Suis Je Responsable De Mon Bonheur

bonheur : Etat de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du coeur et de l'esprit. • idéal : Adjectif désignant ce qui se rapporte à une idée. On l'oppose à empirique. On qualifie aussi d'idéal, quelque chose qui n'existe qu'en pensée. Substantif désignant un modèle à suivre (un idéal de vertu par exemple). • imagination : L'image est, en psychologie, une représentation mentale d'objets non présents. L'imagination est, dans la psychologie classique, une activité de l'esprit qui

trouveras ici une dissertation de philo consacrée à la question: « Sommes-nous responsables de nos désirs? » La correction est bâtie autour de: Thèse: nos désirs nous sont imputables Antithèse: nos désirs nous échappent Le langage trahit-il la pensée? - Dissertation de philo de première L Tu trouveras ici une dissertation de philosophie consacrée au sujet: « Le langage trahit-il la pensée? » Est-ce dans le loisir ou dans le travail que l'homme réalise son humanité? - Dissertation Voici une

la raison en lien avec l'incapacité qu'a cette dernière de mener l'homme au bonheur. Les hommes qui cultivent la raison et la réflexion (les intellectuels) en viennent en effet à envier les hommes conduits par leurs seuls instincts (les gens simples), qui semblent accéder à un bonheur que la raison ne permettra jamais d'atteindre : « Plus une raison cultivée s'occupe de poursuivre la jouissance de la vie et du bonheur, plus l'homme s'éloigne du vrai contentement. Voilà pourquoi chez beaucoup,

Introduction : Dans ce texte, extrait des Fondements de la métaphysique des mœurs, (1785) Kant affirme que chaque individu cherche à atteindre le bonheur sans se préoccuper de son prochain. Ce comportement égoïste n’est-il pas contraire à toute idée de morale ou de devoir ? La thèse que défend Kant consiste à affirmer qu’une action ne peut avoir de valeur morale qu’à la condition qu’elle s’oppose à nos inclinations, c’est-à-dire à nos désirs, nos appétits, nos passions, nos sentiments : seule une

est absolument indépendante de toutes déterminations mentales ou physiques. Il s’ensuit que toutes les actions humaines sont librement consenties et que la vie humaine n’est soumise par rien. Mais il s’ensuit aussi que les hommes sont pleinement responsables de leurs existences individuelle et collective. Cependant il faut bien distinguer deux sortes de liberté humaine chez Descartes. Il y a d’abord cette liberté radicale de la volonté – vers laquelle pointe le raisonnement de Kant. La liberté d’indifférence

n'existe pas, pourtant chacun d'entre nous y aspire et ce car nous voulons tous avoir une connaissance de soi et du monde ainsi que le bonheur suprême. L'idéal de la sagesse ou l'idéal de la vie humaine pourrait, en quelque sortes, se résumer à savoir être heureux, d'ailleurs pour Spinoza "l'essence même de l'homme c'est être heureux". Afin de se rapprocher, de ce bonheur et donc de se rapprocher aussi de la sagesse, il faut savoir contrôler ces désirs car il est possible d'avoir ce que l'on désirs mais

avant J-C, qu'une nouvelle philosophie fut enseignée dans un jardin, par un certain Epicure. Celui-ci avait pour premier but de libérer les Hommes de la peur, la peur de la mort et celles de la vie, ainsi que la recherche de la satisfaction et le bonheur dans la vie privée. En somme l'épicurisme est atomiste par sa physique, hédoniste et aussi irréligieuse. Aujourd'hui, il nous reste que très peu de texte d'Epicure, nos principales sources sont le « De natura erum » de la nature des choses, un

banalité dans la pièce → le champ lexical du bonheur Dès le début de cet extrait, on voit une Antigone lointaine, « le regard perdu », s'interrogeant sur le bonheur. Le mot « bonheur » apparaît tout au long de cet échange. Il vient comme une réponse au dernier mot de la réplique précédente de Créon, comme une répétition, où le mot perd son sens. Antigone cherche à savoir ce qu'est le bonheur, en opposant le bonheur des autres au sien. À la ligne 13, « votre bonheur » est un moyen pour Antigone de s'éloigner

Or, on constate en réalité que même avec l’arrivée de tout ce progrès technique qui facilite certains aspects de leur vie et qui apporte tant de bienfaits, les hommes n’en sont pas pour autant plus heureux car le progrès technique ne fait pas le bonheur, en revanche il peut participer au fait d’être heureux.                                                                                                            En seconde partie, ce texte formule une objection aux

technique, l’imagination, etc. qui fournissent le progrès et le développement de l’humanité. Mais en fait quels sont les rapports du progrès à la question du bonheur ? Ou plus précisément le progrès concourt-il au bonheur de l’humanité ? La réponse à cette question exige l’examen des problèmes suivants : -Le progrès entraine-t-il le bonheur ? I. Approches définitionnelles I.1Le progrès Selon Lalande, le progrès est une marche en avant c'est-à-dire un mouvement dans une direction définie. On