Stupidité

il étudie les mœurs et les caractères, analyse les ‎sentiments et les passions et nous fait part d'une représentation de la vie quotidienne. L’écrivain crée ses personnages dans le but de faire réagir le lecteur. En montrant la méchanceté ou la stupidité des personnages, l’auteur souhaite une réaction du lecteur. Le roman n’est pas seulement un divertissement, il s’agit également d’une instruction. A la lecture du roman Au Bonheur des Dames d’Emile Zola, nous pénétrons dans le monde particulier

des attaques répétées et sans motif où personne ne gagne jamais « C’était un village abare que les Bulgares avaient brûlé » puis « il appartenait à des Bulgares et les héros abares l’avaient traité de même ». Il montre, par l’emploi d’oxymores, la stupidité des troupes qui commettent ces actes « boucherie héroïque » (emploie qui accentue l’ironie). Cette étude nous a donc permis de voir en quoi Candide est un héros différent des autres, puis de voir quels procédés utilise Voltaire pour élaborer sa

famille également pour qu’elles les accueillent. Article de l’AFP : Les enfants sorciers sont aussi martyrisés au Nigéria. L’absurdité des accusations est mise en évidence, elles peuvent venir d’une femme pasteur ou s’appliquer à des nourissons. La stupidité des exorcismes est mise en lumière avec le test du poison dont peu survivent. Le gouvernement lutte contre ces tortures.

Les victimes de celle-ci s'accumulant, le maire décide de lancer une expédition pour chasser l'ocelote et y convie le vieux. Celui-ci part à contre cœur, regrettant sa vie paisible de lecteur. Symbole de tous les colons, le maire démontrera sa stupidité, son mépris pour la forêt et ses « sauvages » et son ignorance : il se couvre d'un imperméable malgré la chaleur, il chausse des bottes pour la marche, il tue un ours à miel, l'animal le plus inoffensif de la forêt, il tire à l'aveuglette,... A

philosophiques. Il a une idée précise du bonheur, rousseau trouve que la nature est comme un havre de paix excellent à l'épanouissement de l'homme. Il va aux Charmettes, où il connaît les plaisirs de la nature et de la campagne contrairement aux stupidités de la vie et les angoisses de la vie d'écrivain. Un bonheur qui trouve parfait, qu’il idéalise et qu'il souhaite écrire Passé idéalisé Dans cet extrait Rousseau, explique que son bonheur c’est construit grâce aux moments passés aux Charmettes

gouvernée. Conclusion : Couple Bonne amie / St Yves symbolique de mal, vice/ bien. St Yves succombe par vertu, montre fin du dilemme. Epreuve par excellence de l’héroïsme féminin dans les romans de l’époque. Une fois de plus, Voltaire attaque la stupidité de la cour, de la société de l’Ancien Régime. Critique de Louis XV qui avait une vie sentimentale très dissolue, a anoblie sa maîtresse Mme de Pompadour. Allusion claire à la conduite de Louis XV.

Dingo et Popeye) venir bombarder la France afin de la « libérer ». On fait allusion aux bombardements du printemps 1944 sur Marseille et la Provence mais aussi sur la région parisienne qui tuèrent de nombreux civils français. On se moque de la stupidité des libérateurs américains représentés par les personnages de cartoons. Ils sont bêtes et incultes. Ils sont incapables de localiser la France sur une carte et ne connaissent rien du pays qu’ils doivent bombarder. Ils ne sont intéressés que

dialogue de boulevard, avec des expressions populaires comme il y en a aussi dans la bouche de Chabert («le patron», «les carabins», «faire coffrer un homme», «une face de requiem»). Ailleurs dans le texte, Balzac s'amuse à d'autres oxymorons («une stupidité spirituelle» page 92), développe d'autres comparaisons (page 123), recourt à son langage pseudo-médical (pages 114-115), passe facilement

fondent que sur des incertitudes + sentiment de peur que les autorités ressentent face au progrès. * Art.3 = ds le texte on ne veut autoriser que des livres d’histoires merveilleuses, c’est une façon pour contenir les gens dans une « heureuse stupidité » (l.20) Voltaire veut des livres d’histoires qui prennent de la distance avec le merveilleux faire la différence entre le bien et le mal et mettre en évidence le respect de chacun. * Art.4 = les autorités considèrent le philosophe comme

alors, devient ennemi de la parole, je crois, et étranger aux Muses ; il n’a plus du tout recours à la persuasion par les paroles, mais c’est avec violence et brutalité, comme une bête, qu’il traite toutes choses, et il vit dans l’ignorance et la stupidité, aggravées d’un manque de rythme et de grâce. Oui, c’est tout à fait ainsi qu’il est. Eh bien c’est pour ces deux éléments, apparemment, dirais-je pour ma part, qu’un dieu a donné deux arts aux hommes, l’art des Muses et l’art gymnastique, pour l’élément