Sumer

C’est vingt-sept mille ans plus tard qu’apparaît la plus ancienne forme d’écriture pictographique en Mésopotamie. Cette région du Moyen-Orient, située entre l’actuel Golfe Persique et la ville de Bagdad, était à l’époque partagée entre le pays de Sumer au Sud et le pays d’Akkad au Nord. Dans les premières inscriptions sumériennes de cette écriture dite « aide-mémoire » comme les entailles des premiers hommes, les pictogrammes renvoient à un objet ou à un être désigné. Un triangle pubien avec le trait

"caillou" en latin), dès la moitié du 4ème millénaire av J.-C. Tous ces dispositifs matériels souffrent d'une grande faiblesse, ils sont impuissants à garder trace du passé car chaque étape du calcul supprime les précédentes. Les numérations écrites. A Sumer, vers 3 300 av. J.-C., en Mésopotamie est née l'écriture. Elle aurait été élaborée pour la gestion de l'empire, terres, troupeaux, hommes, grains... La première numérotation écrite est sumérienne. Dans les premières tablettes d'argile (qui nous ont

universel qui n’est pas propre à la Bible, puisqu'on le retrouve dans la plupart des mythologies du monde à l'exception de l'Afrique : l’Inde, le monde celtique, la Grèce ancienne, l’Océanie, l’Amérique précolombienne. Dans tout l’Orient antique, Sumer, Akkad et Babylone, on retrouve des traditions comportant un Déluge qui se déroule de manière très proche du récit biblique, mais qui lui sont antérieures de deux millénaires. En fait, tous les déluges du Proche-orient dérivent du récit sumérien de

droit pénal, pouvant être violent avec des sanctions comme les mutilations avec par ex la loi du talion qui signifie «œil pour œil, dent pour dent». Elle existe dans la législation mésopotamienne mais pas systématique, les habitants de la ville de Sumer ne connaissent pas la loi du talion et ont déjà imaginés un système de comportement pécuniaire. SECTION 2/ LE CODE D HAMMURABI Code le plus complet datant de 1792, écrit par un roi qui règne sur Babylone. Roi d'origine sémitique qui va réaliser

formés de petites images, celles-ci sont totalement propres à leur région. III. Les premiers écrits en Mésopotamie. 1. 6000 a.C. – la première écriture « analytique ». C'est dans les restes des temples des cités d'Uruk et de Lagash (le Pays de Sumer, l'actuel Irak) que l'on retrouve les premières traces d'écriture. Elles sont datées de 3300 ans avant JC. Les Sumériens utilisaient des roseaux taillés en pointe (les calames) pour tracer les signes sur des tablettes d'argile. Cette écriture était

le cours de l'histoire, et en particulier par la multiplication des relations entre les peuples de cultures diffrentes, semble avoir engendr trs tt le besoin d'organiser, voire de thoriser, les moyens de passer d'une langue une autre: “ aprs que Sumer eut t progressivement conquis, dans le dernier quart du troisime millnaire, par les Smites akkadiens, les professeurs sumriens entreprirent la rdaction des plus vieux "dictionnaires" que l'on connaisse. Les conqurants smitiques, en effet, non seulement

départ à une réflexion théorique juridique. Les plus anciens témoignages que nous possédons ne dépasse pas le IIIe millénaire av-JC, ces documents qualifiés de code, forme plutôt des recueils de loi. Dans la cité état d’Ur-Nammu, dans la région de Sumer, 2100 av-JC une tablette a été retrouvé avec le fragment d’un code sumérien datant du roi Ur-Nammu fondateur de la IIIe dynastie d’Ur, ce texte que l’on appelle le code d’Ur-Nammu est le plus ancien texte de législatif connu, il décrit le droit pénale

Introduction générale.   Réfléchir sur la manière dont se développe une règle juridique. Tenter d’expliquer le présent par le passé. Claude Levi Strauss Il n’y a que dans le passé  qu’on peut comprendre le présent. 16e Siècle Michel ? Chancelier de France « Qui n’oubliera le passé aura soin de l’avenir ». Le droit d’aujourd’hui n’est pas né ex nihilo. Il est le fruit d’une évolution. La règle de droit tend à devenir une pure donnée technique. La règle porte en elle-même des préoccupations qui

1- LES SUBSTANCES TRAVAILLEES DEPUIS L’ANTIQUITE : A- LE PAVOT A OPIUM : Le pavot à opium est une plante cultivée pour ses graines comestibles utilisées en boulangerie pour faire de la farine de pavot ou encore du pain aux graines de pavot. L’opium est extrait du pavot, c’est un petit morceau brun foncé ou en poudre qui peut être mangé, fumé, ou injecté. Elle est connue depuis des milliers d’années car des graines et des capsules ont été retrouvées dans des habitats néolithiques Européens.

étapes de cette évolution : on voit (à la page suivante) que cette écriture d’abord pictographique (faite de dessins simples) est devenue de plus en plus abstraite (« cunéiforme »). [pic] Tableau dressé par S.N. Kramer, L’Histoire commence à Sumer. Paris Arthaud, 1957, p. 298. On remarque entre la première et la deuxième colonne que les signes ont pivoté de 90°. Conclusion On sait désormais énormément de choses sur les civilisations mésopotamiennes, on connaît leur mode de vie