Stratégie Marketing Sfr Orange Bouygues

de garantir la qualité ou l’origine d’un produit, elle a pour fonction de différencier le produit. Ceci étant le prestige d’une marque induit une certaine qualité et une certaine origine du produit. La marque peut aussi jouer un rôle dans la stratégie marketing de l’entreprise et, elle peut fonctionner comme étant le vecteur d’un message. ⇨ Ex : Dans l’arrêt « Dior » du 04 novembre 1997, la CJCE a considéré que la valeur de la marque comprend « l’image de prestige des produits en cause et la

: Diplôme d’Etudes Approfondies DESS : Diplôme d’études supérieures spécialisées DINFO : Délégation à l’informatique DMC : Direction de la Monnaie et du Crédit 5 DPEE : Direction de la Prévision et des Etudes Economiques DSRP : Document de Stratégie pour la Réduction de la Pauvreté DTI : Direction des Télécommunications Intérieures ENEA : Ecole Nationale d’Economie Appliquée ESAM : Enquête sénégalaise auprès des ménages ESP : Ecole Supérieure Polytechnique FACOLSI : Forum Africain des Collectivités

Repères ours Ferdinand-de-Lesseps 851 Rueil-Malmaison convictions 01 Nos Cedex - France : +33 1 47 16 35 00 02 Gouvernance : +33 1 47 51 91 02 03 Message du Président p://www.vinci.com 04 Message du Directeur général 06 Instances de direction 08 Stratégie et perspectives 10 Développement durable Groupe / Nos convictions Notre objectif est la performance globale. Notre ambition est de créer de la valeur pour nos clients, nos actionnaires et pour la société. Notre réussite s’apprécie sur le

communautaire de concurrence : enjeux et limites ........................... 61 Chapitre III. Ententes, stratégies d’exclusion et pratiques restrictives : de la règle per se à la règle de raison dans l’antitrust .......................... 65 1. Ententes et accords : quelles frontières entre concurrence et coopération ? ................................................................................... 67 2. Stratégies d’exclusion et pratiques restrictives : les frontières ambiguës du processus concurrentiel

communautaire de concurrence : enjeux et limites ........................... 61 Chapitre III. Ententes, stratégies d’exclusion et pratiques restrictives : de la règle per se à la règle de raison dans l’antitrust .......................... 65 1. Ententes et accords : quelles frontières entre concurrence et coopération ? ................................................................................... 67 2. Stratégies d’exclusion et pratiques restrictives : les frontières ambiguës du processus concurrentiel

comme cela a été évoqué plus haut est extrêmement rentable par rapport à la vente de supports physiques. L’exemple d’Apple et du succès commercial d’ITunes, lié aux iPod et iPhone en est un bon exemple. Les grands conglomérats comme Vivendi – SFR ou Bouygues peuvent vendre leurs productions musicales et cinématographiques via des abonnements téléphonique ou Internet. Les grandes industries culturelles continuent de grandir et deviennent de plus en plus puissantes. Elles cumulent les activités de producteur

compétitivité (rationalisation des réseaux, centralisation des back-offices, diffusion de nouvelles technologies) Une activité peu consommatrice de fonds propres Un coût du risque modéré Une gamme complète de produits et de services bancaires offerts et des stratégies de ventes croisées efficaces : un taux d’équipement moyen d’environ sept produits par ménage Une forte fidélité des clients, même si les freins à la mobilité se lèvent Force des banques françaises dans la standardisation et la diffusion des produits

compétitivité (rationalisation des réseaux, centralisation des back-offices, diffusion de nouvelles technologies) Une activité peu consommatrice de fonds propres Un coût du risque modéré Une gamme complète de produits et de services bancaires offerts et des stratégies de ventes croisées efficaces : un taux d’équipement moyen d’environ sept produits par ménage Une forte fidélité des clients, même si les freins à la mobilité se lèvent Les financements spécialisés pour les particuliers : les acteurs spécialisés

compétitivité (rationalisation des réseaux, centralisation des back-offices, diffusion de nouvelles technologies) Une activité peu consommatrice de fonds propres Un coût du risque modéré Une gamme complète de produits et de services bancaires offerts et des stratégies de ventes croisées efficaces : un taux d’équipement moyen d’environ sept produits par ménage Une forte fidélité des clients, même si les freins à la mobilité se lèvent Force des banques françaises dans la standardisation et la diffusion des produits

millions, et l’Autriche, 2,5 millions. À l’opposé, la France et le Royaume-Uni ont refusé de payer pour leurs otages respectifs, qui ont tous les deux été exécutés. Selon Nicolas Sarkozy, le paiement des rançons ne saurait constituer « la seule stratégie » contre cette branche d’al-Qaïda. OPEP. 50 ANS D’EXISTENCE, ET APRÈS ? L’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) célèbre aujourd’hui, à Vienne, son 50e anniversaire, après un demi-siècle pendant lequel le cartel a réussi à conserver