Stoicisme Vigny

Il est clair que l’homme n’est pas un être solitaire. Au contraire, sa vie est centrée sur le contact avec autrui. Ce n’est qu’en contact avec l’autre que l’homme est heureux… Dans ce qui suit, nous essayerons de montrer l’importance du langage et de la communication dans la vie quotidienne. D’abord nous élaborerons le problème des sourds-muets : Est-ce qu’on les considère aussi comme utilisateurs de langage ? Et après avoir souligné l’évidence du langage dans la vie quotidienne, nous passerons

Peut-on être heureux sans être libre ? Le bonheur est définit par chacun d’une manière très personnelle, mais la façon la plus universelle de le décrire serait celle-ci : « Le bonheur est un état durable de plénitude et de satisfaction, état agréable et équilibré de l'esprit et du corps, d'où la souffrance, le stress, l'inquiétude et le trouble sont absents. » (Définition Google) C’est un but que nous cherchons tous à atteindre, consciemment ou pas, mais nous pouvons nous demander quel est le

Le génie est-il un bienfaiteur ou un monstre? C’est sur ce point que débattent Didrot et Rameau. Didrot défend la thèse spéculant que le génie fait plus de bien que de mal, alors que Rameau, de son coté, affirme le contraire. La différence entre leur point de vue est dût au fait qu’ils ne voient pas les choses de la même façon. Je crois qu’il est impératif que je me demande si le génie est un être moral. Être moral, c’est avoir une façon de vivre jugée approprié par la société. Pour cela, il

Explication de Manon 2 « Combien de personnes vivent à Paris, qui n’ont ni mon esprit, ni mes qualités naturelles, et qui doivent néanmoins leur entretien à leurs talents, tels qu’ils les ont ! La Providence, ajoutais-je, en réfléchissant sur les différents états de la vie, n’a-t-elle pas arrangé les choses for sagement ? La plupart des grands et des riches sont des sots : cela est clair à qui connait un peu le monde. Or il a là-dedans une justice admirable. S’ils joignaient l’esprit aux richesses

vous rappelle et j'insiste, sur le fait que quelques heures avant le meurtre, mon client a retiré l'arme des mains de son ami pour le protéger et l'empêcher de commettre un crime. D'une manière générale, n'est-ce pas une preuve de tolérance que le stoïcisme ? Il est différent de vous tous, vous le savez, du moins vous pensez le savoir. Mais il y a bien un domaine où il l'est vraiment : la tolérance. Et par dessus tout, il sait aimer, même davantage que ceux qui font leur devoir. Je rappelle que mon

Ayez l'amabilité de garder vos distances ... Pensez-vous réellement que les plus grands criminels de ce "triste" ( car encore une fois cela est relative à chaque individus) monde sont totalement inconscient de leurs actes? ils en sont pleinement conscients, ils savent que leurs agissements causent des dégâts collatéraux chez les innocents? cela ne les dérange pas plus que cela, leurs intérêts passent avant votre vie; c'est très égoïste (cela aussi peut se justifier dans notre société

On dit souvent que l’homme est un « être esclave de ses passions », Kant va jusqu’à dire que la passion est « la maladie de l’âme ». Il n’est pas rare d’entendre qu’une personne est « aveuglée par ses passions », pour preuve : la passion amoureuse. Ces maximes prônent donc la passion comme simple exaltation, comme un non contrôle de soi, mais les passions ne révèlent-elles pas une ressource intarissable d’énergie et de volonté durable ? Ne peut-on que dissocier sagesse et passion ? Toute passion

L’AMOUR DU PROCHAIN A priori, l’amour du prochain est un principe moral, généreux, philanthropique. Il s’oppose à l’amour de soi, à l’amour propre, à l’égoïsme. Ce commandement évangélique a pour version ancienne la philanthropie, chère aux stoïciens, et comme forme moderne la bienfaisance ou encore l’humanitaire.  La philanthropie désigne à la fois « le sentiment et la doctrine qui tendent à faire de plus en plus prévaloir ce qu’il y a d’universel dans la nature humaine sur ce qui est propre à

le mépris des plaisirs », pour les stoïciens le plaisir est un trouble désordonné et vain qui résulte de la présence d’un bien, au contraire la joie est un mouvement raisonnable et durable. La joie est vertueuse, pas le plaisir. Pour résumer le stoïcisme pousse à la pratique d’exercices de méditation afin de vivre en accord avec notre nature et la raison, ce qui nous conduit à la sagesse et donc au bonheur (absence de passions qui prend la forme d’une absence de souffrances). Freud pensait que

prônent des valeurs qu'ils sont incapables de respecter, quelle que soit la religion à laquelle ils appartiennent. IX. X. Une société où chacun « cultive son jardin » avec un certain détachement (sur le plan philosophique) XI. - un certain stoïcisme : ne pas s'attacher aux choses matérielles (ex : Candide et ses moutons perdus) XII. - penser que les fonctions sociales et hiérarchiques sont relatives et éphémères XIII. cf dîner à Venise avec les monarques déchus. XIV. - le luxe 1. l'argent