Stupidité

pas menti au sujet de la Peau de Chagrin. page 197 ; 41 lignes : {text:soft-page-break} Thème : Stupidité Interlocuteurs : Raphaël, Emile, le banquier, Taillefer, Euphrasie, Aquilina et Cardot. Tout le monde, connaissant les pouvoirs de la Peau de Chagrin, embête Raphaël en lui demandant des souhait. Raphaël prend cela au sérieux et s’énerve. On voit là la stupidité de Raphaël qui ne comprend pas la plaisanterie de ses amis. page 244-245 ; 22 lignes : Thème : essaie

commandant Pinçon, homme dont le narrateur « se demandait quelle rage d'envoyer crever les autres le possédait ». Le commandant leur demandait souvent d'aller rejoindre leur régiment dans le village de Barbagny, la nuit. Alors le narrateur raconte la stupidité et la dangerosité de l'affaire. Après la mort d'un de ses camarades, Kersuzon, le narrateur décide de se faire mettre à la porte du cantonnement, pour éviter les ballades nocturnes. Le narrateur y raconte les nuits occupées à observer les villages

lézard ». Dès le milieu du XIXe siècle et jusque dans les années 1970, les dinosaures furent vus par les scientifiques comme des lézards géants, des reptiles à sang froid, patauds et lents, ayant disparu à la fin du Mésozoïque victimes de leur stupidité. Amorcée par le paléontologue américain John Ostrom, en 1969, la « renaissance des dinosaures » se caractérise par un regain d'intérêt pour l'étude des dinosaures, qui furent dès lors vus comme des animaux actifs, endothermiques et ayant des comportements

d’acquérir la vraie connaissance car sans elle, il y aurait différentes classe sociale et nous ne serions pas réellement libre. L’auteur cite : « Si, a mesure que les classes supérieures s'éclaireront, les autres restent dans l'ignorance et dans la stupidité, il en résultera un partage dans chaque nation; il existera un peuple maître et un peuple esclave, et par conséquent une véritable aristocratie dont la sagesse des lois ne peut ni prévenir le danger, ni arrêter les funestes effets ». Il défend

son personnage Bardamu et les aventures qu’il vit, nous en venons à nous poser des questions sur nous sur l’homme et sa condition. Ses aventures en France , en afrique et en Amérique nous font réellement réflechir sur la condition de l’homme, la stupidité de certaines actions faites par la société (ici la guerre)… Dans ce cas, le personnage principal nous laisse également une possible réfléxion sur nous même ou sur l’homme ou sur certaines questions existencielles. Après la lecture du roman il nous

llay, la composition du sonnet conduit à la pointe du dernier tercet, dont l’importance es t soulignée par l’expression de la douloureuse déception du poète : cette fois, ce n’e st plus la duplicité des courtisans qui est dénoncée, mais leur stupidité pathétiquement ri dicule. La composition de la fable de La Fontaine, qui n’explicite aucune morale, qui lai sse absolument muets les « alliés » du lion, qui souligne l’importance de certains vers pa r une versification hétérométrique (vv. 12

dans notre avancée vers l'Ouest. En réalité, il arrivait plus souvent que les colons voyageant sur l'Oregon Trail meurent de blessures qu'ils s'infligeaient eux-mêmes qu'à la suite d'une attaque indienne. A nos instincts meurtriers s'ajoutait notre stupidité. Et pourtant, nous aimons tellement les armes, nous en raffolons tellement, nous sommes tellement habitués à la violence dans nos propres foyers que les accidents domestiques avec une arme à feu ont fait plus de victimes que toutes nos guerres cumulées

Est-ce un problème concernant votre travail ? » Sa jeune sœur répondit alors à sa place : « Oh père, je vous en prie, ce cher François aussi irréprochable qu'il soit est un être torturé vous savez, et puis peut être se rend il enfin compte de la stupidité dont il fait preuve lorsqu'il va observer ces rustres qu'il trouve dans la rue ! Parlons plutôt de choses plus importantes, comme par exemple mon bal des débutantes qui va bientôt avoir lieu. J'hésite encore sur le colorie de ma robe. Père vous rendez

superficialité, son ignorance et sa stupidité. Avec son imagination extraordinaire, Qian lie toujours deux choses tout à fait différentes pour créer une figuration qui peut beaucoup amuser les lecteurs. Ici, un diplôme ne sert d'une preuve d'être savant mais d'un outil pour cacher l'ignorance. L'homme primitif utilise les feuilles de figure pour couvrir leurs organes sexuels. L'homme moderne, bien qu'il s'habille bien, il ne peut se tirer de la vanité et de la stupidité. En illustrant un homme et une

bien magnanime l’effort de donner une portion de son revenu pour sauver tout ce qu’on possède ! Eh ! messieurs, ce n’est là que de la simple arithmétique, et celui qui hésitera ne peut désarmer l’indignation que par le mépris que doit inspirer sa stupidité. Oui, messieurs, c’est la prudence la plus ordinaire, la sagesse la plus triviale, c’est votre intérêt le plus grossier que j’invoque. Je ne vous dis plus, comme autrefois : donnerez-vous les premiers aux nations le spectacle d’un peuple assemblé