Stimulation

Diplôme Universitaire de Relation d’Aide par la Médiation Animale Année 2009-2010 Chantal BACHER ATELIER « PSYCHOMOTRICITÉ ET STIMULATION COGNITIVE FACILITÉES PAR L’ANIMAL EN HOPITAL DE JOUR PSYCHOGÉRIATRIQUE » QUELLE GRILLE D’ÉVALUATION INDIVIDUELLE ? UNIVERSITE D’AUVERGNE CLERMONT-FERRAND 1 Faculté de médecine Référent universitaire : Pr Laurent Gerbaud (Santé publique) Référents pédagogiques : - Dr Didier Vernay (neurologue) Mme Margueritte Weith (psycho-sociologue) Mll Sandra

de la stimulation du nerf sciatique sur la contraction du muscle gastrocnémien (muscle squelettique dorsal de la patte) et mise en évidence des phénomènes de recrutement, sommation, tétanos et fatigue musculaire observables au niveau du muscle. Matériel et Méthode Système de stimulation par électrodes et enregistrement/visualisation de la contraction du muscle à l’aide d’un transducteur. Résultats et Interprétations LA CONTRACTION MUSCULAIRE Application d’une unique stimulation (500 mV)

pour une intensité de stimulation égale à deux fois l'intensité rhéobasique est appelé la

nature des messages nerveux, à partir des informations saisies d’un document et de ses connaissances. Le message nerveux se propage le long des nerfs, il peut être enregistré à l’aide d’électrodes reliées à un ordinateur, ceci après stimulation des récepteurs sensoriels. Le document C ci-dessous illustre par ses différentes figures, illustre des expériences permettant de déterminer la nature d’un message nerveux. Document C : message nerveux propagés par une fibre et un nerf.

Suivi d’un porteur de stimulateur cardiaque au centre de contrôle specialise I. Promoteurs - UFCV (Union nationale de Formation et d’évaluation en médecine Cardio-Vasculaire) & Groupe de rythmologie et de stimulation cardiaque de la SFC (Société Française de Cardiologie) GROUPE DE TRAVAIL § Chef de Projet : Dr Philippe RITTER § Président : Dr Maxime GUENOUN § Responsable méthodologie : Dr Jean-François THEBAUT § Membres du groupe : Dr Arnaud LAZARUS, Dr Jean-Pierre CEBRON, Pr Michel

des molécules comme la lectine ConA peuvent être utilisées. Ces lectines, des mitogènes polyclonaux, agissent comme des antigènes spécifique en entrainant un signal d’activation chez les lymphocytes T (JANEWAY et TRAVERS, 2008, p.769). Une telle stimulation leur permet de subir une transformation blastique, caractérisée par le passage de la cellule en blastogénèse, la division cellulaire et dans le cas des lymphocytes, la différenciation en cellules B ou lymphocytes T. Le CD3 est un complexe protéique

GA-DOLOpatch - Fr. 25.01.2006 11:52 Uhr Seite 1 DOLOpatch® TENS MODE D´EMPLOI et GUIDE D’UTILISATION Appareil pour la stimulation transcutanée antalgique Des nerfs et des muscles GA-DOLOpatch - Fr. 25.01.2006 11:52 Uhr Seite 2 2 MODE D´EMPLOI DOLOpatch® SOMMAIRE Domaine d’utilisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Importantes consignes de sécurité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

s’il y a : AUGMENTATION ou DIMINUTION ou SANS EFFET IMPORTANT  Une stimulation exercée au point A stimule la partie du nerf reliée au centre nerveux ; cette extrémité du nerf est appelée « bout central »  Une stimulation exercée au point B stimule la partie du nerf reliée à l’organe ; cette extrémité du nerf est appelée « bout périphérique » 4 5 Pression (mm de Hg) 6 7 8 9 10 11 Section du nerf parasymp. + Stimulation au point A Section du nerf parasympathique 2 3 4 Coupure Pression

http://biodeug.com/new/index.php?option=com_content&task=category&sectionid=5&id=31&Itemid=56 Tout organisme vivant est en interaction constante avec son environnement. Ces interactions lui permettent de se déplacer ou de réagir vis à vis des stimulations du monde extérieur et de son propre monde intérieur (constance du milieu intérieur : faim, soif ). Elles nécessitent la prise permanente d'informations et la circulation de messages entre les différentes cellules de l'organisme. Le système nerveux

précédemment en ajoutant un dispositif de stimulation : 2 électrodes de stimulation posées à la surface du neurone, électrodes reliées à un stimulateur électronique. Les électrodes de stimulations sont disposées relativement loin des électrodes réceptrices. Le moment de la stimulation est visualisé sur l’enregistrement sous la forme d’un artéfact de stimulation, sorte de parasite provoqué par cette stimulation. La réponse du neurone à une stimulation suffisante apparaît 0,8 ms après (temps