Stichomythie

textes ont-elles entre elles ? (Développement) - (Partie 1) - Les textes se ressemblent en ce sens qu’ils présentent tous trois un conflit verbal s’exprimant au moyen de répliques s’enchaînant sur un rythme rapide. Dans ce but, Molière pratique la stichomythie (du grec sticho = vers / ligne, et : mutos = parole ; d’où sens : prise de parole qui fonctionne par vers) : v. 21 à 23. Autres procédés chez Musset qui écrit en prose : le jeu des questions-réponses entre Marianne et Octave (l. 8 et l. 9 ; l.

double rôle pour Clov. Tout d'abord, elle contribue à maintenir son statut de valet dans sa relation maître/valet avec Hamm. En effet, c'est à lui, le seul capable de se déplacer, qu'Hamm demande d'aller chercher la nourriture dans la cuisine. La stichomythie suivante (p.22) résume bien les rapports entre les personnages: « Nagg: Ma bouillie! Hamm: Donne lui sa bouillie. Clov: Il n'y a plus de bouillie.  Hamm: Il n'y a plus de bouillie. Tu n'auras jamais plus de bouillie.  Nagg: Je veux ma bouillie

On retrouve cette esthétique propre au théâtre dans le passage de la dispute de Jacques et son Maître, avec les noms devant les personnages, les didascalies, mais également le rythme soutenu conforme au dialogue de théâtre grâce à de nombreuses stichomythies: "JACQUES: Tout comme il vous plaira; LE MAÎTRE, à l'hôtesse. L'avez-vous entendu?; [...] JACQUES, à son maître. Parle, maroufle". Ce texte prend aussi la forme d'une farce ou d'une comédie, avec les différents types de comiques qu'elle contient

création d'une certaine dynamique crée un suspens:(la double énonciation), s'adresse à Figaro et aux spectateurs. Le raisonnement par l'absurde. Dialogue – porteur de données comiques. Répliques sur les rapports conjugaux. Dialogue – lieu de quelques stichomythies(échanges rapides), le détour rhétorique : « tinter le matin » – moquerie de Suzanne sur Figaro, Continuation de suspens:(« Bon Dieu ! – blasphème). Un échange propice aux situations comiques. II. Le comique dans cette scène d'exposition. a)

bien en accord avec Alceste. Cette problématique sera celle, inhérente, à toute scène d'exposition. Pour cela, Molière s'exprime par le vers Alexandrin : 36 vers parmi lesquels on distinguera 2 types de discours versifiés. D'abord, la stichomythie : l'action passe par le vers, le discours est rapide. Ensuite, la tirade. Ces sont deux formes accordées à l'évolution des sentiments, de l'emportement au calme relatif. Nous aborderons ce texte par une analyse méthodique autour des intérêts

en abyme, de théâtre dans le théâtre, ce qui lui permet de dénoncer d’autant mieux ce qu’il considère comme une comédie sociale. L’échange est vif dès le début : le premier vers est prononcé par les deux personnages (un hémistiche chacun). La stichomythie du départ souligne le caractère violent d’Alceste, sa facon inconventionele de parler. Il interrompt à plusieurs reprises Philinte. Les répliques s’enchaînent sur des reprises de termes, les personnages rebondissent sur les propos entendus : « fâcher

des sentiments est forte on parle de stances lyriques), dans le drame romantique, ce monologue donne également la pensée du personnage. Tirade Long monologue récité de manière ininterrompue. Les répliques Echange entre des personnages. Les stichomythies Réplique courtes qui s’enchaînent. Aparté Personnage qui parle seul au publique. Débat argumenté Pause dans l'action : les personnages analysent leur comportement. Récit Évocation d'une histoire extérieure à la scène. (C) Parole impossible

les situations incongrue (le père qui prévoit d’épouser la femme dont son fils est amoureux, l’avarice caricaturale d’Harpagon, l’hystérie de Frosine…) - Le comique de mots Il est identique à la pièce écrite (jurons, insulte, répétitions, stichomythie).Le metteur en scène à ajouter des références à notre époque et à ses personnalités. J’ai trouvé aussi très drôle de faire monter sur scène et de marier des personnes du public ; mais je ne sais pas dans quel comique le classer ! Conclusion J’ai

qui est la caractéristique stylistique principale du texte de Vercors durant toute l’œuvre. Ici dans une scène d'exposition il fait partie des illusions théâtrales pour faire comprendre clairement au spectateur les enjeux initiaux. -questions en stichomythie l.89 à l.98 -anaphore de « Hé ? » -l.164 « Ah ? Et comment ? » -l.166 « Hein ? » -l.170 « De quoi ? » II- « jeux théâtraux » l'ambiance narrative du premier tableau est un « avant-goût » du reste de la pièce et donne ainsi le « la » pour

par un effet très violent de retournement : au moments ou les 2 protagonistes croient échapper à l’emprise des dieux, le Corinthien qui veut les rassurer entame la révélation sur l’enfance d’Œdipe. - mouvement rapide avec des stIchomythies ( répliques vers à vers) sauf dans le passage ou Œdipe rappelle le contenu de l’oracle. - Les informations sont révélées de manière soutenue : inquiétudes d’Œdipe, annonce d’une nouvelle rassurante, 1ere révélation : Œdipe n’est