Sur Quoi La Légitimité De L état Fonde T Elle

Maé Bourdon-Pomi 701Dissert PHILONote :Commentaire :A quoi devons-nous obéir ? Emile Zola écrit, dans J’accuse … !  ; « Qui dit discipline dit obéissance. » La notion d’obéissance renvoi, en effet, assez souvent à celle d’ordre, de règle, de loi, elle suppose une hiérarchie entre celui qui demande ou ordonne l’obéissance,

particulièrement en France, l'idée que la loi est la manifestation suprême de la volonté populaire, héritage de Rousseau et des Lumières. C'est à ce moment là qu'apparait la théorie du légicentrisme, théorie de droit où la loi est au centre de tout de part sa légitimité populaire. Ceci expliquant donc le rejet longtemps exprimé face au Constitutionnalisme, doctrine qui surgit de la pensée de l'Abbé Sieyes en 1795, lorsqu'il évoque: « une Constitution est un corps de lois obligatoires, ou ce n’est rien ; si c’est

d'aristote à rousseau la philo pol s'est déployée ds le cadre de la théorie du droit naturel. Elle a consisté à rechercher qui doit gouverner, sur quoi fonder la légitimité du souverain. Il s'agissait de faire apparaître le souverain comme détenant par nature un droit à exercer son pouvoir. La question est de savoir à qui il est naturellement juste que ce pouvoir revienne. La justice par nature a changé de teneur chz les Modernes. Elle renvoie à des exigences de la nature humaine. La nature

devient un processus de légitimation du pouvoir. Légitimation, c’est produire de la légitimité, du consentement au pouvoir. Les démocraties modernes On peut retenir des révolutions françaises, anglaises et américaines (fin XVIIIème siècle), le fait que des pouvoirs monarchiques soient mis à bas. Le problème n’est pas la monarchie en elle-même mais l’arbitraire du pouvoir. On critique l’absence de légitimité du pouvoir. On arrive à l’avènement de la notion de consentement. L’idée que le pouvoir

droits de ce malade face à moi. Le droit à l'information, de ne pas souffrir, de ne pas donner son consentement aux soins, et d'être accompagné jusqu'a la mort. Législation, éthique et déontologie en soin infirmier I. Qu'est ce que le droit et à quoi sert-il ? Le droit est omniprésent dans notre société, on ne peut pas appliquer une règle de droit avant de l'avoir identifier comme tels. Chaque citoyen à l'obligation d'obéir aux lois. C'est le droit lui même qui détermine les critères de ce qui

Hitler, qui appartient au Parti National des Socialistes Travailleurs Allemands (NSPAD) fondé en 1920, est élu au rang de Chancelier. A partir de cet instant, Hitler impose le nazisme, une doctrine politique basée sur la prééminence de la Nation, le racisme et la xénophobie. La Russie, elle, établie son régime totalitaire communiste après la révolution d’octobre 1917. Autrement dit, celle-ci devient un Etat dont la société se passe de classes sociales et de propriétés privées. L’existence de ces

gouvernants et les gouvernés : soit un lien de force sans choix (État autoritaire ou totalitaire ex : autocratie ou dictature) ou alors un lien avec choix (les gouvernés choisissent les gouvernants ex : démocratie). Sur le plan démocratique, le 2e  modèle est légitime, dans l’autre cas, c'est un pouvoir illégitime parce qu’il s’est imposé par la force. Dans l’Etat, il y a légitimité du pouvoir étatique et monopole du pouvoir étatique. Légitimité : les gouvernants ont un titre à exercer les fonctions,

nature et pour ce faire, il mettra en application ce pour quoi il a été fait en promulguant des lois civiles (chaines artificielles) auxquelles les individus doivent se soumettre. Le Souverain a donc pour fin la conservation des individus en les empêchant d’utiliser la force à tort et à travers. « Le droit ne prend pas tout son sens normatif en vertu de sa seule forme mais à travers une procédure d’édiction du droit qui engendre la légitimité Ce qui rend l’exercice du pouvoir légitime n’est pas la

le recours de la notion d’autorité Selon Max Weber, il existe trois fondements de la légitimité politique : * La tradition : ce sont des coutumes validées au fil du temps que les citoyens ont pris l’habitude de respecter. * Le charisme : la grâce personnelle et sublime d’un individu, c’est le dévouement entier des individus pour une personne. * La légalité : elle émerge à partir de règles fondées rationnellement, la société politique va les estimer comme valide. Le droit constitutionnel

definition: bonheur : etat de satisfaction parfaite, de contentement du corps, du cœur et de l’esprit. état : 1) avec une minuscule, manière d’être, disposition (un etat d’esprit) 2) avec une majuscule, un ensemble d’individus soumis à une meme autorité politique, ou plus précisement cette autorité politique elle-meme. L’etat c’est le gouvernement et l’ensemble des structures par lesquelles il manifeste son autorité. 3) etat de droit: tout l’etat qui s’applique a respecter