Stichomythie

Garcin mais son présent en Enfer sera très semblable à cette vie antérieure, il va découvrir ce que c’est qu’être mort et en Enfer et c’est l’indication qu’on a d’être privé de liberté. II. Le jeu des répliques La pièce commence par des stichomythies, c'est-à-dire un échange de répliques courtes entre deux personnages. Garcin n’aborde pas directement le sujet principal mais il montre son angoisse et sa nervosité. On constate un paradoxe, la personne qui sait parle moins que la personne qui

pas le comprendre, ce qui crée l’ambiguïté du dialogue. I.Un duel verbal 1. La construction du dialogue - le dialogue mené par Tirésias est calme et serein par rapport à l’agressivité d’Œdipe se sentant attaqué. - échange rapide de répliques (stichomythie) de vers en vers - reprise des mots au vers qui suit (l 8) « mon audace les déjoue » ® « déjouer »(orgueil, hubris) (l 14) « Le pouvoir vous grise » ® « le pouvoir vous échappe » (l 16) « vous parlez au pontife prenez garde » ® « prenez garde

traduit de la forme du théatre utilisant un language orale qui laisse une place tres importante à la parole qui elle est toujours action. Les personnages ne s'exprime qu'a travers des dialogues, des interactions avec les autres personnages ; la stichomythie qui désigne la succession de répliques brèvent et la répartie qui se traduit aussi pars des répliques brèvent mais cinglante sont deux forme de dialogue qui guide le rythme et montre le coté plaisant et divertissant des pièces. Ce sont des textes

rimes, assonances, allitérations, refrains * le moment de la pièce : exposition, noeud, dénouement * les personnages : statut social, nom, niveau de langage, rôle, rapport ; * la parole théâtrale : double énonciation, monologue, aparté, dialogue, stichomythies (échanges de brèves répliques vers à vers), tirade * les indications de représentation données par les didascalies : - externes (qui donnent des indications de décor et de jeu en italique) - internes (qui donnent les mêmes indications mais contenues

· L17-51 Comique farcesque · La scène semble s’accélérer grâce à des stichomythies jusqu’à « qui parle bien grec et latin » puis ralentie jusqu’à la l’explication d’argan · L51 Retournement de situation · Argan annonce le marie et brise le quiproquo l51· L55 Angélique perd de son angélise, incompréhension, choc· Elle explique

le récit et l'action tandis qu'au théâtre ce décalage n'apparaît pas ce qui fait son originalité. Tirade : longue réplique prononcée sans interruption qui implique un approfondissement de l'échange et coïndice avec un ralentissement du rythme. Stichomythie : succession de courtes répliques de longueurs identiques et syntaxement symétrique. Traduit un affrontement entre deux personnages et entraîne une accélération du rythme. Doublé énonciation : acteur ( valider l'intrigue ) public ( délivrer un

spectateur, lecteur et le personnage sur scène. • Le spectateur sait que Ruy Blas n’est pas Don César ce qui forme un quiproquo, or Don Guritan à défié en duel Ruy Blas qui est le faux Don César à l’acte II Scène : 4. • Jeu avec la stichomythie (dialogue tragique dans lequel les interlocuteurs se répondent vers pour vers), Don César met ces aventures en parallèles avec Don Guritan. Vers 1868-1869 feinte de Don César pour la colère. • Jeu avec les surenchères. • Don César

d’une grande porte centrale, s’ouvrant sur un parvis à colonnes; elle sert â la fois de coulisses et de décors (Littéralement : baraque). Stasimon: partie lyrique, dansée et chantée par le chœur, entre deux épisodes (au pluriel des stasima). Stichomythie: Échange suivi entre deux personnages, prononçant chacun généralement un seul vers, et se répondant de façon serrée. Strophe : couplet lyrique (chanté) auquel répond exactement, par le rythme, la mélodie et la danse, une antistrophe. Un ou plusieurs

couleurs que l’on trouve souvent dans la farce. Texte Le metteur en scène a conservé intégralement le texte d’origine. Le texte de Molière est comique et très vivant comme le montre la scène avec les deux valets, scène formée sur des stichomythies. Costumes Sur ce point aussi le metteur en scène a conservé les costumes de l’époque. Si les costumes aident les acteurs à mieux entrer dans leur personnage, ils suggèrent aussi que pour le metteur en scène le message de pièce est intemporel

plus, la joute oratoire décrit une rixe verbale : « — Pourquoi faut-il qu’il ait toujours du louche en ce que tu fais ? — C’est qu’on en voit partout quand on cherche des torts. — Une réputation détestable. ». Ici, le dramaturge a recourt à une stichomythie. C’est un dialogue vif avec des répliques théâtrales courtes accélérant le dialogue. Dans cet échange, les répliques s’enchaînent rapidement, ce qui traduit l’opposition des personnages et la joute verbale. En outre, cette joute