Stichomythie

amoureux entre les 2 domestiques et Suzanne utilise des propos grivois face à Figaro - Le lieu choisit se prête à la légèreté de la comédie par son côté érotique 2 – Le rythme de la comédie s’annonce rapide - aucune info inutile donc utilisation de stichomythies, échanges verbaux rapide - La manière allusive et elliptique dont Suzanne distille les informations sur le projet de Almaviva « zest » et « en 2 pas » - Les intrigues secondaires ne sont pas présentées dans cette scène d’exposition Ainsi cette

de |les différents personnages. | | | |stichomythies. | | | Placez les noms suivants dans la première colonne : aparté, dialogue, monologue, réplique, stichomythies, tirade. |Séance 5 : La langue classique | |Support : « La Langue classique » p.66 du TDL.

Encore une fois on retrouve une maxime avec un parallélisme et une antithèse entre les mots apparents et réelles, respects et servitudes. Beaumarchais aime beaucoup mettre des maximes dans ces textes et en particulier en fin de tirade ou dans des stichomythies car cela permet de marquer les esprits des spectateurs ou lecteurs. Dans ce cas-ci cela permet d'autant plus d'insister sur un comportement abusif des hommes. Ce comportement des hommes permet de se questionner sur le fonctionnement de la société

enfant illégitime. Ce sont des gens modestes qui ont une querelle sur une « erreur de jeunesse ». Il s’agit donc bien d’un sujet de comédie.                             Au début le sujet est plus comique et l’on a des répliques courtes, des stichomythies, le jeu est vif puis on aborde une partie plus sérieuse avec de longues tirades après la réplique de Bartholo qui va faire éclater la colère de Marceline : «Des fautes si connues ! Une jeunesse déplorable. »                       En effet

montrant un mari trompé (ligne5  « Il y a que tu me trompes. ») . De plus, il joue sur les rythmes et les sonorités en utilisant différentes formes du dialogue théâtral ce qui participe au comique de situation (ligne10 à 13, utilisation de la stichomythie qui révèle un moment d’intense échange, ligne15 à 27, utilisation de la tirade qui permet à Boubouroche d’argumenter ses propos.). Georges Courteline fait ensuite jouer le comique de caractère, non pas en présentant les personnages de façon

Rivage malheureux »), la tendance au superlatif (« la plus misérable ») et à l’hyperbole (« le comble des horreurs »). La vraisemblance de l’échange (le spectateur doit sentir la difficulté de l’aveu) est assurée par sa vivacité, proche de la stichomythie (dialogue dont chaque réplique ne contient qu’un vers). Dans les tragédies raciniennes, la parole a la valeur d’un acte : avouer un penchant coupable, c’est déjà commettre un crime, Phèdre veut y échapper par la mort (v. 4). À ce stade du dialogue

abandonnée enfant] en seront ébranlées » (l.14) Hybris d’Œdipe lui est reproché : orgueil démesuré qui conduit le héros à sa perte. « Tu me reproches ma gloire – Non, ta perte. » ma gloire = avoir triomphé du Sphinx. C) La forme de l’échange La stichomythie (l.20-30) : répliques courtes qui rebondissent sur un mot. Souligne le conflit. -Appelé -Appelé → Insensé -Insensé → tes parents -Mes parents → vie -Naissance et mort, etc. II] L’aspect emblématique des personnages A) Personnages au sens strict

clairement comment l'histoire va se terminer. - Péripétie : événement même qui amène la crise d'où sort  le dénouement. Cf. le noeud. - Réplique : réponse dans un dialogue. - Tirade : longue réplique, dans un dialogue, sans interruption. - Stichomythie : dans la tragédie classique, dialogue tendu où les interlocuteurs se répondent vers par vers.

de situation (public complice) : Arlequin joue exagérément son rôle. Le public sait qu’il va y avoir des quiproquos, des faux-semblants, des malentendus et des rebondissements. Les rapports sont inversés, cela achoppe. Dans sa structure : stichomythies. Rythme de la comédie, mais peu d’apartés. 2. Le personnage d’Arlequin en particulier : Origines anciennes et discutées : certains le disent héritier du soufisme, on atteste son origine dans la culture romaine et on le trouve réellement tel

Souvent, l’adresse à un autre personnage n’est qu’un prétexte pour délivrer un message aux spectateurs ! LES FORMES DE DISCOURS Le dialogue : deux personnages ou plus échangent des répliques. La réplique : prise de parole d’un personnage Les stichomythies : succession de répliques très courtes (les personnages répondent au tac au tac). Il s’agit souvent d’un duel verbal. Le monologue : Un personnage parle, seul sur scène. Par convention, il dit ses pensées à haute voix pour que le spectateur les