Sueur

négligée, il est aussi important de voir que l’acte de tuer est comme une rupture de l’ordre de la nature. Dans ce décor immobile autant qu’insoutenable, c’est la vision qui est surtout soumise aux incertitudes et à l’aveuglement : « Au même instant, la sueur amassée dans mes sourcils a coulé d’un coup sur les paupières et les a recouvertes d’un voile tiède et épais. Mes yeux était aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel » L11. La luminosité, ici, loin de rendre claire la perception, est source

physique et violent j’ai relevé les expressions suivantes : « La sueur lui coulait le long du dos tandis qu’il ramait. » « Ses bras et ses vieilles jambes étaient glacées » «  son dos était raide par suite du froid de la nuit » «  Il n’insista pas et s’arc-bouta pour résister à la violence de la propulsion. » « La corde, en labourant son dos, lui causait une douleur qui avait presque dépassé les limites de la conscience. » « La sueur coulait dans ses yeux et son âcreté salée le cuisait, elle cuisait

avec seulement les dépôts C et D (il faudrait un 4ème dépôt correspondant à un pigment violet). Exercice n°3 : 1) a) La sueur peut être comparée à une solution aqueuse d’ions sodium et chlorure (eau salée) : le solvant est l’eau et les solutés sont les ions sodium et chlorure. b) ion sodium ion chlorure eau 2) a) Pendant le match, le sportif transpire 2h donc le volume de sueur est de : ? = 2 × 0,75 = 1,5 ? ? Or ?? = ? ↔ ? = ?? × ? = 1,2 × 1,5 = 1,8 ? : masse en ions sodium perdue pendant le match

joue un rôle de transporteur au niveau du plasma et de la lymphe, où elle véhicule les nutriments puis les déchets. * Elle maintient la température corporelle : l’évaporation de la sueur à la surface cutanée permet d’abaisser la température corporelle. Pertes quotidiennes en eau : 2,5 L / jour, Par : la sueur, les selles, l’urine, la PIE, la respiration pulmonaire qui libère de la vapeur d’eau. Compensées par  l’absorption d’eau, de légumes, de lait, de viande … * Eléments minéraux 

"épée" : gradation. Ces métaphores associées à des verbes exprimant une action brutale et instantanée, comme : "gicle" et "jailli" : la souffance devient une torture : "rongeait", "fouillait". Le soleil n'est pas le seul à jouer contre Meursault : la sueur est évoquée trois fois : "rideau de larmes et de sel" : elle est ressentie comme un gêne. Les effets principaux de la chaleur et du soleil se concentrent sur le visage de Meursault. Il sent "les veines" de son "front" battant "ensemble sous la peau"

93 : « La brûlure du soleil gagnait mes joues et j'ai senti des gouttes de sueur s'amasser dans mes sourcils. C'était le même soleil que le jour où j'avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau ». Au moment de l'affrontement sur la plage, il revit, entre autres, la douleur : « La brûlure du soleil gagnait mes joues et j'ai senti des gouttes de sueur s'amasser dans mes sourcils. C'était le même soleil que le jour où j'avais

malgré leur tremblement, avaient mis un oeil à une fente, désireuses de ne rien perdre du spectacle. Le roulement de tonnerre approchait, la terre fut ébranlée, et Jeanlin galopa le premier, soufflant dans sa corne. — Prenez vos flacons, la sueur du peuple qui passe ! murmura Négrel, qui, malgré ses convictions républicaines, aimait à plaisanter la canaille avec les dames. Mais son mot spirituel fut emporté dans l’ouragan des gestes et des cris. Les femmes avaient paru, près d’un millier

elle même «un homme qui voyageait à pied» , «voyageur» «ruisselant de sueur», ces vêtements détériorés ainsi que son physique démontrent un personnage éprouvé et usé «visage brûlé par le soleil» «un pantalon de coutil bleu usé et râpé» tous ces détails font constater que Jean Valjean est un personnage ayant vécu d'intenses épreuves et que son trajet jusque Dignes n'en est qu'un de plus parmi d'autres. L'insistance sur la sueur à divers reprise indique la quantité d'effort effectué de son trajet jusqu'à

dès qu’on s’aperçut qu’il était utile à un seul d’avoir des provisions pour deux, l’égalité disparut, la propriété s’introduisit, le travail devint nécessaire, et les vastes forêts se changèrent en des campagnes riantes qu’il fallut arroser de la sueur des hommes, et dans lesquelles on vit bientôt l’esclavage et la misère germer et croître avec les moissons. La métallurgie et l’agriculture furent les deux arts dont l’invention produisit cette grande révolution. Pour le poète, c’est l’or

fait quelques pas vers la source. L’Arabe n’a pas bougé. Malgré tout, il était encore assez loin. Peut-être à cause des ombres sur son visage, il avait l’air de rire. J’ai attendu. La brûlure du soleil gagnait mes joues et j’ai senti des gouttes de sueur s’amasser dans mes sourcils. C’était le même soleil que le jour où j’avais enterré maman et, comme alors, le front surtout me faisait mal et toutes ses veines battaient ensemble sous la peau. A cause de cette brûlure que je ne pouvais plus supporter