Suis Je Responsable D Autrui

pouvoir est l'effet d'un droit ou de la légitimité exercés sur autrui avec plus ou moins d'autorité. Elle correspond au droit de pouvoir commander, d'être obéi, impliquant les notions de légitimité, de pouvoir, de commandement et d'obéissance. Cette forme de la légitimité de l'autorité peut varier, et elle peut s'exprimer selon un rapport de force ou un rapport de compétence. Alors que le pouvoir est la relation d'influence sur autrui. Il peut s'appuyer sur d'innombrables valeurs, concepts ou droits

fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer » et « chacun est responsable du dommage qu’il a causé, non seulement par son fait, mais encore par sa négligence ou son imprudence ». Dans la vie quotidienne, on peut retrouver différents types de responsabilité : - Responsabilité civile : La responsabilité civile est l’obligation de répondre des dommages, que l’on cause à autrui ou que des personnes à notre charge commettent

demeure à la base un apparentant au couteau, et donc il représente un danger pour autrui. Le fait d’interdire cette représentation symbolique n’est aucunement un refus de l’acceptation de la religion ou de cette parcelle d’identité de l’individu qui porterait le kirpan mais bien l’affirmation du droit à la sécurité de tous. En effet, si l’on se rapporte à la théorie de Sartre sur la responsabilité, tout individu est responsable d’autrui dans la mesure où il prend conscience de leur existence. Ainsi, il

! Le terme responsable nʼest pas spécifiquement juridique, c'est assumer ses choix. La responsabilité civile au niveau juridique se définit comme lʼobligation créée par la loi dont l'objet est de réparer les dommages que lʼon cause à autrui. Il y a deux sources de dommages: un contrat ou un fait juridique. Le code civil considère quʼun délit (fait matériel illicite) entraine pour son auteur une obligation de réparer son préjudice subit. C'est un droit presque exclusivement jurisprudentiel. Une

l’avenir et d’adopter une orientation positive fondée sur une meilleure intelligence de notre passé Sujets de dissertation  Le passé peut-il faire l’objet d’une connaissance historique ? Le rôle de l’historien est-il de juger ? Un peuple est-il responsable de son histoire ? La religion L’étymologie est ici particulièrement instructive. Le mot « religio » serait dérivé de « religare » qui signifie « relier » et peut-être aussi de « relegere » qui veut dire à la fois « respecter » et « recueillir »

C'est pourquoi il semble impossible de vouloir le mal, les deux termes s'excluant presque mutuellement. Le mal désigne ici le mal moral et connote la violence physique. Il s'agit des torts et des dommages physiques ou moraux que l'on peut causer à autrui sans justice, gratuitement. Le mal fait l'objet d'interdits qui sont toujours formulés sous forme de lois (que ce soit dans la religion ou le code pénal) qui toute s'appuient sur cette idée de respect de l'autre et de ses droits fondamentaux (droit

de l’existence de Dieu. Il indique comment se produit l’emphase de l’infini dans le fini. Ce n’est pas Dieu qui est recherché dans le prochain, c’est l’Autre qui habite la conscience dans la proximité du prochain et qui lui signifie sa dévotion à autrui. La phénoménologie allemande La pensée de Levinas se rencontre au carrefour de la phénoménologie et de la philosophie existentielle. Elle questionne les fondements de l’ontologie pour présenter l’humanisme comme «lieu éthique » de la transcendance

Etre raisonnable, est-ce renoncer à ses désirs ? Le désir, mouvement qui porte vers un objet qu’on imagine source de satisfaction, est souvent opposé à la raison. Celle-ci dans le sens d’être raisonnable, c’est-à-dire être responsable de ses actes en faisant usage de la raison éthique, qui dicte nos conduites sociales. Or le désir et la raison tout en faisant parti de l’essence de l’homme sont très différents. En effet la raison est une faculté universelle quand le désir est particulier

Chapitre 5 Autrui et société La thématique de la société sera traité 3fois dans l’année. Ici on en parlera une deuxième fois dans le cours sur le travail, puisque fondamentalement la société moderne est organisée autour du travail. Ainsi que dans le cours de fin d’année, sur la justice. Intro : a. Caricature de problématisation Si « Je » = sujet ; et si autrui = autre « Je » (tiré du latin alter-égo), alors il si c’est un autre « Je » il est différend du « Je ». Peut-on

"je ne suis pas un autre et j'assume la responsabilité de mon originalité". Mais, en même temps l'homme est aussi un être social qui subit l'influence des autres et on peut se demander si cela ne le conduit pas nécessairement au conformisme. Alors autrui est-il un obstacle à l’acquisition du soi-même ou au contraire le déterminant de la constitution de soi ? Dans un premier temps, il semble bien qu'on ne puisse être soi que dans la solitude qui nous préserve de l'influence d'autrui. Cependant placés