Structure Du Centre George Pompidou

spatiale des faits, ils l’exprimaient avec des concepts différents tels que le « lieu » (portion de surface terrestre), la « région » ou encore la « surface terrestre ». C’est dans les années 1960 que l’espace s’est imposé comme paradigme. Ainsi Pierre George, dans son dictionnaire[3], définit la géographie comme « science de l’espace géographique », sans pour autant donner de définition à ce concept. Pour André Dauphine[4], trois explications peuvent être avancées pour comprendre l’avènement de l’espace

qui ont été supprimées par les deux assemblées par un vote conforme dès la première lecture. Le Parlement s'est fait en quelque sorte le défenseur de cette forme particulière de régime parlementaire qui caractérise la Vème République. I - La structure gouvernementale Le Gouvernement est composé du Premier ministre, de ministres et d 'éventuels secrétaires d'État. Soumis à un statut relativement protecteur, les membres du Gouvernement forment un organe collégial et solidaire. En ce qui

du vivant. - Paris : Gallimard, 1970. KAHN (Jean-François) - Tout change parce que rien ne change. Introduction à une théorie de l’évolution . Introduction à une théorie de l’évolution sociale - Paris : Fayard, 1994. LABORIT (Henri) - Biologie et structure. - Paris : Gallimard, 1968. MONOD (Jacques) - Le hasard et la nécessité. - Paris : Seuil, 1970. RUFFIE (Jacques) - Traité du vivant. - Paris : Fayard, 1982. RUFIE (Jacques) - De la biologie à la culture. - Paris : Fayard, 1976. RUFIE (Jacques) -

déjà connues, mais par des caractéristiques physionomiques inhérentes à la forme. La création de la forme architecturale devait être un processus logique, dégagé de toutes les images déjà expérimentées, déterminé uniquement par le programme et la structure, avec le concours occasionnel (...) de l’intuition »1. Concentrant leur attention sur la forme, les architectes modernistes se sont portés soit vers le fonctionnalisme, soit vers une interprétation de l’architecture et de ses formes comme moyen

II-1-Allocution radiotélévisée prononcée au Palais de l'Elysée par le Président de la République le 20 septembre 1962. ............................................ 4 Doc. II-2- Débat du 4 octobre 1962 à l'Assemblée nationale (Paul Raynaud, Georges Pompidou)............................................................................................ 5 Doc. II-3-Discours prononcé par le Président du Sénat, Gaston Monerville, le 9 octobre 1962 devant le Sénat (extrait). .........................

professionnel et dans le cadre de nos études. PLAN : I- Introduction II- L’histoire de l’assemblée nationale III- Localisation IV- Organisation V- Vote de la loi VI- Composition du bureau VII- Assemblée nationale, sénat et congrès VIII-Structure IX-Relation entre le gouvernement et l’assemblée X-Conclusion I-INTRODUCTION : Cette recherche porte sur l’assemblée nationale en France qui peut être définie comme étant l’organe décisionnaire par excellence de la copropriété. Un peu à

nationale * George Pau-Langevin, ministre déléguée chargée de la réussite éducative * Les acteurs[+] * À l'école, au collège et au lycée * Les parents d'élèves * Au ministère * Les rectorats et directions des services départementaux de l'éducation nationale * Les collectivités territoriales * Les organismes sous tutelle * Les structures de consultation * Les structures de concertation

aux ville… Celui qui a résolu la crise c’est Pompidou, alors De Gaul le renvoi. Erreur de De Gaule en Mars 1969, c’est le referendum il veut transférer le pouvoir aux régions, c’est un Echec. Pompidou est prêt a le relayer. Ce n’est que bien plus tard qu’on reprend en considération la politique de la régionalisation 1) L’Etat aménageur L’Etat est d’abord bâtisseur d’infrastructure, 1936 création de la SNCF, on crée un réseau de transport structuré au tour de Paris dans une logique de toile araignée

tirera sa légitimité de cette élection et apparaît dès lors comme l’autorité suprême. La constitution prévoit des pouvoirs très importants au président de la république lui donnant une impression de « monarque républicain ». Ses pouvoirs le mettent au centre du régime. C’est un régime hybride qui n’est ni parlementaire, ni présidentiel. Il a été préparé par le général De Gaulle et Debré et ratifié à une très large majorité (79,25 % de oui, 15 % d’abstentions). Cette constitution perdure mais a connu

investiture est voté par 229 voix contre 224. Ainsi de Gaulle devient le dernier chef de gouvernement de la IVème République et il forme un gouvernement d’union nationale dans lequel on va trouver des ministres proches de lui mais aussi des hommes du centre. La France a échappé de justesse au déshonneur du coup d’état. B/ Le contexte juridique : un aspect formel de la légalité : Dans son discours d’investiture, le général de Gaulle avait demandé les pleins pouvoirs constituants. Le parlement a donc