Suis Je Responsable De Es Désirs

rue » qu’aurait pu interroger Socrate. Ainsi, la liberté, c’est « faire ce que l’on veut », elle correspond, semble-t-il à la toute-puissance de la volonté de chacun. Spontanément, tout individu se sent libre dès lors qu’il peut accomplir tous ses désirs, toutes ses envies. Or l’expérience ordinaire de la vie montre aussi, paradoxalement, l’être humain soumis à de nombreuses contraintes à la fois externes (physiques, sociales, politiques) et internes (instincts, habitudes, passions) qui pèsent sur

du bonheur dépend de chacun et est strictement personnelle, bien qu'il soit vrai qu'il existe des idéaux tels que la famille, l'amour et la santé. Mais le bonheur ne dépend-il que de nous? En effet, cela revient à dire que nous sommes les seuls responsables de notre bonheur. Or, on peut nier le fait qu'autrui ou même que des évènements externes aient un impact sur lui. C'est pourquoi nous pouvons nous demander si le bonheur n'est procuré que par nos actions ou s'il peut provenir d'autrui? Nous allons

liberté effective (réelle), et non la sensation de liberté, ni l'idée de liberté. La liberté peut être conçue de plusieurs façons, et notamment comme licence (latin licet : il est permis) c'est-à-dire comme possibilité de satisfaire tous ses désirs. On peut dire qu'il y a une définition négative de la liberté comme absence de contrainte, d'obstacle, et une définition positive comme capacité à agir par soi-même. Les négations de la liberté : • destin (fatalisme) ; • prédestination

ses désirs ? Le désir, mouvement qui porte vers un objet qu’on imagine source de satisfaction, est souvent opposé à la raison. Celle-ci dans le sens d’être raisonnable, c’est-à-dire être responsable de ses actes en faisant usage de la raison éthique, qui dicte nos conduites sociales. Or le désir et la raison tout en faisant parti de l’essence de l’homme sont très différents. En effet la raison est une faculté universelle quand le désir est particulier. De plus renoncer à ses désirs, c’est

si la liberté résidait dans le fait de se défaire de son état de tutelle (le fait que l’on pense et agisse non pas par soi-même mais sous la direction de quelqu’un d’autre), on observe que, selon Emmanuel Kant, l’homme se plaît et est lui-même responsable, en partie, de son incapacité à se servir de son entendement. L’Homme est quelque part la cause de sa minorité. En effet, Kant dans Qu’est ce que les Lumières ?, nous montre qu’il est difficile pour l’Homme (la majorité des hommes) de se détacher

ou mal est dans la sensation et que la mort est l’absence de sensation. Lorsque nous existons la mort n’est pas la et lorsque la mort est là nous n’existons plus. * Les désirs : les uns sont naturels, les autres vains, et, parmi les désirs naturels, les uns sont nécessaires et les autres naturels seulement. Parmi les désirs nécessaires, les uns sont nécessaires pour le bonheur, les autres pour la tranquillité du corps, les autres pour la vie. Nous devons choisir les plaisirs qui entrainent la

Dissertation de philosophie Sommes nous responsable de la vie que nous menons ? « Nous faisons l’expérience concrète de la liberté quand nous nous retrouvons dans des situations où nous sommes condamnés à faire des choix qui nous engagent devant l’humanité, et dont nous devons assumer, seuls, l’entière responsabilité » énonce Sartre dans son œuvre La République du silence (1944). Faire des choix telle est la tache que l’homme doit accomplir en permanence. Il doit prendre des décisions sans

L'ART D'ETRE HEUREUX Introduction Toute tentative pour définir les moyens d'atteindre le bonheur, ou pour en définir la nature, se heurte chaque fois, à une difficulté. Selon l'opinion commune, le bonheur consiste à pouvoir satisfaire tous ses désirs. Une telle perspective, qui tend à identifier le bonheur et le plaisir, relève de l'hédonisme (du grec hedonê, la volupté): doctrine faisant du plaisir le souverain bien à rechercher. Au sens le plus ordinaire, l'hédonisme désigne l'attitude de celui

nous n'avons aucune prise, aucun contrôle. « Le moi n'est pas maitre dans sa propre maison », Freud. Notre inconscient est constitué de désirs fondamentaux et de désirs refoulés, et est responsable d'association ou de « raisonnement » que nous ne pouvons maîtriser. Notre inconscient est censuré, pour s'adapter au principe de réalité. Ces raisonnements, ou désirs inconscients peuvent se manifester sous la forme de lapsus, de rêves, ou encore d'oublis inexpliqués. Lorsque, alors, nous en prenons conscience

qu'il faut donc satisfaire touts ses désirs pour pouvoir côtoyer le bonheur. Le bonheur est envié par toutes personnes sur Terre qui cherchent donc à assouvir leurs désirs. Mais, à trop chercher le bonheur, on pourrait le perdre de vue si nos désirs sont impossibles à réaliser. On peut ajouter que tout désir accomplit en cacherai un autre car sinon la vie n'aurait pas de but. On peut donc se poser le question : Pour être heureux, faut-il satisfaire touts ses désirs ? Nous pourrons nous poser la question