Suite Monologue D Harpagon

espagnole où il est allé signer la paix des Pyrénées, Louis XIV voit les Précieuses le 29 juillet 1660, puis le 31 sa nouvelle pièce, Sganarelle ou le cocu imaginaire (4e pièce de Molière qui joue Sganarelle), petite comédie en un acte reposant sur une suite de quiproquos, dont les recettes n’atteignent pas les sommets de la précédente mais qu’il jouera 123 fois dans son théâtre, plus souvent qu’aucune de ses autres pièces (les Précieuses, jouées 55 fois ne le seront plus après 1661). Molière a le vent

à jouer et à diriger sa troupe — devenue « Troupe du Roy » — tout en écrivant des comédies de genres variés . Molière a créé en même temps des personnages individualisés emblématiques et approfondis dont la liste est longue : Monsieur Jourdain, Harpagon, Alceste et Célimène, Tartuffe et Orgon, Dom Juan et son valet Sganarelle, Argan le malade imaginaire… Le 23 janvier 1662, Molière signe son contrat de mariage avec Armande Béjart. Il a quarante ans, elle en a vingt. Contrairement à l'usage du milieu

en page et la structure narrative N°8 : le point de vue la focalisation, le type de narrateur N° 9 : les modes d’exposition. N°10 a : l’écriture d’un portrait N°10 b : l’écriture d’une description N°10 c : les fonctions d’une description N° 11 : la suite de récit N° 12 : le paragraphe argumentatif N° 13 : le devoir argumentatif N° 14 : le commentaire ordonné d’une image N° 15 : L’écriture d’un compte rendu N° 16 : l’écriture des didascalies dans un texte de théâtre N° 17 : l’écriture des répliques

impact sur la défense d’idées. Dans ce cas, le choix des acteurs est d’autant plus important, puisque les acteurs doivent véritablement incarner leur personnage, porteur de l’idée à défendre. Ce point est visible dans la comédie de Molière L’Avare. Harpagon, personnage omniprésent dans la pièce, représente à lui seul de nombreux défauts comme l’avarice, la tyrannie domestique ou l’égoïsme. Il se moque de ce que pense les autres, il n’agit qu’en pensant à sa propre personne, et ne se soucie pas de ses

Identifier les intitulés (actes, scènes) et la mise en page (répliques, tirades, disdascalies) LUF404 Identifier les différents procédés comiques (de geste, de langage, de situation, de caractère, de répétition, etc.) LUF404 Distinguer les monologues, apartés, dialogues, répliques, tirades LUF404 Ecrire ✔ Organiser un texte (planification du texte, choix ou respect du registre de langue, du système de temps, de la forme du texte, etc.) Ecrire une scène (originale ou par transposition)

ANTANACLASE: consiste à reprendre les mots (souvent de l'interlocuteur) en leur donnant une autre signification. Ex.: Le coeur a ses raisons que la raison ne connaît pas. Pascal ANTONOMASE: employer un nom propre pour un nom commun. Ex.: c'est un Harpagon = un avare ASYNDÈTE: consiste à enlever les conjonctions qui devraient unir les différentes parties d'une phrase. Ex.: bon gré, mal gré. Je suis venu, j'ai vu, j'ai vaincu. CATACHRÈSE: La langue ne semblant pas avoir de termes propres, on a recours

espagnole où il est allé signer la paix des Pyrénées, Louis XIV voit les Précieuses le 29 juillet 1660, puis le 31 sa nouvelle pièce, Sganarelle ou le cocu imaginaire (4e pièce de Molière qui joue Sganarelle), petite comédie en un acte reposant sur une suite de quiproquos, dont les recettes n’atteignent pas les sommets de la précédente mais qu’il jouera 123 fois dans son théâtre, plus souvent qu’aucune de ses autres pièces (lesPrécieuses, jouées 55 fois ne le seront plus après 1661). Molière a le vent

Le théâtre de l’absurde met en scène un langage qui est lui-même absurde, qui détruit toute possibilité de communication et ôte toute cohérence aux propos tenus sur scène. Avec le langage de l’absurde, les dialogues deviennent des successions de monologues, ce qui donne lieu à de nombreux quiproquos. Il n’y a aucune possibilité de communication au sens propre du terme, c’est-à-dire de mise en commun d’une idée. Ex 1 : Ionesco La Leçon. Cette pièce met en scène un professeur qui donne des cours

son maître malade… C’est à partir de cet enchevêtrement d’identités, ce triple jeu, que se noue une situation périlleuse et de plus en plus acrobatique… qui se termine parfois par une joyeuse débandade quand la supercherie est découverte, à la suite d’un mot malheureux prononcé un peu trop fort (le mot « déguisement » !) : Figaro, le meneur de jeu, et le comte Almaviva se voient contraints de fuir avec la plus grande célérité pour échapper à la colère de Bartholo ! La multiplication des jeux

15 janvier 1622 et mort à Paris le 17 février 1673, est un dramaturge et acteur de théâtre français. Grand auteur comique, il a peint les vices de ses contemporains et les plaies de la société de son temps et a créé des personnages immortels : Harpagon, Tartuffe, Don Juan, Alceste. Provocateur, il a osé critiquer, dans Tartuffe et Don Juan, une société qui ne permettait pas l’expression ouverte d’idées non-conformes au système de pensée en vigueur. Il a polarisé les passions. Ses ennemis l’ont