Structure Des Arrêts De La Cour De Cassation

DROIT du TRAVAIL Victor MOYSAN 3ème Année de Licence Parcours Privé TD du mercredi, 8h00 Arrêt de la Cour de Cassation réunie en sa Chambre Sociale, le 2 juin 2004. ------------------------------------------------- Société Maisonneuve contre Syndicat CFDT de la Métallurgie du Centre et du Sud – Manche. En l’espèce, la décision est en date du 2 juin 2004, prise par la Cour de Cassation en Sa Chambre Sociale. Il semble – devant l’absence des faits relatés dans l’arrêt- que, le syndicat

Employé aussi pour désigner les « gens de bras». Depuis cette époque le travail a connu une constante évolution de son sens. Aujourd’hui de nombreuses activités sont dénommées travail, sa définition reste donc difficile. La cour de Cassation dans un arrêt du 3 juin 2009 a admis que l’activité des participants à l’émission de l’ile de la tentation pouvait être considérée comme un travail. § 2 – Qu’est-ce que la subordination ? Quand on parle de Droit du travail, il faudrait se montrer

à la suite de la doctrine, définir les professionnels libéraux, comme étant soumis à des règles déontologiques spécifiques. Quant à la Cour de cassation, elle a selon les époques employé le terme de « clientèle libérale » ou de « clientèle civile » sans qu’il soit réellement possible de déterminer le sens précis des deux expressions. En pratique, de nombreux arrêts de la Haute Juridiction concernent des clientèles de médecins ou d’avocats. Peut-on, en droit français, céder une clientèle civile

problèmes de droit à résoudre. Cf : syllogisme juridique ( TD 1 p.26) Les faits : la mineure Les règles de droit : la majeure Rédaction du cas pratique : sur un premier thème sur un second thème Il faut toujours que ce soi structuré. 3) Commentaire d’arrêt On soumet une décision juridique de justice que l’on va devoir commenter. Introduction : Elle doit rappeler de façon synthétique : Les faits Il faut retracer la procédure : Les deux ordres de notre système

CORRECTION -   DEFINISSER , EXPLIQUER LES DEUX NOTIONS : - 1- La justice extra-étatique : l’arbitrage (correction grille de correction de partiels) - 2- La Cour de cassation (correction détaillée et rédigée) LE RÔLE DE LA COUR DE CASSATION La Cour de cassation est, dans l'ordre judiciaire français, la juridiction la plus élevée. Les procès de caractère civil, commercial, social ou pénal sont d'abord jugés par des juridictions dites du premier degré (tribunaux d'instance et de

d'instance de Riom : TI Riom, 19 nov. 1989. ▪ Jugement du tribunal administratif de Nice : TA Nice, 11 juill. 1988. ▪ Arrêt de la cour d'appel de Limoges : l'usage en droit privé veut que l'on ne mette pas CA pour cour d'appel mais simplement le nom de la ville : Limoges, 10 sept. 1987. ▪ Arrêt de la cour administrative d'appel de Nancy : CAA Nancy, 17 déc. 1984. ▪ Arrêt de le Cour de cassation : selon la chambre ou formation qui a rendu l'arrêt :                 - chambres civiles : Civ. 1re, Civ. 2e, Civ

de droit. Dans ce cas, on doit appliquer une règle à la fois. Ne jamais citer deux règles de droit d’un seul bloc pour les appliquer en même temps. Le travail serait nécessairement mal fait. B. Méthode de la fiche synthétique d’un arrêt rendu par la Cour de cassation (« fiche de jurisprudence ») La fiche de jurisprudence permet de donner une synthèse de la décision de justice et d’en faire apparaître le sens. Elle ne doit pas dépasser un recto simple (maximum un recto-verso), et se décompose comme

Le pouvoir juridictionnel, monopole de l'État - § 1 : La justification du monopole étatique : la structure bipartite de la décision juridictionnelle A.- La jurisdictio - Le jugement, le fait et le droit - L'instruction et le jugement - La détermination du droit : " jura novit curia " - La détermination des faits : procédure accusatoire et procédure inquisitoire - La distinction des jugements, des arrêts et des ordonnances - Les motifs et le dispositif 1 Textes cités en cours à cette occasion

travail sans l'accord du salarié. C'est d'ailleurs sur une question du lien entre modification unilatérale du salaire et prise d'acte de la rupture du contrat de travail par le salarié que sont venus statuer les magistrats de la Chambre sociale de cassation , le 5 mai 2010. Il s'agissait, en l'espèce, d'un salarié engagé en qualité de directeur national des ventes,qui, après avoir saisi la juridiction prud'homale d'une demande de résiliation judiciaire de son contrat de travail le 6 mai 2005 avait

positive dans un arrêt de la première chambre civile de la Cour de cassation du 12 novembre 1998. Dans cet arrêt, il est venu également répondre à la question qui était de savoir si l'usufruitier était ou non obligé d'informer le nu-propriétaire de l'évolution du portefeuille de valeurs. La première chambre civile de la Cour de cassation répondra par l'affirmative dans cette décision et elle confirmera dans un autre arrêt où elle a jugée la même affaire: celui du 3 décembre 2002 (arrêt de renvoi du