Stichomythie

ironique vers vers 13 et 14 « Il ne tiendra qu'à vous d'être aussi gras que moi » . Sa méfiance s'accompagne de surprise quand il découvre le col du loup. Elle est traduite par l'emploi du passé simple « vit le col du Chien pelé » au vers 32. La stichomythie qui suit vers 33-34« Qu'est-ce là ? -Rien -Quoi ? Rien ? -Peu de choses -Mais encor ? » montre l'accélération de l'échange au moment où le loup aperçoit le collier. A la fin du récit le rapport de force s'inverse en faveur du loup. Au début ses

"il me semblait que..."). Tournures interrogatives. Champ lexical de l'étrange. 1ère et 2ème personnes car destinateur et destinataire sont impliqués, affirmant leurs prises de position personnelles; impératif exprimant l’ordre ou la défense; stichomythies au théâtre; comparaisons, métaphores, hyperboles pour leur force imagée; anaphores pour marteler le propos; antithèses afin de souligner les oppositions. contrairement au polémique, la satire donne à voir, sous une forme critique, des manières

sujet du verbe de volonté. C) Tension et efficacité dramatiques V1,V2,V6 => Insistance sur le caractère moralement condamnable du secret. V:24-25 => Résistance car aveu => culpabilité. V:42 – 47 => Paroxysme dans la tension V : 42 – 43 – 46 => Stichomythie II- Objet et enjeux de l'aveu A) - Un secret inavouable : l'aveu d'un amour criminel et interdit B) - Les ressorts pathétiques de l'aveu (tant chez le personnages de Phèdre que chez la nourrice) >Chez Phèdre : V:7 => État alarmant avec

(voir I, 2).- à travers un langage simple et même plat, non adapté à la situation (l. 3&4). L’expression : « un beau-père de la veille ou du lendemain » est même désobligeante à l’égard du père de sa future femme.- à travers les échanges de stichomythies : l. 8&9 (reprise du verbe « penser ») ; l. 16-18 (autour du verbe « faire » et du dérivé « façons »). II. La mise en abyme : entre question de société et pur jeu théâtral Le but de Marivaux est de faire rire, tout

immense de Bérénice et les justifications de Titus à avoir pris une telle décision. Pour la colère de la femme, les répliques « Et je pars // Demeurez. // Ingrat ! Que je demeure ? » et « Ingrat ! / Ah cruel ! / Hélas » montrent à travers des stichomythies, un verbe a l’impératif (de la part de Titus) et des phrases non verbales et exclamatives la tension tragique dans laquelle se trouvent les personnages en ayant une Bérénice très en colère et un Titus qui demande à la reine de Palestine de rester

avec les interjections, telles le « Ah ! », fréquent, qui ponctuent toute la première tirade. Les questions révèlent la blessure d’Arnolphe, et son ironie est très amère : « Le deviez-vous aimer, impertinente ? » (p.82). Enfin l’on reconnaît la stichomythie, quand, sous l’effet de la colère, les personnages se répondent mot par mot, par exemple aux pages 82/83. Les reproches adressés à Agnès viennent surtout de sa jalousie, car il a été obligé d’écouter les paroles amoureuses échangées par les deux

d’Argan face au jeu de Toinette De la ligne 110 à 115 : interrogation d’Argan Je vais procéder de manière linéaire ETUDE La pièce est un comique basé sur le langage. C’est Toinette qui relance la conversation avec une interrogative directe. C’est une stichomythie qui traduit une légèreté des propos alors que l’on parle d’un suivi médicale. Toinette insiste sur son soi-disant savoir avec la répétition du terme « ignorant » qui produit un rythme dans la phrase et ponctue son assurance. Des lignes 69 à 79

s’adresse à Cibo d’abord : neutraliser celui dont les soupçons sont les plus précis. Reprise du mot « dangereux ». Association blasphématoire. Cibo répond par une sorte de proverbe : métaphore injurieuse « chiens de cour » Le ton est tendu, effet de stichomythie. Lorenzo ne répond pas vraiment, il esquive. Intervention de sire M : le pronom « on » qui marque son refus de s’adresser directement à Lorenzo est méprisant : « on peut répondre » Lorenzo répond avec une aisance de bretteur (escrimeur), aggravant

la colère désespérée : «impudente, oses-tu, ôtes-toi…». • Lyse est comique et ironique. Il y a un décalage avec Isabelle puisqu’elle parle du problème avec légèreté. Les effets de rythme Ce sont les alexandrins qui les produisent : • La stichomythie : réplique de vers à vers, les alexandrins se répondent d’un vers à l’autre. • La coupure en deux à l’hémistiche ou en trois (vers 1061) : 6-ceisure-4-coupe-2 Clindor est l’enjeu de cette scène, il est au centre de la discussion, il est inscrit

Suzanne fait apparaître la perspicacité des personnages par le dynamisme du style : questions / réponses, parallélisme et répliques sur le mot. La gaieté et la vivacité des personnages révèle du comique. En effet, l.10 à l.19 nous observons une stichomythie. Dans ces passages, la plupart des phrases ne dépassent pas six à huit syllabes. L’échange verbal est percutant, les personnages se renvoient la balle à toute vitesse, c’est comme un jeu. Preuve de leur esprit vif, de leur intelligence, de leur