trois éléments complémentaires, l’appareil optique

d’un objet qui l’avait particulièrement marqué. « La meilleure attraction », écrit-il, « restait le théâtre optique auquel je dois les plus fortes illusions de mon enfance […] dans mon souvenir, on voyait la scène de ce théâtre comme à travers un stéréoscope ou d’une case qui se colorait successivement selon toutes les nuances de l’arc-en-ciel »31. Ce qui, dans ce souvenir, est éclairant pour la compréhension de l’œuvre peinte de Dalí, c’est qu’il noue trois éléments complémentaires, l’appareil optique

impression de mouvement est aussi une activité cérébrale. On essaye de créer des appareils pour recréer le mouvement. Tout le monde s'y met, des artistes de foire jusqu'aux scientifiques → toutes sortes de machines aux noms bizarres : zootrope, stéréoscope.. Principe de la bande dessinée : images → dessins. La photo semble être pour toutes ces personnes un bon support pour tester la reproduction du mouvement. On commence à faire des séries de photos successives qui vont décomposer le mouvement