Surmoi

moi et le surmoi. Le ça est totalement inconscient, il réagi par le seul principe de plaisir. Le ça ne connait ni la négation, ni le temps, ni la mort. Il ignore l’opposition du Bien et du Mal propre à la morale. Le moi a pour fonction de se défendre entre les pulsions du ça ou de les adapter aux conditions imposées par le monde extérieur. C’est le moi qui est chargé de satisfaire ou de résister aux pulsions. Enfin le surmoi est la conscience morale, le juge et le censeur du moi. Le surmoi est issu

essentielles telles la vertu, la morale et la liberté. C'est aussi tout ce à quoi tend l'homme. Il a besoin d'être en continuel mouvement et d'accéder à des désirs alors que le bonheur n'est accessible qu'à long terme, en travaillant sur son moi et son surmoi. Un paradoxe réside alors entre l'idée d'immobilité et de durabilité et celle du mouvement. Ainsi, la recherche du bonheur influence la plupart des actions humaines, si ce n'est la totalité, et qui peut être dressé en idéal quant à la recherche d'une

                                                                                                                  ii.        La deuxième topique      Dans sa deuxième topique, FREUD va exposer trois instances qui composent le psychisme : le ça, le moi, le surmoi.      Le ça est en même temps le lieu de naissance des pulsions ou tendances (forces inconscientes d’origine biologique douées de charge énergétique et orientant l’individu vers un objet qui lui donnera satisfaction) et de conservation des désirs

par les sentiments d'infériorité et culpabilité. Surmoi oppose ca, etc. Moi a besoin des pulsions du ça→ narcissisme. La libido, l’amour de soi, le désir de soi, estime, on se sent bien et sans conflit entre ça et ça.Ca→ oui, production du désir libre. Surmoi→ non, totalitaire, fasciste. Ca→ ics surmoi→ics moi→ isc et cs. Le moi permet au ca de réaliser les actions. dont certaines sont refoulées, censurées par le moi et par les pulsions par le surmoi. Refoutee→ névrose, sublimationangoisse→ malaise

réalisation.Le moi, le ça, le surmoi. Le moi : la partie consciente de l'esprit. Il s'agit de l'ensemble des pensées que nous saisissons et qui nous apparaissent de façon claire et distincte. Le moi (la conscience) ne représente qu’une partie infime de notre vie mentale. Le ça : le siège des pulsions. Tous nos désirs, notamment les pulsions immorales, agressives etc. . Le surmoi : l'ensemble des règles morales intériorisées. Il s'oppose aux pulsions du « ça ». Le surmoi est une instance de censure

par la censure (ou sens physique de l'inconscient) émanant du surmoi. Il résulte de cette interprétation de notre appareil psychique que le moi est sans cesse partagé entre la marmite bouillonnante du ça obéissant au principe du plaisir et à l'ensemble des règles morales du surmoi obéissant au principe du déplaisir. Le moi doit donc concilier ces injonctions contradictoires : il obéit au principe de réalité. Cependant, la censure du surmoi est imparfaite car les désirs refoulés ne disparaissent pas

trois pôles ou instances: le ça*, le moi* et le surmoi*. Le ça est le pôle pulsionnel inconscient, gouverné par le principe de plaisir. Le moi cherche à satisfaire les pulsions du ça, tout en tenant compte du principe de réalité. Il est aussi, sans qu'il le sache, soumis aux exigences du surmoi, constitué par l'intériorisation inconsciente des interdits sociaux et parentaux. Le moi apparaît ainsi comme le médiateur des intérêts opposés du ça et du surmoi. Son autonomie est par conséquent toute relative

leptosome € → schizoïde (introverti); pycnique € → cyclothyme (indécis); athlétique € → visqueux (extraverti). 2. Concepts. 2.1 Modèle psychanalytique. a. Définition. b. 1e topique: inconscient, conscient, préconscient. c. 2e topique: ça, moi, surmoi. d. Les mécanismes de défenses (x9). COURS: LA PERSONNALITÉ 1. Définition. Le caractère, qui s’applique tout particulièrement au comportement, détermine les façons de réagir, les attitudes qui sont propres à l’individu et qui permettent de le distinguer

] Définitions Ça : Etymologie : all. Das Es. Pôle pulsionnel et inconscient de la personnalité. Le ça désigne, chez Freud, dans sa seconde théorie du psychisme (1920), une des trois instances de l'appareil psychique (ça-moi-surmoi) Empirique : Etymologie : grec empeirikos, qui se dirige d'après l'expérience. A- Adjectif : fondé sur l'expérience : ayant sa source en elle (synonyme de a posteriori) B- Nom (emploi assez rare) : celui qui se contente d'accumuler des faits. Inconscient : Etymologie

d'autres termes, retournée contre le propre Moi. Là, elle sera reprise par une partie de ce Moi, laquelle, en tant que « Surmoi », se mettra en opposition avec l'autre partie. Alors, en qualité de « conscience morale », elle manifestera à l'égard du Moi la même agressivité rigoureuse que le Moi eût aimé satisfaire contre des individus étrangers. La tension née entre le Surmoi sévère et le Moi qu'il s'est soumis, nous l'appelons « sentiment conscient de culpabilité » ; et elle se manifeste sous