Stylistique

modifier le code] On insiste sur la composition du texte en épousant les grandes articulations du texte, qui peuvent se confondre avec les chapitres, mais pas nécessairement. On brosse l'intrigue à grands traits en insistant sur les particularités stylistiques caractéristiques de l'auteur, quelques citations à l'appui. On mentionne toutes les modifications qui touchent la situation d'énonciation : changement de narrateur par exemple, ainsi que la chronologie du récit (durée de l'histoire racontée rapportée

revalorisent des pôles de la parole spontanée qui échappent à la logique écrite des belles-lettres et à l’enquête rhétorique traditionnelle. Vus comme des figures d’une nouvelle espèce, le cri et le silence permettent de réunir l’analyse du contenu et la stylistique dans une mise en valeur des formes qui situe la spécificité de Duras dans la mouvance du roman moderne. Comme on lui a reproché son « style asthmatique », on a écrit plusieurs fois, rarement par compliment, que Marguerite Duras raconte toujours

la notion de révélation de la part de l’écrivain. Puis, en opposition à la tradition, l’originalité semble venir inclure à l’incipit les différents points de vue de l’auteur sur l’Homme et le monde. Enfin, au-delà des particularités et des choix stylistiques de l’écriture, l’écrivain donne par le genre littéraire de son œuvre, un appui considérable à ses partis-pris. I. Le regard de l’écrivain sur l’Homme et le monde grâce à un incipit traditionnel Nombreux sont les incipit, depuis la naissance

généralement subjectif et le terme cœur particulier qu’un relève de l’habileté du renvoie à la auteur veut créer. lecteur à interpréter le sensibilité, aux texte. émotions. N.B. Le jeu sur le ou les sens courants d’un mot peut produire différents effets stylistiques comme l’ambiguïté, l’humour, l’ironie, la critique, la surprise, la séduction. À vous d’être attentif ! Le vocabulaire Le voc. mélioratif indique la « Il cria avec une voix Il faut être prudent et mélioratif et perception positive du rauque et

coté remarquable et hors du commun du personnage. Cette démesure qui est hors du réel nous porte à penser à un paradoxe. On peut trouver dans la figure stylistique de l’énumération et des hyperboles, des savoirs faire et des connaissances une situation paradoxale, bien que sans faille apparente, aboutit à une absurdité. Toutes ces figures stylistiques font rassortir le personnage hors commun, en le différenciant de la masse, aux gens de la société dans laquelle il vit, le rendant ainsi un personnage

de la littérature. C'est que nous visons avant tout à former de bons lecteurs d'œuvres littéraires, des lecteurs sensibles non seulement à la matière, au propos d'un texte, mais aussi à la manière dont il est écrit, aux procédés linguistiques et stylistiques qui y sont employés et à leurs effets. Nous cherchons, en fait, à former des lecteurs capables d'analyser, d'expliquer, d'apprécier des textes littéraires, tout en trouvant dans ces activités sens et plaisir; mais nous espérons, du même coup, en

audacieuse. • Antithèse « honnêtes gens » + « délicatesse » / « affectée par les courtisans ». La ligne 16 marque un changement brutal d’une idée de la cour : la 1re partie (éloge) = protase et 2de partie(blâme) = apodose. b. D’un point de vue stylistique, les deux parties du texte s’opposent - 1re partie : idée politesse, délicatesse des procédés dans les mœurs  Phrase s’enchaînent par des reprises sémantiques  D’un point de vue rhétorique, la 1re partie progresse d’une manière rigoureuse

grande diversité stylistique : hymnes, complaintes individuelles ou collectives, chants de louange, chants de foi, psaumes royaux, historiques et sapientiaux[2]  Ces différents styles ont été mis en valeur par l’étude...[2]. La forme de la prière domine toutefois et éclaire l’utilisation liturgique qui est faite du recueil. Ce livre est à lui seul un texte, un genre poétique et un style, voire un résumé du style biblique. Il se prête ainsi à autant de transformations, générique, stylistique et textuelle

à la recherche de Cunégonde n’est motivée que par l’amour. Notre abord est donc thématique et stylistique. Nous soulignons par une démarche thématique le travail qui consiste à relever et à repérer des répétitions à propos de la femme et de l’amour qui forme une sphère thématique. Le recours à la stylistique se voit indispensable pour recadrer les images, les métaphores et tout procédés stylistiques qui définissent la description des corps humains et par conséquent mettent en relief la vision voltairienne

reposant sur la triade « compréhension – déverbalisation – réexpression ». Au juste, la théorie contrastive ressortit elle aussi à une théorie du sens, mais l’aspect sémantique y est plus étroitement lié aux aspects formels (lexicaux, grammaticaux, stylistiques, etc.) et tient mieux compte, selon nous, des interactions entre le sens et la forme ainsi que du polymorphisme des contraintes qui en résulte. En ce sens, les contraintes définies dans le cadre de la théorie contrastive se rapprochent, dans leur